Ecrivains professionnels ?

[Cactus moribond]

Les appels à textes et autres concours ça peut être un bon moyen de tenter sa chance, mais l'inconvénient c'est que du coup ils demandent systématiquement des formats courts, quoi.

Je confirme. J'ai gagné quelques concours de scenarii de courts métrages comme ça (aucun n'a vu la moindre caméra ), et du coup "on" m'avait demandé des textes genres nouvelles (ce qui va très bien à mon "style", je suis incapable de faire plus long, ça serait trop lourd, trop trop quoi). C'tait cool.

[Gé]

Ce qui me fait juste un peu flipper, c'est que c'est un monde où je ne connais personne. Je n'ai pas de potes ou de famille dans le milieu de l'édition

Alors réseaute à mort ma chérie! C'est aujourd'hui un des gros moyens pour avoir des contacts qui te permettront un jour de déboucher sur quelque chose
Linkedin, Facebook, twitter... fais toi connaitre.. En participant aux conversations, en likant des sujets.. c'est un vrai boulot à faire mais je te jure que ça marche

[Ma'iitsoh]

Déjà, Daisy :

Spoiler : :

De rien.
Ca reste une grande source d'inspiration. [/ironie]

Sinon, oui, il y a toujours effectivement la possibilité des concours pour apprendre à se faire connaître. Et ça me fera pas de mal de discipliner mon écriture. Et du coup, Eustache, tu nous diras les suites de ta petite épopée ? C'est déjà assez classieux de se lancer dans un concours sur la trame de Lovecraft, ça doit valoir le détour !

Oui, je pense aussi que je vais me lancer dans de la com. Quand il faut y aller, il faut y aller, hein !

[Eustache]

Sinon, oui, il y a toujours effectivement la possibilité des concours pour apprendre à se faire connaître. Et ça me fera pas de mal de discipliner mon écriture. Et du coup, Eustache, tu nous diras les suites de ta petite épopée ? C'est déjà assez classieux de se lancer dans un concours sur la trame de Lovecraft, ça doit valoir le détour !

Pas de souci. Puis si ça passe pas, je pourrais toujours te la filer si ça t'intéresse...

Oui, je pense aussi que je vais me lancer dans de la com. Quand il faut y aller, il faut y aller, hein !

Comme tu dis 8)

[Mizc]

L'idée de l'éditeur de livres numériques est bonne, surtout pour un premier roman, je connais quelqu'un qui a publié pour la première fois comme ça.

Pour les éditeurs "brick and mortar" (livres papiers), c'est mieux de se lancer quand on a un minimum de renommée, c'est pourquoi les concours lit' sont effectivement une bonne idée. Tu peux aussi te lancer dans les nouvelles, qui sont une bonne façon de se faire connaître. Il y a différentes plate-formes, comme celle-ci qui en édite quelques unes sur papier a posteriori : http://short-edition.com/ (mais je suis pas certaine que les droits soient rémunérés, donc prudence...)

[Ma'iitsoh]

Carrément, Eustache !

Merci Mizc, je vais m'intéresser à tout ça. J'ai trouvé également une édition numérique où apparemment, les gens sont formidables et très intéressés par de nouveaux manuscrits... *tâtage de moi*

A tout hasard, y a-t-il d'autres zécrivain(e)s dans les parages qui pourraient partager leur expérience ?

[Ma'iitsoh]

Le monde de l'édition, c'est le jeu des montagnes russes un peu.
J'ai reçu un courrier du grande ME, bien connue, avec dedans...une réponse positive ! Mon roman a séduit le comité de lecture, ils veulent publier, patati patata... Je suis aux anges ! Et puis... Et puis... Malgré la promesse d'un compte d'éditeur (qui permet à l'auteur de ne rien débourser), ici, on m'explique qu'on prône un système "participatif". Ce n'est pas un compte d'éditeur ni même un compte d'auteur, c'est l'entre deux : l'auteur paye au départ et l'édition se charge de tout faire ensuite (ça inclue même des produits dérivés et tout).
Donc, on me demande de débourser une somme astronomique que je n'ai pas (ça se traduit en milliers...). Alors oui, ça couvrirait toute les impressions du roman, la publicité et les partenariats (c'est avec des trucs genre Fnac, France Culture, France 2...le truc balèze, quoi).
L'émotion retombe. Sur les avis zinternet, il y a autant de positif que de négatif. Des gens sont ravis d'avoir tenté l'expérience quand même et de se retrouver dans des grandes enseignes, avec le nom de la ME, d'autres crient au scandale, en évoquant un compte d'auteur déguisé...
Je suis perplexe.

[Sarablue]

Le monde de l'édition, c'est le jeu des montagnes russes un peu.
J'ai reçu un courrier du grande ME, bien connue, avec dedans...une réponse positive ! Mon roman a séduit le comité de lecture, ils veulent publier, patati patata... Je suis aux anges ! Et puis... Et puis... Malgré la promesse d'un compte d'éditeur (qui permet à l'auteur de ne rien débourser), ici, on m'explique qu'on prône un système "participatif". Ce n'est pas un compte d'éditeur ni même un compte d'auteur, c'est l'entre deux : l'auteur paye au départ et l'édition se charge de tout faire ensuite (ça inclue même des produits dérivés et tout).
Donc, on me demande de débourser une somme astronomique que je n'ai pas (ça se traduit en milliers...). Alors oui, ça couvrirait toute les impressions du roman, la publicité et les partenariats (c'est avec des trucs genre Fnac, France Culture, France 2...le truc balèze, quoi).
L'émotion retombe. Sur les avis zinternet, il y a autant de positif que de négatif. Des gens sont ravis d'avoir tenté l'expérience quand même et de se retrouver dans des grandes enseignes, avec le nom de la ME, d'autres crient au scandale, en évoquant un compte d'auteur déguisé...
Je suis perplexe.

[Ma'iitsoh]

Le monde de l'édition, c'est le jeu des montagnes russes un peu.
J'ai reçu un courrier du grande ME, bien connue, avec dedans...une réponse positive ! Mon roman a séduit le comité de lecture, ils veulent publier, patati patata... Je suis aux anges ! Et puis... Et puis... Malgré la promesse d'un compte d'éditeur (qui permet à l'auteur de ne rien débourser), ici, on m'explique qu'on prône un système "participatif". Ce n'est pas un compte d'éditeur ni même un compte d'auteur, c'est l'entre deux : l'auteur paye au départ et l'édition se charge de tout faire ensuite (ça inclue même des produits dérivés et tout).
Donc, on me demande de débourser une somme astronomique que je n'ai pas (ça se traduit en milliers...). Alors oui, ça couvrirait toute les impressions du roman, la publicité et les partenariats (c'est avec des trucs genre Fnac, France Culture, France 2...le truc balèze, quoi).
L'émotion retombe. Sur les avis zinternet, il y a autant de positif que de négatif. Des gens sont ravis d'avoir tenté l'expérience quand même et de se retrouver dans des grandes enseignes, avec le nom de la ME, d'autres crient au scandale, en évoquant un compte d'auteur déguisé...
Je suis perplexe.

Voilà.

[Sarablue]

Le monde de l'édition, c'est le jeu des montagnes russes un peu.
J'ai reçu un courrier du grande ME, bien connue, avec dedans...une réponse positive ! Mon roman a séduit le comité de lecture, ils veulent publier, patati patata... Je suis aux anges ! Et puis... Et puis... Malgré la promesse d'un compte d'éditeur (qui permet à l'auteur de ne rien débourser), ici, on m'explique qu'on prône un système "participatif". Ce n'est pas un compte d'éditeur ni même un compte d'auteur, c'est l'entre deux : l'auteur paye au départ et l'édition se charge de tout faire ensuite (ça inclue même des produits dérivés et tout).
Donc, on me demande de débourser une somme astronomique que je n'ai pas (ça se traduit en milliers...). Alors oui, ça couvrirait toute les impressions du roman, la publicité et les partenariats (c'est avec des trucs genre Fnac, France Culture, France 2...le truc balèze, quoi).
L'émotion retombe. Sur les avis zinternet, il y a autant de positif que de négatif. Des gens sont ravis d'avoir tenté l'expérience quand même et de se retrouver dans des grandes enseignes, avec le nom de la ME, d'autres crient au scandale, en évoquant un compte d'auteur déguisé...
Je suis perplexe.

Voilà.

J'ai une pote qui a été éditée y'a quelques années, j'ai point souviendre qu'elle avait eu des choses à payer.
Là, elle édite son nouveau bouquin, ça passe bouquin en ligne d'abord mais pareil, à part le fait qu'elle est payée 1500 ans après les premières publis, pas souvenir non plus qu'elle m'ait parlé d'avancer du fric (ce qui est tant mieux parce que c'est une pauvresse elle aussi)