SCENE 1 : l'arrivée au gîte.
"vingt ans plus tard..." apparait sur l'écran, puis on a un plan fixe du gîte, devant lequel se gare la voiture de nos héros.
pour montrer que nous nous trouvons bien dans le futur, l'autoradio de la voiture pourra jouer à fond "I like to move it move it" ou "encore une fois" de Sash!
Ils sortent de la voiture et admirent le gîte.
Francis: -Ouaaaaaah ! comme c'est beau ! toute cette campagne, cette paix et cette tranquilité !
Dante: -c'est pas un peu isolé ?
Victoire:-Mais non, regarde comme c'est beau ! tous ces arbres en bois !
oh ! tout cet espace ! toute cette verdure ! et ce soleil blanc sur ma peau ! et la musique tombée du ciel sur les toits rouillés de rio ! moi je sens comme le printemps rejaillir en moi et faire fretiller toutes les hormones de l'interieur ! je me sens enfin femme ! ouiiii feeeeeeemmmmme ! une femmmmmee avec toaaaaaaaaaa!
(possibilité de play back par nicole croisille)
Claude : -de toutes façons Vic, tout le monde sait que tu serais capable de faire le sexe avec un sapin.
(carole rit connement, vic fait la gueule)
(on entend des coups de hache)
Kevin : -Tiens, j'entends comme si on coupait du bois à côté de la maison !
(la caméra fait un travelling latéral de 1 mêtre, et on voit un mec précisément en train de débiter des buches à la hache juste devant leur voiture garée. C'est Gerard-le-bucheron, qui est sooo sex avec sa chemise à carreaux ouverte et son short en jean élimé découpé juste au ras du bonbon.)
Gérard : -Bonjour les jeunes ! alors c'est vous qui avez loué le refuge-maudit ousque y'a eu des morts y'a vingt ans ?
Carole : - theu, on en a rien à foutre nous ! Y'a 20 ans c'était les années 80 et les années 80 c'était la Lose ! Les gens y mangeaient des treets et des raiders, et ils disaient "super branché" alors que maintenant on mange des Twix et des M'n'M's c'est vachement plus hype !
(tous rient connement)
Gérard :-Et au fait, vous vous connaissez d'ou, tous, là ? vous êtes dans la même école ?
(ils répondent tous en même temps de manière vraiment confuse une espèce de brouhaha incompréhensible ou l'on comprend vaguement "oui" "non" "cours de danse africaine" "club d'échecs" "club d'aviron" "association d'aide au tiers monde" "tae-kwon-do" et "peinture sur soie")
Gérard (légèrement hagard) :-ah...c'est intéressant ! bon, ben je vous laisse vous installer...je veux pas gêner, hein...
Claude : -No soucy, vieil homme, merci de ton accueil rude et austère d' authentique paysan du pays !
(Gérard la regarde bizarrement et s'en va.)
Dante :-On a bien fait de ne pas dire qu'on était des rien que des grosses tapettes d'un site internet de gouines ! Avec ces bouseux on sait jamais comment ils vont le prendre, c'est un truc à finir connement cloué à une porte de grange pour éloigner le mauvais oeil !
Françis : -c'était quand la dernière fois que tu es venu à la campagne, toi ?
Dante :-la quoi ?
Claude :-Bon les mecs, pendant que vous sécurisez le périmètre, Carole et moi on va inspecter l'interieur du gite et vérifier que tout est conforme à l'état des lieux fourni par l'agence de location ! Dagobert ! au pied !
(Dagobert-le-chihuaha jaillit de la voiture et suit sa maitresse dans la maison, avec Carole)
Victoire :-Héééé ! pourquoi que c'est moi qui reste avec les mecs ?
c'est pas coul-heuuuuuu !
-naturellement si vous avez de meilleures idées, vous pouvez éditer ce message-
L'horrible film drolemt sexuel d'et-alors (titre provisoire)
SCENE 2 : l'inspection du gîte.
Le groupe s'est donc divisé en deux. Carole et Claude vont inspecter le gîte...
Carole : Je rêve ! Le poster de "Europe" est encore sur la porte ? Mais personne n'a loué ce chalet depuis 20 ans !?!
Claude : Tu crois que cette histoire est vraie ? Que des personnes ont été sauvagement assassinées alors qu'elles louaient ce gîte somme toute normal ? Que l'hémoglobine a arrosé tous les murs dans des hurlements déchirants une nuit noire pendant les 12 coups de minuits ? je te raconte pas l'odeur qu'il devait y avoir quand les policiers ont retrouvé les cadavres en décomposition après 15 jours, avec des asticots qui grouillaient plein les yeux et les intestins qui pendent ! Enfin je m'égare... On ouvre non ?
(Zoom sur le visage de Carole pendant le monologue de Claude. Elle est terrorisée. Zoom sur le sol, des goutes qui tombent, elle s'est fait pipi dessus de peur)
Carole (avec une voie d’enfant) : Pipi…
(Ils ouvrent >> bruit grinçant, gîte peu éclairé, bruit terrifiant genre gros rire machiavélique ou cris d'horreur).
Claude : ça a l'air charmant ici
Carole : Autant de poussière, c'est incroyable ! Mais c'est... c'est ... c'est... UNE TOILE D'ARAIGNEE ! Mais c'est has been ! On n’est pas halloween là, c'est au 19ème siècle que les araignées été « in ». Allez, on va passer un bon coup de balai pour tout nettoyer !
Claude : Je sais pas... on pourrais attendre que les autres viennent, on va se salir... et j'ai pas...
(Carole qui passe d'une tenue très couverte [Supposant qu'il fasse froid dehors] passe à une tenue super moulante sexy, rose ultra fluo genre gogo danseuse)
Carole : On s'y met ?
Claude : J'aime... Faire... Le... Ménage...
(Nouveau plan, Carole est redevenu Carole)
Le groupe s'est donc divisé en deux. Carole et Claude vont inspecter le gîte...
Carole : Je rêve ! Le poster de "Europe" est encore sur la porte ? Mais personne n'a loué ce chalet depuis 20 ans !?!
Claude : Tu crois que cette histoire est vraie ? Que des personnes ont été sauvagement assassinées alors qu'elles louaient ce gîte somme toute normal ? Que l'hémoglobine a arrosé tous les murs dans des hurlements déchirants une nuit noire pendant les 12 coups de minuits ? je te raconte pas l'odeur qu'il devait y avoir quand les policiers ont retrouvé les cadavres en décomposition après 15 jours, avec des asticots qui grouillaient plein les yeux et les intestins qui pendent ! Enfin je m'égare... On ouvre non ?
(Zoom sur le visage de Carole pendant le monologue de Claude. Elle est terrorisée. Zoom sur le sol, des goutes qui tombent, elle s'est fait pipi dessus de peur)
Carole (avec une voie d’enfant) : Pipi…
(Ils ouvrent >> bruit grinçant, gîte peu éclairé, bruit terrifiant genre gros rire machiavélique ou cris d'horreur).
Claude : ça a l'air charmant ici
Carole : Autant de poussière, c'est incroyable ! Mais c'est... c'est ... c'est... UNE TOILE D'ARAIGNEE ! Mais c'est has been ! On n’est pas halloween là, c'est au 19ème siècle que les araignées été « in ». Allez, on va passer un bon coup de balai pour tout nettoyer !
Claude : Je sais pas... on pourrais attendre que les autres viennent, on va se salir... et j'ai pas...
(Carole qui passe d'une tenue très couverte [Supposant qu'il fasse froid dehors] passe à une tenue super moulante sexy, rose ultra fluo genre gogo danseuse)
Carole : On s'y met ?
Claude : J'aime... Faire... Le... Ménage...
(Nouveau plan, Carole est redevenu Carole)
Dernière modification par Willou le sam. févr. 23, 2008 10:42 am, modifié 2 fois.
willou, je propose quelques modifiactions à ton chapitre dans
"l'atelier de création du film d'horreur" !
http://www.et-alors.net/forum/ftopic9593-270.php
"l'atelier de création du film d'horreur" !
http://www.et-alors.net/forum/ftopic9593-270.php
SCENE 3 : pendant ce temps...
extérieur - nuit
Kevin et Dante sortent les bagages de la voiture, pendant que Gérard le bucheron coupe toujours du bois
DANTE (ouvrant le coffre) - Pfff... heureusement qu'on a pas pris la smart de ma mère, on aurait été emmerdé ! Regarde-moi ça toutes ces valises !
KEVIN (commençant à sortir les valises) - Et encore, on a de la chance : Carole voulait prendre son spa en kit !
DANTE - Ah ouais, carrément...
Gerard s'approche des 2 garçons tout en s'épongeant le front dégoulinant de sueur, sa hache à la main...
GERARD - Hé les jeunes ? Vous voulez un coup de main ?
Dante regarde la hache de Gérard : il remarque des tâches de sang sur le tranchant...
DANTE - Heu... Non, non, ça ira, merci !
KEVIN - Tu rigoles ! (s'adressant à Gérard) Si, si monsieur Gérard, on veut bien ! C'est-à-dire que les valises des filles sont tellement lourdes... Avec des beaux bras musclés comme les vôtres, ça ne devrait pas vous poser de problèmes à vous, monsieur Gérard ?
GERARD - Appelle-moi Gégé, petit...
DANTE (pour lui) - Pfff... Gégé... stro nul !
Gérard prend une valise mais celle-ci s'ouvre et toutes les affaires de Carole se retrouve par terre. On peut voir des sous-vêtements, des robes toutes moulantes et un fer à friser...
DANTE - Regarde-moi ça ! Elle était obligée de prendre autant d'affaires pour 1 semaine c'te conne ?
GERARD - Oh ! Un fer à friser ! Ca tombe bien, le mien ne marche plus... Vous croyez qu'elle pourra me le prêter, si je lui demande gentiment ?
Kévin et Dante se regardent étonnés...
extérieur - nuit
Kevin et Dante sortent les bagages de la voiture, pendant que Gérard le bucheron coupe toujours du bois
DANTE (ouvrant le coffre) - Pfff... heureusement qu'on a pas pris la smart de ma mère, on aurait été emmerdé ! Regarde-moi ça toutes ces valises !
KEVIN (commençant à sortir les valises) - Et encore, on a de la chance : Carole voulait prendre son spa en kit !
DANTE - Ah ouais, carrément...
Gerard s'approche des 2 garçons tout en s'épongeant le front dégoulinant de sueur, sa hache à la main...
GERARD - Hé les jeunes ? Vous voulez un coup de main ?
Dante regarde la hache de Gérard : il remarque des tâches de sang sur le tranchant...
DANTE - Heu... Non, non, ça ira, merci !
KEVIN - Tu rigoles ! (s'adressant à Gérard) Si, si monsieur Gérard, on veut bien ! C'est-à-dire que les valises des filles sont tellement lourdes... Avec des beaux bras musclés comme les vôtres, ça ne devrait pas vous poser de problèmes à vous, monsieur Gérard ?
GERARD - Appelle-moi Gégé, petit...
DANTE (pour lui) - Pfff... Gégé... stro nul !
Gérard prend une valise mais celle-ci s'ouvre et toutes les affaires de Carole se retrouve par terre. On peut voir des sous-vêtements, des robes toutes moulantes et un fer à friser...
DANTE - Regarde-moi ça ! Elle était obligée de prendre autant d'affaires pour 1 semaine c'te conne ?
GERARD - Oh ! Un fer à friser ! Ca tombe bien, le mien ne marche plus... Vous croyez qu'elle pourra me le prêter, si je lui demande gentiment ?
Kévin et Dante se regardent étonnés...