Vos textes et poèmes
Bah, tu peux tranquillement oublier ça: le "prix gagné" n'est qu'un concours sur Internet, où le premier prix est de ... 200 euros....Jonas a écrit : , ou de nous faire remarquer tes performances et prix gagnés.
Sympathique, m'enfin, ça m'étonnerait que ça reste dans les annales de la poésie hein. Pas de quoi en faire un plat, bref.
sandoval a écrit :Vangelis...ce texte de Pierre Bachelet est super touchant...
Disons qu'il est (était) un chanteur qui "ne se la pétait pas" !
En dehors de la scène, il n'aimait pas trop être sous les projecteurs.
Il était très proche des gens simples, les petites gens comme ils se plaisait à le dire et dont il fit également une chanson.
Bien sûr, c'est un chanteur de ma génération, ce qui peut sembler dépasser pour certains jeunes d'aujourd'hui, mais, ce qui me plaisait bien en lui, c'était sa façon de voir le monde, de l'analyser et d'en parler...en chantant !
Un petit clin d'oeil au Rainbow !
Les couleurs de l'amitié !
Un jour, toutes les couleurs du monde se mirent à se disputer entre elles, chacune prétendant être la meilleure, la plus importante, la plus belle, la plus utile, la favorite.
Le vert affirma :
Je suis le plus essentiel, c’est indéniable. Je représente la vie et de l'espoir. J'ai été choisi pour l'herbe, les arbres et les feuilles. Sans moi, les animaux mourraient. Regardez la campagne et vous verrez que je suis majoritaire.
Le bleu prit la parole :
Tu ne penses qu’à la terre mais tu oublies le ciel et l’océan. C’est l’eau qui est la base de la vie alors que le ciel nous donne l’espace, la paix et la sérénité. Sans moi, vous ne seriez rien.
Le jaune rit dans sa barbe :
Vous êtes bien trop sérieux. Moi j’apporte le rire, la gaieté et la chaleur dans le monde. À preuve, le soleil est jaune, tout comme la lune et les étoiles. Chaque fois que vous regardez un tournesol, il vous donne le goût du bonheur. Sans moi, il n’y aurait aucun plaisir sur cette terre.
L’orange éleva sa voix dans le tumulte :
Je suis la couleur de la santé et de la force. On me voit peut-être moins souvent que vous mais je suis utile aux besoins de la vie humaine. Je transporte les plus importantes vitamines. Pensez aux carottes, aux citrouilles, aux oranges aux mangues et aux papayes. Je ne suis pas là tout le temps mais quand je colore le ciel au lever ou au coucher du soleil, ma beauté est telle que personne ne remarque plus aucun de vous.
Le rouge qui s’était retenu jusque là, prit la parole haut et fort :
C’est moi le chef de toutes les couleurs car je suis le sang, le sang de la vie. Je suis la couleur du danger et de la bravoure. Je suis toujours prêt à me battre pour une cause. Sans moi, la terre serait aussi vide que la lune. Je suis la couleur de la passion et de l’amour, de la rose rouge, du poinsettia et du coquelicot.
Le pourpre se leva et parla dignement :
Je suis la couleur de la royauté et du pouvoir. Les rois, les chefs et les évêques m’ont toujours choisie parce que je suis le signe de l’autorité et de la sagesse. Les gens ne m’interrogent pas, ils écoutent et obéissent.
Finalement, l’indigo prit la parole, beaucoup plus calmement que les autres mais avec autant de détermination :
Pensez à moi, je suis la couleur du silence. Vous ne m’avez peut-être pas remarquée mais sans moi vous seriez insignifiantes. Je représente la pensée et la réflexion, l’ombre du crépuscule et les profondeurs de l’eau. Vous avez besoin de moi pour l’équilibre, le contraste et la paix intérieure.
Et ainsi les couleurs continuèrent à se vanter, chacune convaincue de sa propre supériorité. Leur dispute devint de plus en plus sérieuse. Mais soudain, un éclair apparut dans le ciel et le tonnerre gronda. La pluie commença à tomber fortement. Inquiètes, les couleurs se rapprochèrent les unes des autres pour se rassurer.
Au milieu de la clameur, la pluie prit la parole :
Idiotes ! Vous n’arrêtez pas de vous chamailler, chacune essaie de dominer les autres. Ne savez-vous pas que vous existez toutes pour une raison spéciale, unique et différente ? Joignez vos mains et venez à moi. Les couleurs obéirent et unirent leurs mains.
La pluie poursuivit :
Dorénavant, quand il pleuvra, chacune de vous traversera le ciel pour former un grand arc de couleurs et démontrer que vous pouvez toutes vivre ensemble en harmonie. L’arc-en-ciel est un signe d’espoir pour demain.
Et, chaque fois que la pluie lavera le monde, un arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel, pour nous rappeler de nous apprécier les uns les autres.
Auteur inconnu
Les couleurs de l'amitié !
Un jour, toutes les couleurs du monde se mirent à se disputer entre elles, chacune prétendant être la meilleure, la plus importante, la plus belle, la plus utile, la favorite.
Le vert affirma :
Je suis le plus essentiel, c’est indéniable. Je représente la vie et de l'espoir. J'ai été choisi pour l'herbe, les arbres et les feuilles. Sans moi, les animaux mourraient. Regardez la campagne et vous verrez que je suis majoritaire.
Le bleu prit la parole :
Tu ne penses qu’à la terre mais tu oublies le ciel et l’océan. C’est l’eau qui est la base de la vie alors que le ciel nous donne l’espace, la paix et la sérénité. Sans moi, vous ne seriez rien.
Le jaune rit dans sa barbe :
Vous êtes bien trop sérieux. Moi j’apporte le rire, la gaieté et la chaleur dans le monde. À preuve, le soleil est jaune, tout comme la lune et les étoiles. Chaque fois que vous regardez un tournesol, il vous donne le goût du bonheur. Sans moi, il n’y aurait aucun plaisir sur cette terre.
L’orange éleva sa voix dans le tumulte :
Je suis la couleur de la santé et de la force. On me voit peut-être moins souvent que vous mais je suis utile aux besoins de la vie humaine. Je transporte les plus importantes vitamines. Pensez aux carottes, aux citrouilles, aux oranges aux mangues et aux papayes. Je ne suis pas là tout le temps mais quand je colore le ciel au lever ou au coucher du soleil, ma beauté est telle que personne ne remarque plus aucun de vous.
Le rouge qui s’était retenu jusque là, prit la parole haut et fort :
C’est moi le chef de toutes les couleurs car je suis le sang, le sang de la vie. Je suis la couleur du danger et de la bravoure. Je suis toujours prêt à me battre pour une cause. Sans moi, la terre serait aussi vide que la lune. Je suis la couleur de la passion et de l’amour, de la rose rouge, du poinsettia et du coquelicot.
Le pourpre se leva et parla dignement :
Je suis la couleur de la royauté et du pouvoir. Les rois, les chefs et les évêques m’ont toujours choisie parce que je suis le signe de l’autorité et de la sagesse. Les gens ne m’interrogent pas, ils écoutent et obéissent.
Finalement, l’indigo prit la parole, beaucoup plus calmement que les autres mais avec autant de détermination :
Pensez à moi, je suis la couleur du silence. Vous ne m’avez peut-être pas remarquée mais sans moi vous seriez insignifiantes. Je représente la pensée et la réflexion, l’ombre du crépuscule et les profondeurs de l’eau. Vous avez besoin de moi pour l’équilibre, le contraste et la paix intérieure.
Et ainsi les couleurs continuèrent à se vanter, chacune convaincue de sa propre supériorité. Leur dispute devint de plus en plus sérieuse. Mais soudain, un éclair apparut dans le ciel et le tonnerre gronda. La pluie commença à tomber fortement. Inquiètes, les couleurs se rapprochèrent les unes des autres pour se rassurer.
Au milieu de la clameur, la pluie prit la parole :
Idiotes ! Vous n’arrêtez pas de vous chamailler, chacune essaie de dominer les autres. Ne savez-vous pas que vous existez toutes pour une raison spéciale, unique et différente ? Joignez vos mains et venez à moi. Les couleurs obéirent et unirent leurs mains.
La pluie poursuivit :
Dorénavant, quand il pleuvra, chacune de vous traversera le ciel pour former un grand arc de couleurs et démontrer que vous pouvez toutes vivre ensemble en harmonie. L’arc-en-ciel est un signe d’espoir pour demain.
Et, chaque fois que la pluie lavera le monde, un arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel, pour nous rappeler de nous apprécier les uns les autres.
Auteur inconnu
Frissons matinaux
Bises
Patricia
mon recueil : sur le site de la maison d'édition :
http://www.edveri.com/
Mes sites de poésie mis à jour le 13 septembre 2006 :
http://perso.wanadoo.fr/patricia-guenot/
http://patricia.guenot.free.fr/
Frissons matinaux
------------------------
Pendant que tu m’oublies dans tes rêves candides
Au pays silencieux de tes espoirs nombreux,
Je hante ton sommeil d’un tourbillon fiévreux
De secrètes pensées pétries de joie limpide.
Dans le jardin obscur où tes nuits se dévident,
J’arrache les chardons de tes doutes affreux
Avant de déverser un torrent vigoureux
De désirs qui noieront ta tristesse perfide.
Dans ta chambre envahie de tes dessins d’enfant,
Je sème allégrement un bouquet triomphant
D’ardentes voluptés imprégnées de tendresse.
Doucement éveillée par les lumières d’or
D’un soleil matinal débordant de promesses,
Tu souris aux frissons qui germent sur ton corps.
Patricia
mon recueil : sur le site de la maison d'édition :
http://www.edveri.com/
Mes sites de poésie mis à jour le 13 septembre 2006 :
http://perso.wanadoo.fr/patricia-guenot/
http://patricia.guenot.free.fr/
Frissons matinaux
------------------------
Pendant que tu m’oublies dans tes rêves candides
Au pays silencieux de tes espoirs nombreux,
Je hante ton sommeil d’un tourbillon fiévreux
De secrètes pensées pétries de joie limpide.
Dans le jardin obscur où tes nuits se dévident,
J’arrache les chardons de tes doutes affreux
Avant de déverser un torrent vigoureux
De désirs qui noieront ta tristesse perfide.
Dans ta chambre envahie de tes dessins d’enfant,
Je sème allégrement un bouquet triomphant
D’ardentes voluptés imprégnées de tendresse.
Doucement éveillée par les lumières d’or
D’un soleil matinal débordant de promesses,
Tu souris aux frissons qui germent sur ton corps.
Ce matin j'étais un pensif sur beaucoup de choses...voilà ce que j'ai écris
I wanna be wanna be...Jim Morisson!!
Chacun rêve d'être important.
Important pour les autres, important pour la foule qui s'émerveille devant nous.
Mais être important pour soi c'est déjà pas si mal.
Can't remember what they said to make me out to be the hero.
Un héros sommeille en nous.
Un truc de gosse.
Une toile de fond avec des étoiles sur les papilles de notre langue tout rose.
Chacun rêve d'être aimé à sa juste mesure
Chacun rêve d'être embrassé à plus soif
Chacun souhaite se réveiller dans les bras du lit avec les oreillers
Chaque jour est une nouvelle vie
Une nouvelle possibilité de changer
Une nouvelle possibilité d'avancer
Même si c'est pour changer de trottoir
But I'm a creep, I'm a weirdo...
Parfois on essaie de préserver le peu qui nous reste de pur dans l'herbe
Mais les souvenirs rappliquent avec leurs faux airs de cigarette
Puis un matin
Un lever sans magie aucune
Avec un haut de coeur quotidien
On s'étonne encore de pouvoir tenir debout
What have I become? My sweetest friend
Everyone I know
Goes away in the end
Où est donc passé la flamme?
Où est donc passé l'éclair inouï du génie Enfant?
Où est donc passé l'espoir sur le point de naître?
Les mains et les yeux de nos rêves empereurs ont disparu
On s'entête
On cotoie le rêve sans jamais l'aborder
On l'ignore presque
Paralysé entre l'envie de vivre et le complexe de l'insecte
Perdu dans une jungle aquatique
Une flaque d'eau
Pourtant autrefois j'étais quelqu'un de bien
Un héros en devenir
Pour tracer ma route maintenant
Je ne compte plus que sur moi même
I'm okay
I'm on track
on my way
and I can't turn back
I stayed
on this track
gone too far
and I can't come back
I stayed
on this track
lost my way
can't come back
Chacun porte en lui le rêve de l'Enfant
Celui du cheval galopant à perdre haleine
Sans cesse
Avance
Progresse
Chute
Puis se relève
A l'infini
I wanna be wanna be...Jim Morisson!!
Chacun rêve d'être important.
Important pour les autres, important pour la foule qui s'émerveille devant nous.
Mais être important pour soi c'est déjà pas si mal.
Can't remember what they said to make me out to be the hero.
Un héros sommeille en nous.
Un truc de gosse.
Une toile de fond avec des étoiles sur les papilles de notre langue tout rose.
Chacun rêve d'être aimé à sa juste mesure
Chacun rêve d'être embrassé à plus soif
Chacun souhaite se réveiller dans les bras du lit avec les oreillers
Chaque jour est une nouvelle vie
Une nouvelle possibilité de changer
Une nouvelle possibilité d'avancer
Même si c'est pour changer de trottoir
But I'm a creep, I'm a weirdo...
Parfois on essaie de préserver le peu qui nous reste de pur dans l'herbe
Mais les souvenirs rappliquent avec leurs faux airs de cigarette
Puis un matin
Un lever sans magie aucune
Avec un haut de coeur quotidien
On s'étonne encore de pouvoir tenir debout
What have I become? My sweetest friend
Everyone I know
Goes away in the end
Où est donc passé la flamme?
Où est donc passé l'éclair inouï du génie Enfant?
Où est donc passé l'espoir sur le point de naître?
Les mains et les yeux de nos rêves empereurs ont disparu
On s'entête
On cotoie le rêve sans jamais l'aborder
On l'ignore presque
Paralysé entre l'envie de vivre et le complexe de l'insecte
Perdu dans une jungle aquatique
Une flaque d'eau
Pourtant autrefois j'étais quelqu'un de bien
Un héros en devenir
Pour tracer ma route maintenant
Je ne compte plus que sur moi même
I'm okay
I'm on track
on my way
and I can't turn back
I stayed
on this track
gone too far
and I can't come back
I stayed
on this track
lost my way
can't come back
Chacun porte en lui le rêve de l'Enfant
Celui du cheval galopant à perdre haleine
Sans cesse
Avance
Progresse
Chute
Puis se relève
A l'infini
Je n'ai pas trouvé de titre
Saphir
La jeune apocalypse est à son zénith
Tu fais craquer le bois de leurs vieilles mécaniques
J'ai beaucoup de choses à te raconter
Dansons sur la plaie
Tout le jour
Et aussi un peu la nuit
Ils m'ont enlevé
Ils m'ont déshabillé
Ils m'ont touché
Ils m'ont caressé
A l'angle de la rue
Là où bégaie le crépuscule
Nous nous sommes reconnus
Tu m'as enlevé
Déshabillé
Touché
Et caressé
Tu vois l'ombre qui panique
Dans l'eau profonde
Elle me ressemble
Mes efforts
Tous les brasses ne parviendront pas
Ne m'aideront pas à remonter
La pente
Saphir
J'écoute toujours les battements de tes lèvres
J'apprends le langage de l'herbe
Timide ascension
Tenace résolution
Survivre surtout
Survivre au coeur de ferraille qui paralyse nos actions
Survivre au baiser du soleil
En chaise roulante le courant des marées
En perte d'équilibre constant
Nos ancêtres indiens seront là
Mais nous où serons nous?
Renard du désert à moitié mort
Se remémore sans cesse
La chute et le début
De nos tremblements d'écorce
Heure de gloire pour l'ombre
La jeune apocalyspe est à son zénith
Le coeur s'emballe
Vite
Plus vite
Vite
Saphir
La jeune apocalypse est à son zénith
Tu fais craquer le bois de leurs vieilles mécaniques
J'ai beaucoup de choses à te raconter
Dansons sur la plaie
Tout le jour
Et aussi un peu la nuit
Ils m'ont enlevé
Ils m'ont déshabillé
Ils m'ont touché
Ils m'ont caressé
A l'angle de la rue
Là où bégaie le crépuscule
Nous nous sommes reconnus
Tu m'as enlevé
Déshabillé
Touché
Et caressé
Tu vois l'ombre qui panique
Dans l'eau profonde
Elle me ressemble
Mes efforts
Tous les brasses ne parviendront pas
Ne m'aideront pas à remonter
La pente
Saphir
J'écoute toujours les battements de tes lèvres
J'apprends le langage de l'herbe
Timide ascension
Tenace résolution
Survivre surtout
Survivre au coeur de ferraille qui paralyse nos actions
Survivre au baiser du soleil
En chaise roulante le courant des marées
En perte d'équilibre constant
Nos ancêtres indiens seront là
Mais nous où serons nous?
Renard du désert à moitié mort
Se remémore sans cesse
La chute et le début
De nos tremblements d'écorce
Heure de gloire pour l'ombre
La jeune apocalyspe est à son zénith
Le coeur s'emballe
Vite
Plus vite
Vite
-
- Messages : 2847
- Inscription : ven. juin 30, 2006 6:49 pm
J'adore (et c'est rare je suis plutôt difficile en poésie )sandoval a écrit :Je n'ai pas trouvé de titre
Saphir
La jeune apocalypse est à son zénith
Tu fais craquer le bois de leurs vieilles mécaniques
J'ai beaucoup de choses à te raconter
Dansons sur la plaie
Tout le jour
Et aussi un peu la nuit
Ils m'ont enlevé
Ils m'ont déshabillé
Ils m'ont touché
Ils m'ont caressé
A l'angle de la rue
Là où bégaie le crépuscule
Nous nous sommes reconnus
Tu m'as enlevé
Déshabillé
Touché
Et caressé
Tu vois l'ombre qui panique
Dans l'eau profonde
Elle me ressemble
Mes efforts
Tous les brasses ne parviendront pas
Ne m'aideront pas à remonter
La pente
Saphir
J'écoute toujours les battements de tes lèvres
J'apprends le langage de l'herbe
Timide ascension
Tenace résolution
Survivre surtout
Survivre au coeur de ferraille qui paralyse nos actions
Survivre au baiser du soleil
En chaise roulante le courant des marées
En perte d'équilibre constant
Nos ancêtres indiens seront là
Mais nous où serons nous?
Renard du désert à moitié mort
Se remémore sans cesse
La chute et le début
De nos tremblements d'écorce
Heure de gloire pour l'ombre
La jeune apocalyspe est à son zénith
Le coeur s'emballe
Vite
Plus vite
Vite
Qui être?
Comprendre pourquoi j'étais,
Savoir pourquoi je suis
Et bien voir ou je vais
Pour mieux voir ou je vis,
Tel était le destin
Qu'on semblait me tracer,
Tel était le chemin
Qui devait me guider.
Je parlais de la nuit,
Je ne comprenais pas
Je parlais des ennuis
Et je ne vivait pas...
Sans cesse et sans répit
J'ai appris a créer
Un masque de survie,
Une fausse identité...
Je crois que j'ai compris,
Tout ceci est bien vrai,
On dirait que ma vie
J'en entrevoit l'aspect.
J'ai trouvé les réponses,
Poser d'autres questions
Et j'ai détruit les ronces
Pour voir la, tout au fond.
Ces ronces qui se dressaient
Pour m'empécher de voir,
Ces ronces qui m'écorchaient
Pour m'empécher de croire.
Enfin je l'ai trouvé,
Le but qui me convient
Ce destin convoité
Aujourd'hui c'est le mien.
Percer tout les contours
D'un passé révolu
Et être pour toujours
Celui jadis perdu.
C'est pas extra mais je fait ca de la meme maniere que les gens qui écrivent un journal intime, c'est pas vraiment pour que ca soit lu mais surtout pour l'écrire. (je sais pas si quelqu'un va piger ca lol...)
En tout cas c'est comme ca pour les trois poêmes que j'ai fait pour le moment.
Comprendre pourquoi j'étais,
Savoir pourquoi je suis
Et bien voir ou je vais
Pour mieux voir ou je vis,
Tel était le destin
Qu'on semblait me tracer,
Tel était le chemin
Qui devait me guider.
Je parlais de la nuit,
Je ne comprenais pas
Je parlais des ennuis
Et je ne vivait pas...
Sans cesse et sans répit
J'ai appris a créer
Un masque de survie,
Une fausse identité...
Je crois que j'ai compris,
Tout ceci est bien vrai,
On dirait que ma vie
J'en entrevoit l'aspect.
J'ai trouvé les réponses,
Poser d'autres questions
Et j'ai détruit les ronces
Pour voir la, tout au fond.
Ces ronces qui se dressaient
Pour m'empécher de voir,
Ces ronces qui m'écorchaient
Pour m'empécher de croire.
Enfin je l'ai trouvé,
Le but qui me convient
Ce destin convoité
Aujourd'hui c'est le mien.
Percer tout les contours
D'un passé révolu
Et être pour toujours
Celui jadis perdu.
C'est pas extra mais je fait ca de la meme maniere que les gens qui écrivent un journal intime, c'est pas vraiment pour que ca soit lu mais surtout pour l'écrire. (je sais pas si quelqu'un va piger ca lol...)
En tout cas c'est comme ca pour les trois poêmes que j'ai fait pour le moment.