Once upon a time

[inconnu n]

J'approuve JavaBleue, Ginnifer Goodwin est assez mignonne et sexy. Enfin, moi je l'aime pas mal.

[Sarablue]

Moi j'aime bien Ginnifer Goodwin aussi mais uniquement quand elle est en Blanche Neige.
Parce que sa coupe à la garçonne ne lui va pas du tout, duuuuu tout.
On dirait Dumbo. C'est dommage.
Mais avec ses cheveux longs, je dis voui

[shaya]

Moi j'aime bien Ginnifer Goodwin aussi mais uniquement quand elle est en Blanche Neige.
Parce que sa coupe à la garçonne ne lui va pas du tout, duuuuu tout.
On dirait Dumbo. C'est dommage.
Mais avec ses cheveux longs, je dis voui

On est complètement d'accord.

[JavaBleue24]

Moi j'aime bien Ginnifer Goodwin aussi mais uniquement quand elle est en Blanche Neige.
Parce que sa coupe à la garçonne ne lui va pas du tout, duuuuu tout.
On dirait Dumbo. C'est dommage.
Mais avec ses cheveux longs, je dis voui

On est complètement d'accord.

+1

[inconnu n]

Perso je l'aime bien en Blanche Neige, mais la coupe à la garçonne lui va pas mal je trouve.

Mais n'ayant pas la chance d'être une lesbienne j'ai pas votre jugement sûr .

[Gé]

Bah moi je suis presque accro..

Mais j'ai bien peur d'être très déçue comme pour l'autre série qu'ils ont inventé: Lost..

Une très bonne première saison, et les saisons suivantes qui se cassent la gueule

[Norma]

Bah moi je suis presque accro..

Mais j'ai bien peur d'être très déçue comme pour l'autre série qu'ils ont inventé: Lost..

Une très bonne première saison, et les saisons suivantes qui se cassent la gueule

Je te rejoins tout à fait sur Lost.

Déçue déçue déçue j'étais. Surtout la chute. Vu l'idée initiale de OUAT, y a de grandes chances d'avoir le même genre de justifications foireuses et ça me fait aussi un peu peur.

Sinon je rejoins assez mes comparses pour Blanche Neige.
Le soucis étant, d'après moi, qu'il est très très difficile de croire que la gourde et la fille casse cou et volontaires sont une seule et même personne... Et Ginnifer aide pas à faire le lien et à rendre cohérent ces deux caractères distincts du personnages. C'est principalement ce que je lui reproche.

[Sarablue]

Bah moi je suis presque accro..

Mais j'ai bien peur d'être très déçue comme pour l'autre série qu'ils ont inventé: Lost..

Une très bonne première saison, et les saisons suivantes qui se cassent la gueule

Je te rejoins tout à fait sur Lost.

Déçue déçue déçue j'étais. Surtout la chute. Vu l'idée initiale de OUAT, y a de grandes chances d'avoir le même genre de justifications foireuses et ça me fait aussi un peu peur.

Sinon je rejoins assez mes comparses pour Blanche Neige.
Le soucis étant, d'après moi, qu'il est très très difficile de croire que la gourde et la fille casse cou et volontaires sont une seule et même personne... Et Ginnifer aide pas à faire le lien et à rendre cohérent ces deux caractères distincts du personnages. C'est principalement ce que je lui reproche.

C'est vrai qu'elle est un peu gourdasse MM.Blanchard.
Cela dit j'en suis à la moitié de la 1ère saison, donc je garde un peu d'espoir pour la suite. Je me dis qu'elle peut nous surprendre, que peut se révéler enfin ce petit caractère passionné de son ancienne vie.
Sinon, j'aime beaucoup Regina et de plus en plus à mesure que j'avance dans la série.
On n'arrive pas à savoir si elle est vraiment dénuée de sentiments ou si, comme on le devine de temps en temps, elle ressent quelques émotions qui la rendent "humaine".
J'aime bien ce genre de personnage tout en complexité (puis elle est fekfy. Surtout en Evil Queen )

[Sarablue]

Bon.
J'aime biiiiien le petit chaperon rouge
Et il faut reconnaître que Mary-Margaret est sapée comme mes genoux c'est assez affligeant.

[Daisy.Adair]

J'ai tout vu.

Concernant la saison 1,

Spoiler : :

ça se regarde très vite, avec l'envie d'y revenir pour découvrir comment les contes sont réinterprétés et comment les personnages interagissent en conséquence à Storybrooke, sans compter le festival de guests auquel on a droit à chaque épisode. Les flash-backs, aussi bien introductifs que mythologiques, ne donnent pas ou peu l'impression de remplissage. On sent que même si les scénaristes utilisent un ancien joujou, du temps est passé depuis Lost et qu'ils ont appris à mieux organiser leur puzzle, à mieux doser les révélations. Je ne dis pas que l'opération fait mouche à chaque fois, mais le lien entre Fairytaleland et Storybrooke est beaucoup plus prononcé que du temps de LildeLost et du mariage de Jack, ou du braquage de banque de Kate.

Durant la première moitié de saison, la série s'attarde plus à montrer les contrastes de chacun entre leur vie féérique et leur vie contemporaine, ou encore d'instaurer les rapports entre les personnages et les faire permuter entre eux, que de véritablement faire avancer la quête d'Emma. Puis arrivé au douzième épisode, des intrigues parallèles à la malédiction prennent enfin de l'ampleur, et la série poursuit crescendo pour terminer sur un final satisfaisant : les scénaristes osent briser le charme de Regina, on se débarrasse des personnalités contemporaines moins intéressantes pour ne garder que celles féériques, Emma croit enfin à l'histoire d'Henry, et Rumplestiltskin décide d'organiser une soirée mousse !

Il n'y a pas que du bon, par contre. Je pourrais râler sur la nullité d'Emma (non, ton super-pouvoir ne marche jamais, et oui, tu es une piètre enquêtrice), l'ennui total que j'éprouve à l'égard de la Snow et du Charming de Storybrooke, ou mon envie de baffer la béquille scénaristique et moralisatrice Henry. Je pourrai aussi râler sur les effets spéciaux qui n'ont pas évolué depuis les années 90 (des fées dignes de Charmed ou des dragons tout droit sorti de Mortal Kombat : Destruction finale, ça pousse plus à se moquer qu'à s'investir dans l'histoire ; heureusement il n'y a pas que du mauvais : la "soirée mousse" du final par exemple est plutôt réussie). Et enfin, je pourrais râler de revoir certains trucs scénaristiques déjà utilisés dans Lost (la bouteille de McCutcheon à boire entre potes, la grotte de la réconciliation, le discours sur la foi et la science, les hallucinations du premier shérif le faisant courir droit à sa perte). Je pourrais. Mais en fait non.

Parce que même si je viens d'énumérer en vrac ce qui me dérange après coup en y repensant, ces défauts sont plutôt mineurs non seulement au regard du public visé, mais aussi et surtout par l'addiction globale que provoque la série. Ça m'a pris quelque chose comme trois jours pour tout regarder. Lana Parrilla et Robert Carlyle tiennent la barre pour notre plus grand plaisir, quand ce ne sont pas les guests qui s'y mettent (Amy Acker, Alan Dale, Emma Caulfield, Lee Arenberg, Giancarlo Esposito, que du beau monde), et j'avoue volontiers que malgré mon antipathie pour Snow, elle peut s'avérer être très drôle (en témoignent la scène du moineau, ou encore le fameux "Charming ? Mais c'est un prénom de merde !") Donc, des défauts, oui, mais on leur pardonne.

Concernant la saison 2,

Spoiler : :

c'est plus en dent-de-scie. Aussitôt débarrassé du sortilège et des personnalités moins fun, on se retrouve avec un groupe d'habitants dont les seuls et uniques buts consistent à :
1. montrer du doigt Regina et Rumplestilskin, et hurler partout que c'est la loose parce que la magie est revenue et qu'il faut s'or-ga-ni-ser
2. ramener Snow et Emma à Storybrooke suite à une téléportation à Fairytaleland

A partir de là, à Storybrooke, tous les personnages s'enferment dans ces deux dynamiques, mettant Charming, Snow, et Emma sur un piédestal, au détriment de ce que la série avait apporté en première saison comme changement de combinaisons en tout genre. Et même s'il est plaisant de voir Charming assumer son rôle de leader, même si les premiers temps on se plait à voir tout le monde essayer d'agir, on réalise bien vite que les trois quarts des habitants sont assujettis à des rôles de seconde main plus qu'autre chose. Par exemple, Ruby passe son temps à prendre tout le monde dans ses bras ou dévisager Regina. Si c'était là tout l'intérêt de faire devenir Meghan Ory un membre régulier du cast, bah je préférais encore lorsqu'elle n'était que simple guest récurrente. Et c'est un peu le même problème pour tout le monde : Tout le monde montre du doigt Regina parce que le scénario le dit, tout le monde essaye de faire revenir Snow et Emma parce que le scénario le dit. Et ça ne se discute pas. Je n'appelle plus ça des personnages à part entière à ce niveau-là.

Outre la gestion douteuse des rôles dans cette partie consacrée à Storybrooke, l'impression de ville chaotique instaurée en début de saison est remplacée en l'espace de quelques épisodes par un retour à la normale encore plus douteux. Alors que tout le monde se réunissait à la mairie pour décider quoi faire, quoi reconstruire, ou autre, Ruby et Granny réouvrent leur bar, Henry retourne à l'école, Charming devient shérif, bref, tout roule pour le mieux du monde. Même Regina se la coule douce, en désintox de magie. Tout le sentiment d'urgence s'envole très rapidement. Et tout le monde trouve ça normal. Personnellement, j'apprendrai que j'ai une vie antérieure où j'étais Mushu, et que ma voisine c'est Peau d'Âne, qu'on habitait nous deux et plein d'autres à Eurodisney, et que suite à une soirée mousse la magie est revenue, je fêterai pas ça en buvant un kir pêche dans le bar du coin pour mieux retourner au boulot le lendemain. Je ne dis pas qu'ils doivent monter une armée et partir en croisade, ou s'affoler à chaque épisode, mais comme certains manifestent l'envie de retourner au pays des contes de fées, ça serait pas mal d'avoir autre chose que l'impression qu'ils n'en foutent pas une rame.

En parallèle, à Fairytaleland, on a un peu la dynamique de la saison 2 d'Heroes, quand Hiro partait à l'aventure dans le japon médiéval en compagnie de Evil David Anders et... hm... une figurante. Emma et Snow partent donc à l'aventure avec Mulan et Aurore dans un Fairytaleland plutôt désert, parce que. C'est laborieux, et avec des effets spéciaux très laids. L'unique intérêt de ce voyage consistant à amener les bad guys Hook et Cora à Storybrooke plus qu'autre chose, les scénaristes choisissent de faire de Mulan une seconde main, quant à Aurore, lorsqu'ils décident de lui donner un pouvoir qui aurait pu rehausser l'intérêt du personnage, Snow lui pique son pouvoir et la vedette, parce que ce n'est pas une putain de guest qui passe son temps à pioncer qui va monopoliser l'écran ! Encore une fois, du côté des gentils, tout pour la famille Charming, les autres peuvent se brosser. C'est énervant. Mais comme Hook et Cora sont de nouveaux bad guys sympathiques et prometteurs, on se lave et on oublie.

Une fois que l'intrigue est de nouveau concentrée sur Storybrooke, et après qu'on se soit débarrassé de l'optimisme déplacé d'Emilie de Ravin (l'amnésie, sujet récurent n°5 des séries américaines), on attend globalement quatre choses :
1. Que la menace Hook et Cora opère (parce que les interactions Hook-Rumple et Cora-Regina donneront quelque chose de plus intriguant/épique/bouleversifiant que Belle-Rumple et Henry-Regina ; et parce que ça sera toujours plus intéressant que de tenter vainement/idiotement/naïvement de sevrer deux personnages qu'on n'a pas du tout envie de voir changer).
2. Que l'accidenté étranger tente de révéler le côté fantastique de Storybrooke au monde (histoire de créer quelques bricoles).
3. Que Emma et Rumple partent trouver Michael Raymond-James à Talahassee (parce qu'il est impensable que Baelfire soit quelqu'un d'autre que lui)
4. Que la série réponde à la question : Vaut-il mieux habiter à Storybrook ou Fairytaleland ? Est-ce que finalement Regina était si evil que ça, de nous enlever les ogres, les guerres, la boue, et la fiante ? (parce que si Regina speechait en fin de saison 1 sur les bienfaits de sa malédiction, et que si Charming nous a fait un speech en début de saison 2 sur sa personnalité contemporaine et Storybrooke, ça serait tout naturel que chacun choisisse où il veut vivre d'ici la fin de la saison)

Donc on fait comme Emilie de Ravin : un coup d'amnésie, et hop, c'est reparti !