
C'est une jeune femme qui a eu un accident de voiture qui l'a défigurée. Par chance (ou pas justement) son père est chirurgien et est prêt à tout pour lui donner un nouveau visage. Pour cela il capture des jeunes femmes ressemblant vaguement à sa fille pour leur prendre le visage afin de le greffer sur sa fille. Il force celle ci à porter un masque en attendant. De la même manière qu'il tente lui même de masquer sa criminalité et son desespoir grandissant.
Ses tentatives se soldent par des échecs à chaque fois mais il recommence néanmoins inlassablement, sacrifiant pour cela de nombreuses jeunes femmes.
Enfin une intervention semble réussir mieux que les autres mais se solde finalement également par un échec : le visage se détériore au fil des jours et il devient urgent de retirer le greffon après une periode de soulagement au cours de laquelle le docteur dit à sa fille "comme on te croit morte tu pourras prendre un nouveau nom, tu le choisiras, c'est amusant ça." cette phrase élargit le thême du masque en faisant une ouverture sur la thématique de l'identité, cruciale en philosophie. Malheureusement l'intervenant n'a pas pris cette direction.
Parallèlement une enquête policière est menée car les disparitions ont amenés des soupçons sur le docteur Génessier.
Sa fille qui a découvert le trafic criminel n'intervient pas avant la fin qui est d'ailleurs un véritable court-circuit.
La scène final est magnifique et pleine d'émotions contradictoires.