Très intéressant article. La gay pride c'est pas pour moi non plus: à chaque fois que j'y suis allée je n'ai pas aimé, je ne me suis pas amusée et je me suis sentie pas à ma place. Mais étrangement, ce que Tsar écrit me correspond assez, et j'ai fortement regretté de ne pas pouvoir y participer dernièrement (je n'ai pu monter à paris en 2011 pour raisons médicales, mais je m'étais arrangée tout de même pour participer sous la pluie à celle de Montpellier juste avant de passer sur le billard

) et cette année je n'ai pas pu marcher. Et bien que je sache pertinemment que je ne vais pas passer une bonne journée en participant à ce genre d'événements, et bien cela m'a bien dégoutée de ne pas pouvoir marcher. Parce que mine de rien, l'évolution des mœurs est réelle, mais aujourd’hui ce n'est pas encore si évident de vivre son homosexualité au grand jour. J'ai beau essayer, je n'y arrive pas. Vous allez me dire c'est contradictoire avec le fait de marcher... mais pas tant que ça. Je pense qu'il est important de le faire pour que les plus jeunes ne se retrouvent pas dans ma situation.
Par contre ce que je trouve fort dommage, c'est que l'information est très mal véhiculée par les médias, surtout au niveau local. Si la GP de Paris est à peu près relatée au JT, ce n'est pas le cas des autres communes.