Les sorties au cinema

[Paulette]

Tu as bien car je n'étais pas spécialement dans un état d'esprit hyper "open" pour le film
si bien que je suis rentrée dans ma coquille de moule. Pour le coup, je pensais vraiment rire d'un rire
libérateur (de la même façon que de donner des coups de pieds dans les poubelles, ça peut faire du bien), et finalement, ça m'a juste stressée. .

Pour la pensée de l'auteur, je ne te suis qu'à moitié. Il y a tout de même un choix délibéré de nous montrer de grosses ficelles que ce soit par le choix de la musique reliant des personnages différents, ou par exemple des objets qui reviennent sans cesse (les fameux bonbons du père). Je ne comprends pas le message s'il y en a un.

Une fois encore, j'ai pas vu happiness, donc je ne sais pas à quoi il font référence quand il fait des flashbacks (au bord du lac ... qu'on voit au moins 3 fois, avec la musique relou là). Je ne sais pas s'il y a eu (en plus) inceste ou pas, donc je ne suis pas sûre d'avoir saisi tous les dialogues.

Quand tu parles de manichéisme, on a tout de même hommes = pervers (Allen et le papa dt le prénom m'échappe), et les femmes des névrosées.... (sauf pour Harvey, mais vlan, qu'on le foute dehors)

j'ai juste un arrière goût de m*rd* quand j'y repense.

[loosy]

Je suis allée voir Robin des Bois tonight.
C'était fun, je n'ai pas vu passé les 2 heures malgré les nombreuses scènes de combat.
Oui parce que pour moi très souvent combat = , là c'était regardable .

Par contre je suis méga frustrée.
J'aurais du me renseigner sur le film avant, parce que j'y suis allée sans même avoir vu la bande annonce genre :"quel film je vais voir? pif paf pouf, oooohhh Robin des Bois "
Oui parce que Robin Hood c'est trop l'homme de ma vie depuis que je suis petite, genre il est dans mon top five des trucs trop choupi, devant pikachu. (Top five qui n'existe pas hein, soyons clair )

Je me suis donc fiée au titre et je pensais savourer 2 heures de Robin des Bois.
Grave erreur, j'ai écopé de deux heures de Robin Longstride. Ce n'est point du tout pareil.
D'où mon énorme frustration et maintenant j'ai envie de regarder Robin des Bois (le vrai de vrai, pas celui en devenir) mais je ne l'ai pas sous la main.

[Joker]

beaucoup aimé le film également

[liatride]

Avec Sapho on a été voir "L'amour c'est mieux à deux tout" à l'heure...
Et franchement on est d'accord pour dire que c'est trèèèèès mal joué!
(Heureusement que y a des jolies filles dans le film)

[desdichado]

Je suis allé voir le fameux 'Enter the Void' de Gaspard Noé. Par curiosité, je ne connaissais pas Gaspard Noé, et puis ça brillait alors bon.

Et bien... c'est assez dérangeant. Je n'irai pas jusqu'à dire que je n'ai pas aimé, car c'était assez unique en son genre et donc quelque part fascinant. Mais déjà c'est très long, 2h30 sachant qu'il y a pas mal de passage ou c'est juste du trip hallucinatoire et non de l'action. Et puis il y a des séquences assez "choc", pour ne pas en dire plus. On devait etre une vingtaine dans la salle, je dirais qu'il y a au moins 1/4 des personnes qui sont parties avant la fin. Il faut dire que vu la façon dont c'est filmé (le narrateur se déplace et la camera est derrière sa tête) au bout d'une demi heure je me suis retenue pour pas vomir. Le scenario est pas extraordinaire, c'est saupoudré d'un peu de philo/psycho de comptoir. Personnellement, l'attrait a été esthetique, j'ai trouvé ça beau, très coloré, et pour connaitre Tokyo, c'est vrai qu'il y a une ambiance particulière.
Donc au final, l'avis est mitigé. Si on est impermeable au coté esthetique et lumineux et qu'on aime l'action, passez votre chemin. Mais c'est une experience, c'est original et dans le genre trip hallucinogène, esthetiquement reussi.

[ExMembre L]

ben nous c'était en DVD pas au ciné, mais hier soir on s'est tappé un film dont le titre long, pompeux, emmerdant, qui en lui seul devrait suffire à interdire à l'auteur d'en inventer d'autres, présageait d'un film long, pompeux, emmerdant, qui n'en finit pas. "Je suis heureux que ma mère soit vivante"

Hé bien c'est bien ce qui s'est passé. Un film à la française, avec des scènes inutiles en veux tu en voila, un rythme absent, des acteurs sympas, soit, mais ça suffisait pas à évacuer le côté emmerdant. Il avait pour lui de n'être pas pompeux, mais c'est bien tout ce qu'il y avait a sauver....

[Joker]

ben nous c'était en DVD pas au ciné, mais hier soir on s'est tappé un film dont le titre long, pompeux, emmerdant, qui en lui seul devrait suffire à interdire à l'auteur d'en inventer d'autres, présageait d'un film long, pompeux, emmerdant, qui n'en finit pas.

Hé bien c'est bien ce qui s'est passé. Un film à la française, avec des scènes inutiles en veux tu en voila, un rythme absent, des acteurs sympas, soit, mais ça suffisait pas à évacuer le côté emmerdant. Il avait pour lui de n'être pas pompeux, mais c'est bien tout ce qu'il y avait a sauver....

ça nous dit pas le titre

[Young Frick]

Sans doute quelque chose comme: Dimanche après-midi, vers quinze j'ai mis mon pull... et il pleuvait.

[ExMembre L]

oups pardon!! "Je suis heureux que ma mère soit vivante"

[ExMembre]

ben nous c'était en DVD pas au ciné, mais hier soir on s'est tappé un film dont le titre long, pompeux, emmerdant, qui en lui seul devrait suffire à interdire à l'auteur d'en inventer d'autres, présageait d'un film long, pompeux, emmerdant, qui n'en finit pas. "Je suis heureux que ma mère soit vivante"

Hé bien c'est bien ce qui s'est passé. Un film à la française, avec des scènes inutiles en veux tu en voila, un rythme absent, des acteurs sympas, soit, mais ça suffisait pas à évacuer le côté emmerdant. Il avait pour lui de n'être pas pompeux, mais c'est bien tout ce qu'il y avait a sauver....

Et bien moi, je l’ai vu au cinéma et j’ai franchement apprécié ce film. D’ailleurs, je l’ai regardé jusqu’au bout : c’est rare. Sans faire de spoiler, ce film raconte comment un jeune garçon, Thomas, interprété par l’excellent Vincent Rottiers a été placé dans une famille d’accueil après avoir été séparé de sa vraie mère, tout à fait incapable de l’élever. Une fois adulte, il essaie de la retrouver, y parvient à l’insu de ses parents adoptifs et se crée une double vie, partagé entre ses deux familles. Il essaie maladroitement de reconquérir sa mère, de comprendre pourquoi elle l’a abandonné, elle apparemment, s’en fiche un peu. Thomas, de plus en plus en proie à ses démons d’abandon et de rejet finit par une tentative de meurtre sur la personne de sa mère biologique.



J’ai trouvé ce film bouleversant, peut-être pas autant que le « Sweet Sixteen » de Ken Loach, parce que le personnage principal est tout en retenue, jusqu’à l’explosion de la scène de l’assassinat, mais le thème du rejet de l'amour du fils pour sa mère y est également développé.

Je ne me suis pas du tout emmerdé en voyant ce film, mais bien sûr, les thèmes de l’abandon, de l’amour filial rejeté et du matricide, traités tout en pudeur, en font un moment qui n’est peut-être pas à partager lors d’une soirée familiale. Ce film a été pour moi un moment précieux, que j’ai savouré comme une tragédie moderne.