Le club des plus beaux poyèmes d'amour triste qu'on pleure
Le club des plus beaux poyèmes d'amour triste qu'on pleure
suite à une appel désespéré de Kataklopp, je réactive ce club, essentiellement destiné à la promotion de la poyésie triste qui fait pleurer ton coeur avec des larmes de sang à cause que tu es malheureux de l'amour et de la vie cruelle.
suis-je clair ?
en fait, c'est limite "café" comme topic, sauf que là les poyèmes, c'est VOUS qui les écrivez !
d'ailleurs je vais en sortir un tout de suite de ma poubelle :
Un sonnet Vague
Je vous aime, machine et j'aime votre tête
Où poussent joliment de si nombreux cheveux
Et j'aime aussi vos yeux qui au nombre de deux
Donnent à votre visage une assiette parfaite
Votre peau tout autour de votre silhouette
Est une tentation pour mes doigts amoureux
Les vôtres vont par dix et j'en suis très heureux
Car chacun porte un ongle et c'est rudement chouette.
Que dirais-je de plus, Chose, de vos atours
Qui ont du me pousser à vous faire la cour
En un mot comme en cent: j'ai du vous trouver bonne
Vous trouvant près de moi, Bidule, au petit jour,
Je me dis en pensant à notre nuit d'amour,
Mais quel est donc, déjà, le nom de cette conne ?
(oui, j'avoue c'est un vieux truc. mais bon, fallait relancer le club et j'étais pas inspiré, là tout de suite !)
suis-je clair ?
en fait, c'est limite "café" comme topic, sauf que là les poyèmes, c'est VOUS qui les écrivez !
d'ailleurs je vais en sortir un tout de suite de ma poubelle :
Un sonnet Vague
Je vous aime, machine et j'aime votre tête
Où poussent joliment de si nombreux cheveux
Et j'aime aussi vos yeux qui au nombre de deux
Donnent à votre visage une assiette parfaite
Votre peau tout autour de votre silhouette
Est une tentation pour mes doigts amoureux
Les vôtres vont par dix et j'en suis très heureux
Car chacun porte un ongle et c'est rudement chouette.
Que dirais-je de plus, Chose, de vos atours
Qui ont du me pousser à vous faire la cour
En un mot comme en cent: j'ai du vous trouver bonne
Vous trouvant près de moi, Bidule, au petit jour,
Je me dis en pensant à notre nuit d'amour,
Mais quel est donc, déjà, le nom de cette conne ?
(oui, j'avoue c'est un vieux truc. mais bon, fallait relancer le club et j'étais pas inspiré, là tout de suite !)
"J’étais assise là sur un mur, regardant le néant dans le bruit assourdissant de la ville.
BAMBAM les bruits de marteaux sur des toits.
BAM BAM, c’est mon cœur qui bat.
Elle était là à coté de moi, pour me parler, pour me quitter.
Je suis assise là sur ce mur.
BAMBAM des coups dur des murs.
BAM BAM mon cœur qui bat.
J’aurais voulu être assommé par un violent coup de poing dans l’abdomen.
Elle m’a quittée.
Dans se cas je tomberai de ce mur jusqu'à m’en rompre le cou.
BAMBAM des nouveaux coups assourdissants accompagnent mon corps dans sa chute.
BAM BAM mon cœur explosera et je tombe toujours dans le néant le vent sur mon visage.
BAM et ma tête explosera recouvrant les fleurs de la prairie de sang.
BAM un seul bruit un seul et mon corps sur le sol. Mes yeux sont ouverts, ma main près d’une fleur.
BAM BAM mon cœur encore une dernière fois.
Elle s’approche de moi et ses lèvres se posent sur moi.
BAM BAM je sens son cœur qui bat.
Il est trop tard mais je sais maintenant qu’elle m’aimait."
"Une chambre, pleine de roses et de bonbons,
le petit chat sur le balcon regarde insouciant une fille dans le vide.
Meurs, meurs toi qui tombe de cet immeuble.
Meurs, meurs demoiselle toi qui tombe du ciel.
Dans le vide tu t’es jetée, tu mourras là sur le pavé.
Je t’apporterai alors des bouquets de pleurs, des brassées de fleurs.
Quand tu reposeras dans ce cercueil sans poignées,
ta tête posée sur un coussin de velours.
Tes grands yeux fermés pour toujours.
Pourquoi as-tu fais ça, moi qui t’aimait tant.
Maintenant plus de roses ni de bonbons,
juste toi sur ce coussin de velours.
Je te pleure aujourd’hui, je te pleurerai toujours."
[je me suis permis de corriger l'orthographe ! edit : captain]
BAMBAM les bruits de marteaux sur des toits.
BAM BAM, c’est mon cœur qui bat.
Elle était là à coté de moi, pour me parler, pour me quitter.
Je suis assise là sur ce mur.
BAMBAM des coups dur des murs.
BAM BAM mon cœur qui bat.
J’aurais voulu être assommé par un violent coup de poing dans l’abdomen.
Elle m’a quittée.
Dans se cas je tomberai de ce mur jusqu'à m’en rompre le cou.
BAMBAM des nouveaux coups assourdissants accompagnent mon corps dans sa chute.
BAM BAM mon cœur explosera et je tombe toujours dans le néant le vent sur mon visage.
BAM et ma tête explosera recouvrant les fleurs de la prairie de sang.
BAM un seul bruit un seul et mon corps sur le sol. Mes yeux sont ouverts, ma main près d’une fleur.
BAM BAM mon cœur encore une dernière fois.
Elle s’approche de moi et ses lèvres se posent sur moi.
BAM BAM je sens son cœur qui bat.
Il est trop tard mais je sais maintenant qu’elle m’aimait."
"Une chambre, pleine de roses et de bonbons,
le petit chat sur le balcon regarde insouciant une fille dans le vide.
Meurs, meurs toi qui tombe de cet immeuble.
Meurs, meurs demoiselle toi qui tombe du ciel.
Dans le vide tu t’es jetée, tu mourras là sur le pavé.
Je t’apporterai alors des bouquets de pleurs, des brassées de fleurs.
Quand tu reposeras dans ce cercueil sans poignées,
ta tête posée sur un coussin de velours.
Tes grands yeux fermés pour toujours.
Pourquoi as-tu fais ça, moi qui t’aimait tant.
Maintenant plus de roses ni de bonbons,
juste toi sur ce coussin de velours.
Je te pleure aujourd’hui, je te pleurerai toujours."
[je me suis permis de corriger l'orthographe ! edit : captain]
Aaaah ! merci du fond du coeur, là d'un seul coup je me sens mieux
Bon, à mon tour, je vous le dis tout de suite c'est de la merde !
C'est une chose noire, piédestal élevé
A nos envies secrètes assouvies en lieu sombre ;
Sous nos pas il nous prend, se cabre et se décombre
Et répand ses enfants sur le gravier gravés.
Cet oeuf, que tendrement nous avons pu couver,
Son frère, qui lui ressemble, âcrement nous encombre
Les bronches, et les semelles de se frotter en nombre
Pour chasser de leurs plis cet encombrant duvet.
Quelle injustice pourtant ! Nous si fiers de notre oeuvre,
Et qui lavons son temple deux, trois fois par semaine,
D'un léger froncement de narine, peu amène,
Le teint soudain garni d'une nuance couloeuvre,
Nous accueillons, suspects, le regard plein de mais,
Cet enfant tant chéri que nous n'aurons jamais.
Et puis pour la route en voici un autre, légèrement codé pour les âmes sensibles ^^
einotonom al sab à ,sab à ,sab A
settecaf à seluob set te sérod slif set sab A
einotonoM ,elueug am snad luc not ertuof sneiv
édremmeneib te dnoforp te rion luc noT
sab A
sab A
einotonom al sab A
eriailib elucisév at sab A
einotonoM iom rus relueugéd sneiV
serialg ed nielp clnab xueuqsiv cus noT
sab A
sab A
einotonom al sab A
ellevrec snas sruocsid xueiv set sab A
einotonoM iom rus relueug sneiV
sellessia set ed sussi xueniah stom seT
sab A
sab A
einotonom al sab A
xiorc as rus tnalgnas ueid not sab A
einotonoM iom rus relapme't sneiV
esiab et ej eiv am snad siof enu sniom ua'uQ
...dnoforp neib essaf el ej euq tE
Bon, à mon tour, je vous le dis tout de suite c'est de la merde !
C'est une chose noire, piédestal élevé
A nos envies secrètes assouvies en lieu sombre ;
Sous nos pas il nous prend, se cabre et se décombre
Et répand ses enfants sur le gravier gravés.
Cet oeuf, que tendrement nous avons pu couver,
Son frère, qui lui ressemble, âcrement nous encombre
Les bronches, et les semelles de se frotter en nombre
Pour chasser de leurs plis cet encombrant duvet.
Quelle injustice pourtant ! Nous si fiers de notre oeuvre,
Et qui lavons son temple deux, trois fois par semaine,
D'un léger froncement de narine, peu amène,
Le teint soudain garni d'une nuance couloeuvre,
Nous accueillons, suspects, le regard plein de mais,
Cet enfant tant chéri que nous n'aurons jamais.
Et puis pour la route en voici un autre, légèrement codé pour les âmes sensibles ^^
einotonom al sab à ,sab à ,sab A
settecaf à seluob set te sérod slif set sab A
einotonoM ,elueug am snad luc not ertuof sneiv
édremmeneib te dnoforp te rion luc noT
sab A
sab A
einotonom al sab A
eriailib elucisév at sab A
einotonoM iom rus relueugéd sneiV
serialg ed nielp clnab xueuqsiv cus noT
sab A
sab A
einotonom al sab A
ellevrec snas sruocsid xueiv set sab A
einotonoM iom rus relueug sneiV
sellessia set ed sussi xueniah stom seT
sab A
sab A
einotonom al sab A
xiorc as rus tnalgnas ueid not sab A
einotonoM iom rus relapme't sneiV
esiab et ej eiv am snad siof enu sniom ua'uQ
...dnoforp neib essaf el ej euq tE
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anonymeB
Tenez un vieu truc que j'ai ecrit ya quelque années je me suis dit que c'etait parfaitement triste et niais pour ce sujet !! :
Le Manque
L’écume caressait ses pieds,
L’air marin jouait dans ses cheveux,
Elle savait que là-bas il était heureux,
Mais pour elle le bonheur se vit à deux.
Pourtant elle était seule sur le rivage.
Il n’y avait eut ici que peu de naufrage,
Sinon celui de son propre cœur.
Il ne peut pas reprendre le large, ce n’est pas l’heure.
Malgré l’éclat joyeux d’un bel été,
L’océan, la mélodie des vagues, la danse des goélands,
Rien ne pouvait la détacher d’un manque latent.
Le manque d’une odeur, d’un regard, d’un sentiment.
Les yeux perdus dans l’infini d’un horizon gris,
Elle restait là, rêveuse, nostalgique, amoureuse.
Elle savait que là-bas elle serait heureuse.
Elle voudrait dépasser l’immensité bleue qui la sépare de lui.
En attendant ce temps, les marées auront changé,
Les dunes auront migré et elle, elle aura beaucoup pleuré,
Et crié à l’océan tourmenté,
Le manque,
Le manque d’une odeur, d’un regard, d’un sentiment,
Le manque de cet homme qui n’est plus présent.
Le Manque
L’écume caressait ses pieds,
L’air marin jouait dans ses cheveux,
Elle savait que là-bas il était heureux,
Mais pour elle le bonheur se vit à deux.
Pourtant elle était seule sur le rivage.
Il n’y avait eut ici que peu de naufrage,
Sinon celui de son propre cœur.
Il ne peut pas reprendre le large, ce n’est pas l’heure.
Malgré l’éclat joyeux d’un bel été,
L’océan, la mélodie des vagues, la danse des goélands,
Rien ne pouvait la détacher d’un manque latent.
Le manque d’une odeur, d’un regard, d’un sentiment.
Les yeux perdus dans l’infini d’un horizon gris,
Elle restait là, rêveuse, nostalgique, amoureuse.
Elle savait que là-bas elle serait heureuse.
Elle voudrait dépasser l’immensité bleue qui la sépare de lui.
En attendant ce temps, les marées auront changé,
Les dunes auront migré et elle, elle aura beaucoup pleuré,
Et crié à l’océan tourmenté,
Le manque,
Le manque d’une odeur, d’un regard, d’un sentiment,
Le manque de cet homme qui n’est plus présent.
Bon c'est pas terrible, c'est encore en cours de travail lol.
Sur mes poignets
Cherchons qui est le roi,
Qui est la reine et le valet.
Devant mon beau miroir
Là j’ai dénudé mes poignets…
Maintenant je compte
Combien de roi, combien de reine et de valet,
J’ai rencontré
Dans le miroir, dans mes migraines, sur mes poignets…
La route est longue
Jusqu’à toi
Bientôt mes bras
Saigneront pour toi…
C’est toi qui décide
Tu as le choix
D’arrêter tous mes délires…
De toucher ces cicatrices
Au lieu de quoi
J’aurai envie de tout détruire…
Sur mes poignets
Cherchons qui est le roi,
Qui est la reine et le valet.
Devant mon beau miroir
Là j’ai dénudé mes poignets…
Maintenant je compte
Combien de roi, combien de reine et de valet,
J’ai rencontré
Dans le miroir, dans mes migraines, sur mes poignets…
La route est longue
Jusqu’à toi
Bientôt mes bras
Saigneront pour toi…
C’est toi qui décide
Tu as le choix
D’arrêter tous mes délires…
De toucher ces cicatrices
Au lieu de quoi
J’aurai envie de tout détruire…
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sandoval
je ne sais pas si c'est clichesque ou si j'étais vraiment mal quand je l'ai écris
Dernier frisson
Je vais mourir aujourd'hui
Ne me dis pas ce que j'aurais du faire
Ni ce que je ne devrais pas faire
Aujourd'hui je suis quelqu'un d'autre
Je nage au dessus de ton épaule
Je cotoie les étoiles
Je n'ai besoin de personne
Je vais foutre ma vie en l'air
Je vais me barrer dans un autre univers
Je vais m'exploser la gueule
Je vais combler le vide
Avec de l'herbe
Putain je suis en train d'exploser
Je suis en train d'inventer un nouvel ordre
Veux tu me suivre dans mon chaos?
Je suis sur la pente
Je caresse les fantômes
Je tressaille
Je me vide
J'essaie
J'engloutis
Toi
Et moi
Ca n'aurait jamais du exister
Le gel
Les peurs paniques
Je suis un pauvre type
Salut
Dernier frisson
Je vais mourir aujourd'hui
Ne me dis pas ce que j'aurais du faire
Ni ce que je ne devrais pas faire
Aujourd'hui je suis quelqu'un d'autre
Je nage au dessus de ton épaule
Je cotoie les étoiles
Je n'ai besoin de personne
Je vais foutre ma vie en l'air
Je vais me barrer dans un autre univers
Je vais m'exploser la gueule
Je vais combler le vide
Avec de l'herbe
Putain je suis en train d'exploser
Je suis en train d'inventer un nouvel ordre
Veux tu me suivre dans mon chaos?
Je suis sur la pente
Je caresse les fantômes
Je tressaille
Je me vide
J'essaie
J'engloutis
Toi
Et moi
Ca n'aurait jamais du exister
Le gel
Les peurs paniques
Je suis un pauvre type
Salut
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ExMembre L