sinon moi je me pointe je "suppose" que là tout de suite vous me maudissez intérieurement, et je vous insulte tous! non mais ho!!! c'est quoi cette cour d'école???? la rentrée c'est demain:!!!
/Vos textes et poèmes
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anonymeB
/modéré intégralement par lulu g qui a fait que ça toute la journée et qui en a plein le dos : ON NE SUPPOSE PAS QUE QUELQU'UN DESIRE SE LA PÊTER, RABAISSE LES AUTRES, LES PRENDS POUR DE LA CROTTE SI CETTE PERSONNE NE LE DIT PAS EXPRESSEMENT. on est pas la pour atenter des procès à des gens qui n'ont RIEN DIT et rien fait d'autre que de poster un poème qui respecte toutes les contraintes d'uin poème classique.
sinon moi je me pointe je "suppose" que là tout de suite vous me maudissez intérieurement, et je vous insulte tous! non mais ho!!! c'est quoi cette cour d'école???? la rentrée c'est demain:!!! /
sinon moi je me pointe je "suppose" que là tout de suite vous me maudissez intérieurement, et je vous insulte tous! non mais ho!!! c'est quoi cette cour d'école???? la rentrée c'est demain:!!!
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anonymeB
C'est pas des artistes pour toi parceque tu n'aimes pas, nuance. Mais pour d'autres personnes, ce sont des artistes, si ils comprennent leur musique.
Tu admettras aussi que tu disais que je ne comprenais rien à l'art, que ça m'échappait, ce qui est faux, sinon je m'y interesserais pas, je suppose que c'est simple non?
De même qu'au final écrire 10 lignes de "poésie" ne fait pas de quelqu'un artiste, comme tu le dis, alors je vois pas en quoi je n'aurai pas le droit de critiquer.
Quand à la faute que j'ai fait, c'est un bon moyen de tenter d'apporter des arguments /modéré par luluG/
Tu admettras aussi que tu disais que je ne comprenais rien à l'art, que ça m'échappait, ce qui est faux, sinon je m'y interesserais pas, je suppose que c'est simple non?
De même qu'au final écrire 10 lignes de "poésie" ne fait pas de quelqu'un artiste, comme tu le dis, alors je vois pas en quoi je n'aurai pas le droit de critiquer.
Quand à la faute que j'ai fait, c'est un bon moyen de tenter d'apporter des arguments /modéré par luluG/
Voyous en virée
Bises
Patricia
mon recueil : sur le site de la maison d'édition :
http://www.edveri.com/
mes sites de poésie mis à jour le 20 juillet 2006 :
http://perso.wanadoo.fr/patricia-guenot/
http://patricia.guenot.free.fr/
Voyous en virée
---------------------
Dans une auto chourée sur un parking immense,
Les voyous avinés, drivés par un flambeur,
Sillonnent la cité dont les balcons en fleurs
Attisent leur désir de coupable violence.
Sous le ciel assombri, les crapules se lancent
À l’assaut d’un appart constellé de splendeurs
Qu’ils embarquent sous l’œil flamboyant de fureur
Du vigile surpris dans son incompétence.
Au coin d’un boulevard, la tire des casseurs
Emboutit un taxi dont surgit le chauffeur
Qui brandit un pétard en réclamant vengeance.
Quand se pointe un tandem de poulets fureteurs,
Les truands amateurs caltent de toute urgence,
Loin de l’accidenté dont les ennuis commencent.
Patricia
mon recueil : sur le site de la maison d'édition :
http://www.edveri.com/
mes sites de poésie mis à jour le 20 juillet 2006 :
http://perso.wanadoo.fr/patricia-guenot/
http://patricia.guenot.free.fr/
Voyous en virée
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Dans une auto chourée sur un parking immense,
Les voyous avinés, drivés par un flambeur,
Sillonnent la cité dont les balcons en fleurs
Attisent leur désir de coupable violence.
Sous le ciel assombri, les crapules se lancent
À l’assaut d’un appart constellé de splendeurs
Qu’ils embarquent sous l’œil flamboyant de fureur
Du vigile surpris dans son incompétence.
Au coin d’un boulevard, la tire des casseurs
Emboutit un taxi dont surgit le chauffeur
Qui brandit un pétard en réclamant vengeance.
Quand se pointe un tandem de poulets fureteurs,
Les truands amateurs caltent de toute urgence,
Loin de l’accidenté dont les ennuis commencent.
Ligne solitaire
Bises
Patricia
mon recueil : sur le site de la maison d'édition :
http://www.edveri.com/
mes sites de poésie mis à jour le 7 septembre 2006 :
http://perso.wanadoo.fr/patricia-guenot/
http://patricia.guenot.free.fr/
Ligne solitaire
---------------------
Sourd au charivari de propos insipides,
Tristement affalé sur le bord du comptoir,
Le jeune vagabond noie ses papillons noirs
Dans un poisseux torrent de mensonges liquides.
L’écheveau silencieux de ses peurs se dévide
Dans le flot ténébreux de l’ivresse du soir,
Qui l’emmène voguer, sur le fil du rasoir,
Jusqu’au douillet pays des rêves intrépides.
Quand la main du chagrin lacère son poitrail,
Guidé par le hasard, il délaisse les rails
De l’ennui pour tracer sa ligne solitaire.
Il assemble ses joies en fascinant bouquet
Dont l’enivrant parfum chasse l’odeur amère
Des nuits de beuveries dans d’infâmes troquets.
Patricia
mon recueil : sur le site de la maison d'édition :
http://www.edveri.com/
mes sites de poésie mis à jour le 7 septembre 2006 :
http://perso.wanadoo.fr/patricia-guenot/
http://patricia.guenot.free.fr/
Ligne solitaire
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Sourd au charivari de propos insipides,
Tristement affalé sur le bord du comptoir,
Le jeune vagabond noie ses papillons noirs
Dans un poisseux torrent de mensonges liquides.
L’écheveau silencieux de ses peurs se dévide
Dans le flot ténébreux de l’ivresse du soir,
Qui l’emmène voguer, sur le fil du rasoir,
Jusqu’au douillet pays des rêves intrépides.
Quand la main du chagrin lacère son poitrail,
Guidé par le hasard, il délaisse les rails
De l’ennui pour tracer sa ligne solitaire.
Il assemble ses joies en fascinant bouquet
Dont l’enivrant parfum chasse l’odeur amère
Des nuits de beuveries dans d’infâmes troquets.
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ExMembre L
je me demande pourquoi tu utilises la forme sonnet.
c'est quand même une forme ultra classqieu et ultra contraignante.
perso je serais plus du style à adapter la forme au fond.
parler de braqueurs avec un sonnet n'est pas la solution que j'aurais choisie.
personnellment c'est une forme que j'apprécie particulièrement et que j'adore utiliser, mais il faut que la contrainte fasse exploser une richesse que le texte n'aurait pas trouvé sinon.
ensuite, la narration est un type de texte qui doit se développer plus ou moins mais quand même toujours plus qu'un sonnet qui vise son terme dans une extrême conscision. je n'aurais pas choisi non plus d'essayer de faire entrer la narration dans le carcan d'un sonnet. Mais ça reste personnel!
c'est quand même une forme ultra classqieu et ultra contraignante.
perso je serais plus du style à adapter la forme au fond.
parler de braqueurs avec un sonnet n'est pas la solution que j'aurais choisie.
personnellment c'est une forme que j'apprécie particulièrement et que j'adore utiliser, mais il faut que la contrainte fasse exploser une richesse que le texte n'aurait pas trouvé sinon.
ensuite, la narration est un type de texte qui doit se développer plus ou moins mais quand même toujours plus qu'un sonnet qui vise son terme dans une extrême conscision. je n'aurais pas choisi non plus d'essayer de faire entrer la narration dans le carcan d'un sonnet. Mais ça reste personnel!
Justement,
le sonnet est la forme que je préfère, jen ai écrit plus de 2000 et des très classiques.
c'est très technique comme écriture, et très tendu, avec un climat intense, une montée très propice aux chutes.
Et l'utilisation de l'argot ... eh bien justement, c'est original et cela m'a permis de rallier pas mal de monde à la poésie en vers.
Le slam, la poésie écrite à la va vite.. ce n'est pas mon truc.
A chacun ses goûts, voilà les miens
amicalement
le sonnet est la forme que je préfère, jen ai écrit plus de 2000 et des très classiques.
c'est très technique comme écriture, et très tendu, avec un climat intense, une montée très propice aux chutes.
Et l'utilisation de l'argot ... eh bien justement, c'est original et cela m'a permis de rallier pas mal de monde à la poésie en vers.
Le slam, la poésie écrite à la va vite.. ce n'est pas mon truc.
A chacun ses goûts, voilà les miens
amicalement
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ExMembre L
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sandoval
Au fond libre à chacun de faire la poésie qu'il veut, de faire sa poésie.Moi tout ce qui est sonnet et toutes les formes poétiques classiques c'est bien simple je ne connais pas du tout.J'ai pas du tout la même approche.Ce qu'on pourrait qualifier d'écriture à la va vite est une écriture non réfléchie et quasi spontanée.Vers libre ou n'importe quoi ça me dérange pas du tout,je cherche pas à savoir si je fais de la mauvaise ou bonne poésie mais je fais ma poésie avec tout ce que je ressens!C'est toujours bête de créer des clivages au sein de l'écriture et de la poésie...voilà c'était mon p'tit mot du soir
Je n'ai pas dit que tu aimes la poésie écrite sur un coin de table. Je parle de mes goûts.
Si tu vas voir mes sites, tu verras que je n'écris pas que des sonnets, et même pas qu'en vers ...
Voilà, j'aime la diversité de la langue et de la poésie.
Et j'aime les textes travaillés et dépourvus de fautes d'orthographe.
Mort aimable (un sonnet classique)
-------------------------------------------
Quand le passé déverse un torrent de souffrances
Nichées dans les recoins de chaque souvenir
Sur mon cœur affaibli, dépourvu de désirs,
Sinistre compagnon de ma désespérance ;
Quand le présent répand l’amère putrescence
De la vaine amitié, zélée à me trahir,
Sur mon âme blessée, épuisée de subir
L’implacable poignard de l’infernal silence ;
Quand le linceul glacé qui couvre l’avenir
Étouffe l’horizon qui commence à noircir
Sous les feux maladifs d’un soleil sans défense ;
Mon esprit avisé m’intime de mourir
Afin de mettre un terme au désarroi immense
Qui creuse mon tombeau dans la nuit qui s’avance.
Clinquante automobile (un rondel déjanté)
-----------------------------------------------------
Dans la clinquante automobile,
L’alligator s’ennuie à mort
Sous l’œil amusé du condor
Qui déteste les crocodiles.
Le troupeau de zèbres jubile
Car la lionne a perdu le nord.
Dans la clinquante automobile,
L’alligator s’ennuie à mort.
Sur le livre des Évangiles,
Le roi des animaux s’endort,
Pendant que le prince consort
Dévore une vierge nubile
Dans la clinquante automobile.
J’écrirai ton empire (une forme inventée)
---------------------------------------------------
Comme une pluie d’été qui calmement dépose
Un voile de fraîcheur aux portes du matin,
Je viendrai effleurer tes doux cheveux châtains
D’un geste plus léger qu’un pétale de rose.
Je sculpterai ton rire.
Guidée par les échos de ta voix argentine
Répandue en milliers de refrains mélodieux,
J’embrasserai tes pleurs sur le bord de tes yeux
Afin de soulager ta mémoire chagrine.
Je noierai tes vampires.
Entraînée dans les plis du désert solitaire
De ton âme meurtrie par tes espoirs déçus,
Je draperai tes peurs dans le soyeux tissu
De ma tendresse ardente aux griffes volontaires.
J’écrirai ton empire.
Une partie de la saveur du fruit (de la prose)
-------------------------------------------
Vous serez une partie de la saveur du fruit, ce fruit gorgé de surprenante tendresse, l’humanité. Vous serez doux comme le miel des premières fleurs, comme le printemps après un hiver rigoureux, comme un sol tapissé de feuilles en automne.
Vous serez la caresse d’un ange sur un visage assombri, la légèreté du papillon sur des épaules courbées.
Vous serez la note inattendue qui enchante l’oreille, le mot tendre qui emmène au pays des rêves, l’éclat cristallin du rire revenu après les épreuves.
Vous serez la promesse d’un monde de couleurs, vous serez la joie, mais vous serez un éclat minuscule d’un kaléidoscope étincelant de sensations multiples imbriquées dans une constellation infinie de merveilles et vous serez humbles.
Si tu vas voir mes sites, tu verras que je n'écris pas que des sonnets, et même pas qu'en vers ...
Voilà, j'aime la diversité de la langue et de la poésie.
Et j'aime les textes travaillés et dépourvus de fautes d'orthographe.
Mort aimable (un sonnet classique)
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Quand le passé déverse un torrent de souffrances
Nichées dans les recoins de chaque souvenir
Sur mon cœur affaibli, dépourvu de désirs,
Sinistre compagnon de ma désespérance ;
Quand le présent répand l’amère putrescence
De la vaine amitié, zélée à me trahir,
Sur mon âme blessée, épuisée de subir
L’implacable poignard de l’infernal silence ;
Quand le linceul glacé qui couvre l’avenir
Étouffe l’horizon qui commence à noircir
Sous les feux maladifs d’un soleil sans défense ;
Mon esprit avisé m’intime de mourir
Afin de mettre un terme au désarroi immense
Qui creuse mon tombeau dans la nuit qui s’avance.
Clinquante automobile (un rondel déjanté)
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Dans la clinquante automobile,
L’alligator s’ennuie à mort
Sous l’œil amusé du condor
Qui déteste les crocodiles.
Le troupeau de zèbres jubile
Car la lionne a perdu le nord.
Dans la clinquante automobile,
L’alligator s’ennuie à mort.
Sur le livre des Évangiles,
Le roi des animaux s’endort,
Pendant que le prince consort
Dévore une vierge nubile
Dans la clinquante automobile.
J’écrirai ton empire (une forme inventée)
---------------------------------------------------
Comme une pluie d’été qui calmement dépose
Un voile de fraîcheur aux portes du matin,
Je viendrai effleurer tes doux cheveux châtains
D’un geste plus léger qu’un pétale de rose.
Je sculpterai ton rire.
Guidée par les échos de ta voix argentine
Répandue en milliers de refrains mélodieux,
J’embrasserai tes pleurs sur le bord de tes yeux
Afin de soulager ta mémoire chagrine.
Je noierai tes vampires.
Entraînée dans les plis du désert solitaire
De ton âme meurtrie par tes espoirs déçus,
Je draperai tes peurs dans le soyeux tissu
De ma tendresse ardente aux griffes volontaires.
J’écrirai ton empire.
Une partie de la saveur du fruit (de la prose)
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Vous serez une partie de la saveur du fruit, ce fruit gorgé de surprenante tendresse, l’humanité. Vous serez doux comme le miel des premières fleurs, comme le printemps après un hiver rigoureux, comme un sol tapissé de feuilles en automne.
Vous serez la caresse d’un ange sur un visage assombri, la légèreté du papillon sur des épaules courbées.
Vous serez la note inattendue qui enchante l’oreille, le mot tendre qui emmène au pays des rêves, l’éclat cristallin du rire revenu après les épreuves.
Vous serez la promesse d’un monde de couleurs, vous serez la joie, mais vous serez un éclat minuscule d’un kaléidoscope étincelant de sensations multiples imbriquées dans une constellation infinie de merveilles et vous serez humbles.
Sandoval,
Je suis d'accord avec toi sur le principe. A chacun ses goûts. Je ne suis personnellement pas sensible à la poésie spontanée que je trouve trop "banale" mais ce n'est que mon opinion et pas un jugement de valeur.
Tout ce que je demande est d'être respectée et pas insultée... et cela ce n'est pas gagné d'avance dans les forums sur Internet.
Je ne comprends pas pourquoi certains lecteurs s'en prennent aux écriains à la sensibilité différnete de la leur. C'est une forme d'intolérance gravissime.
En tant qu'homosexuelle, praticienne de reiki et citoyenne de l'univers, je me sens un devoir d'ouverture, vraiment, et je suis attristée de contater que ce sentiment n'est pas assez partagé mais c'est un autre débat.
Amicalement
Je suis d'accord avec toi sur le principe. A chacun ses goûts. Je ne suis personnellement pas sensible à la poésie spontanée que je trouve trop "banale" mais ce n'est que mon opinion et pas un jugement de valeur.
Tout ce que je demande est d'être respectée et pas insultée... et cela ce n'est pas gagné d'avance dans les forums sur Internet.
Je ne comprends pas pourquoi certains lecteurs s'en prennent aux écriains à la sensibilité différnete de la leur. C'est une forme d'intolérance gravissime.
En tant qu'homosexuelle, praticienne de reiki et citoyenne de l'univers, je me sens un devoir d'ouverture, vraiment, et je suis attristée de contater que ce sentiment n'est pas assez partagé mais c'est un autre débat.
Amicalement