Sens tu les vibrations de mon cœur ?
C'est pour toi qu'il s'emballe ...
Entends tu mes cris , mes pleurs ?
C'est pour toi que je vais mal ...
J'essaye de me donner une raison ,
jamais tu ne voudras de moi ...
J'essaye de t'accorder moins d'intention ,
mais je pense toujours à toi ...
J'essaye de t'oublier , je m'endors ,
mais tu es toujours dans mes pensées ...
Chaque nuit accompagnée de ses remords ,
me fait dire que j'ai tout gâché ...
Je m'en veux de t'avoir laisser partir ,
et pourtant je ne cesse de t'oublier ...
Je m'en veux de te laisser m'anéantir ,
et pourtant je reste à tes côtés ...
Chaque seconde , chaque jour qui passe ,
est une nouvelle épreuve à surmonter ...
A chaque fois que tu l'embrasses ,
je me sens de plus en plus délaissé ...
Si j'essaye de partir ,
c'est pour toi que je le fais ...
Si j'essaye de m'enfuir ,
c'est pour t'oublier à jamais ...
Me vois tu sur le long du port ?
c'est ici que je viens méditer ...
Vois tu ma peine , mes remords ?
c'est aujourd'hui que je vais me sacrifier ...
Les poèmes que tu distribues à tour de bras
Parcourent les panoplies brèves de l'océan
C'est un fructueux pactole
Des anguilles brûlantes
Glissées dans ton lit
Quelle douce et tendre hérésie
A la hauteur lunaire d'un capitaine étourdi
Que de te voir indomptable
Insoumis
sandoval a écrit :Les poèmes que tu distribues à tour de bras
Parcourent les panoplies brèves de l'océan
C'est un fructueux pactole
Des anguilles brûlantes
Glissées dans ton lit
Quelle douce et tendre hérésie
A la hauteur lunaire d'un capitaine étourdi
Que de te voir indomptable
Insoumis
Te souviens-tu qu'un jour nous nous sommes parlé
C'est l'hiver à Paris comme un arrêt cardiaque
Tu frissonnes Ta bouche fume Tes dents claquent
Viens te mettre à l'abri ma pauvre âme gelée
Viens te mettre à l'abri Mon ombre est un royaume
Où il fait toujours bon c'est un microclimat
Adieu la bise adieu le vent et les frimas
Le neige n'y est plus qu'un drap blanc de fantôme
Bonjour Monsieur Bonjour Madame S'il vous plait
Je cherche le métro le plus proche d'ici
C'est la première à droite et puis tout droit Merci
Elle n'est pas d'ici elle a l'accent anglais
Alors la tête droite et la jambe légère
Elle marche vers son évanouissement
Passante que je n'ai connue qu'un moment
Furtive voyageuse Ephémère étrangère
La gueule rouge du métro va t'avaler
Vers les tubes sans fin d'un grouillant estomac
Belle Anglaise rendue à ton anonymat
Où que tu sois partie où que tu sois allée
Te souviens-tu qu'un jour nous nous sommes parlé
Tout le poème est parti du premier vers ; le reste est venu ensuite...
sandoval a écrit :Les poèmes que tu distribues à tour de bras
Parcourent les panoplies brèves de l'océan
C'est un fructueux pactole
Des anguilles brûlantes
Glissées dans ton lit
Quelle douce et tendre hérésie
A la hauteur lunaire d'un capitaine étourdi
Que de te voir indomptable
Insoumis
La rédemption de mon âme agenouiller face à ton corps sans vie,
Observant ton souffle mourir le long de tes yeux fermer.
L'aura de ta chaleur qui s'évapore dans le néant d'une mort.
Tragédie de mon coeur dont l'heure qui s'écoule dans ton passé se nourrit d'amour et d'amitié.
Pour tous ce que tu m'as donner,
Pour tout ce que tu m'as apporter,
Pour avoir été celle qui m'a porté en toi durant neuf mois.
Pour être celle que j'aimerais jusqu'à l'éternité de mon âme éteinte près de la tienne.
Pour rester vivante dans mon coeur.
Pour me souvenir éternellement de toi.
Juste un mot.
La caresse de tes mains dans mes cheveux.
Ton sourire si doux me berçant lentement contre toi.
Pour tout ça ...
Je n'ai que ça maintenant.
Maman ... Je t'aimerais éternellement, jusqu'à ma mort, et dans le néant de mon oublie,
Je viendrais me réfugier dans tes bras grands ouverts.
Entouré d'un halo blanc,
La lumière jaunit se reflète,
Sur la surface du lac.
Petites paillettes d'une vie meurtrie,
Cercle vicieux voici la lettre O.
Rouge comme le sang de ta blessure,
Incapable de couler,
La couleur de tes yeux mariage unique.
Produire l'impensable,
Réunir deux anges dans le sable.
Louange aux anges,
Leurs joues baignées d'eau... Salé... Sucré...
Gourmandise divine au bord d'un lac glacé.
Je suis seul, un garçon bloquer dans un corps de fille. Je me hais mais je m’aime comme je suis, je m’accepte même si ma masculinité prend le dessus de temps à autres.
J’ai peur et je n’ai pas peur je suis contradictoire comme ma personnalité à la fois dur et tendre, sévère mais fragile. Je suis ambigu mais je sais ce que je veux. Je veux vivre avec une fille que je vais aimer et chérir jusqu'à ce que mon amour soit épuisé et que ma vie s’éteigne au creux de ses bras. Suis-je normal ? Oui et je suis fier de le dire aujourd’hui...
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Seule
Je suis seule, entouré de beaucoup de monde mais seule, dans mon cœur dans mon âme désespérément seule.
J’ai envie de le crier, mais ce cri n’est qu’intérieur.
J’ai besoin que l’on m’aime, j’ai besoin que l’on me chérisse mais personne ne veut de moi.
Je suis seule.
Triste réalité, je fais pourtant des efforts mais voilà personne ne veux de moi.
J’ai pourtant espérée mais jamais rien ne se produit et je suis et reste seule.
J’ai mal dans mon cœur de cette solitude trop pesante.
J’ai mal dans mon âme de la froideur de cette solitude qui c’est accroché à moi.
Elle ne veut plus me lâcher, pourtant j’aimerais l’oublier rien qu’un seul instant.
Je suis solitaire et j’ai peur de la solitude.
Je ne suis rien de plus qu’une âme errante qui ne trouvera pas de lumière pour se réchauffer un peu.
Et je pleure, je pleure intérieurement des remarques faite par ma famille, et je pleure de voir les autres heureux alors que je hurle de chagrin.
Personne pour moi, OK je m’en vais…Bye.