
Vos textes et poèmes
-
- Messages : 422
- Inscription : mar. mars 06, 2007 2:46 pm
Instant
Une onde de tristesse m'engloutis,
La vague de tristesse m'envahis.
Pourtant je la nie,
Elle me semble infinie.
Que tristesse s'en aille !, qu'elle trépasse !
En attendant je la trimballe,
Et d'un coup je m'emballe,
La panique s'installe.
Que tristesse s'en aille !, qu'elle trépasse !
Je fuis dans les ronds de fumée,
Je vacille, le cœur bien accroché.
Que tristesse s'en aille !, qu'elle trépasse !
Je souffle sur les braises de ma vie.
La vague de tristesse m'envahis.
Pourtant je la nie,
Elle me semble infinie.
Que tristesse s'en aille !, qu'elle trépasse !
En attendant je la trimballe,
Et d'un coup je m'emballe,
La panique s'installe.
Que tristesse s'en aille !, qu'elle trépasse !
Je fuis dans les ronds de fumée,
Je vacille, le cœur bien accroché.
Que tristesse s'en aille !, qu'elle trépasse !
Je souffle sur les braises de ma vie.
Bon j'ai compris le problème, il fallait que je poste sur ce topic et pas que j'en crée un nouveau, alors voilà:
Coeurs d'enfants:
Nos deux cœurs d'enfants
Enlacés pour toujours
Dans ce jeu envoûtant
Qu'on appelle l'amour
Jamais un jour ne passe
Sans que je pense à toi
Et même si tu te lasses
Je rêverai de toi
Pourquoi est-ce si dur
De vivre loin de toi
Sans penser au futur
Qui nous réunira
Je rêve de cette vie
Où l'on vivrait d'amour
Un amour si hardi
Qu'il durerai toujours
-------------------------------------------------------------------------------------
L'amour et la mort [PROSE]:
Je suis avec toi, nous sommes côte à côte, je t'enlace, je t'embrasse, mais jamais je ne me lasse...
... Peu à peu, le rêve s'efface...
Hier encore, tu étais à mes côtés, mais personne ne savait de quoi demain serait fait.
Et demain, c'est aujourd'hui, et aujourd'hui, tu n'es plus là...
Tu es sous terre, tu es devenue terre, et la terre t'entoure.
A présent, une incertitude me tourmente: As-tu vraiment existé? Ou t'ai-je créée dans mes pensées ?
Je ne sais pas, je ne sais plus... Je ne sais plus si tu existais, si tu m'aimais, si je t'aimais.
Mon esprit me joue des tours. Je suis seule et je souffre.
Je me plonge dans le noir dans l'espoir de te revoir ; mes pensées deviennent de plus en plus troubles, mes paupières se referment, le sol s'imbibe de mon sang, je me meurs.
Je crois te rejoindre au paradis, mais dans ce monde céleste, je ne parviens pas à te retrouver.
C'est alors que je me rends compte que tu n'as jamais existé.
Tu es née dans mes pensées, je t'ai inventée, imaginée, rêvée, aimée, mais jamais je ne t'ai rencontrée car jamais tu n'as existé.
Ma passion pour toi, être imaginaire, m'a fait perdre la vie. Et maintenant je suis à nouveau seule, mon existence se termine et tu n'es plus qu'un souvenir.
[J'ai rendu ça pour un devoir quand j'étais en seconde, je l'ai gardé parce que j'étais plutôt fière de moi]
Coeurs d'enfants:
Nos deux cœurs d'enfants
Enlacés pour toujours
Dans ce jeu envoûtant
Qu'on appelle l'amour
Jamais un jour ne passe
Sans que je pense à toi
Et même si tu te lasses
Je rêverai de toi
Pourquoi est-ce si dur
De vivre loin de toi
Sans penser au futur
Qui nous réunira
Je rêve de cette vie
Où l'on vivrait d'amour
Un amour si hardi
Qu'il durerai toujours
-------------------------------------------------------------------------------------
L'amour et la mort [PROSE]:
Je suis avec toi, nous sommes côte à côte, je t'enlace, je t'embrasse, mais jamais je ne me lasse...
... Peu à peu, le rêve s'efface...
Hier encore, tu étais à mes côtés, mais personne ne savait de quoi demain serait fait.
Et demain, c'est aujourd'hui, et aujourd'hui, tu n'es plus là...
Tu es sous terre, tu es devenue terre, et la terre t'entoure.
A présent, une incertitude me tourmente: As-tu vraiment existé? Ou t'ai-je créée dans mes pensées ?
Je ne sais pas, je ne sais plus... Je ne sais plus si tu existais, si tu m'aimais, si je t'aimais.
Mon esprit me joue des tours. Je suis seule et je souffre.
Je me plonge dans le noir dans l'espoir de te revoir ; mes pensées deviennent de plus en plus troubles, mes paupières se referment, le sol s'imbibe de mon sang, je me meurs.
Je crois te rejoindre au paradis, mais dans ce monde céleste, je ne parviens pas à te retrouver.
C'est alors que je me rends compte que tu n'as jamais existé.
Tu es née dans mes pensées, je t'ai inventée, imaginée, rêvée, aimée, mais jamais je ne t'ai rencontrée car jamais tu n'as existé.
Ma passion pour toi, être imaginaire, m'a fait perdre la vie. Et maintenant je suis à nouveau seule, mon existence se termine et tu n'es plus qu'un souvenir.
[J'ai rendu ça pour un devoir quand j'étais en seconde, je l'ai gardé parce que j'étais plutôt fière de moi]
-
- Messages : 422
- Inscription : mar. mars 06, 2007 2:46 pm
Désir,
Sensation de vertige,
Nos deux corps emmêlés.
Je gémis de désir
Tes mains chaudes sur moi,
Je cherche mon plaisir
Et m'abandonne à toi.
Sensation d'infinie,
Nos corps se confondent.
Tu enflammes ma chair
Tu chuchotes, je désespère.
Nos mains jouent et s'enlacent,
Ma langue te cherche, prend place.
Sensation d’éternité,
Nos deux corps vibrant.
Nos soufflent se mêlent, rapides.
Nos corps se tendent, humides.
Le plaisir fulgurant nous transpercent,
Nous laissant inertes.
Sensation de plénitude,
Nos corps éreintés

Sensation de vertige,
Nos deux corps emmêlés.
Je gémis de désir
Tes mains chaudes sur moi,
Je cherche mon plaisir
Et m'abandonne à toi.
Sensation d'infinie,
Nos corps se confondent.
Tu enflammes ma chair
Tu chuchotes, je désespère.
Nos mains jouent et s'enlacent,
Ma langue te cherche, prend place.
Sensation d’éternité,
Nos deux corps vibrant.
Nos soufflent se mêlent, rapides.
Nos corps se tendent, humides.
Le plaisir fulgurant nous transpercent,
Nous laissant inertes.
Sensation de plénitude,
Nos corps éreintés

Voilà un poème, écrit il y a 4 ans par mes soins.
C'est loin d'être du Baudelaire...
Il était une fois,
un magnifique endroit,
où l'Amour n'avait que des droits,
beaucoup le connaissaient,
les autres le revaient,
pourtant il était là,
se moquant de toutes les lois,
il était roi.
Une petite fille naquit,
des betises elle fit, elle en rit,
mais elle grandit,
et la belle Terre,
se transforma en un enfer,
pourquoi était-elle différente,
de toutes ces filles ambulantes,
elle aussi voulait connaitre,
l'Amour qui fait renaitre.
Elle tomba amoureuse,
aurait pu être heureuse,
mais, il était une fois,
un horrible endroit,
où l'Amour n'avait que des lois.
C'est loin d'être du Baudelaire...

Il était une fois,
un magnifique endroit,
où l'Amour n'avait que des droits,
beaucoup le connaissaient,
les autres le revaient,
pourtant il était là,
se moquant de toutes les lois,
il était roi.
Une petite fille naquit,
des betises elle fit, elle en rit,
mais elle grandit,
et la belle Terre,
se transforma en un enfer,
pourquoi était-elle différente,
de toutes ces filles ambulantes,
elle aussi voulait connaitre,
l'Amour qui fait renaitre.
Elle tomba amoureuse,
aurait pu être heureuse,
mais, il était une fois,
un horrible endroit,
où l'Amour n'avait que des lois.
Encore un autre tant que j'y suis...
Je m'étais perdue,
dans son regard si lointain,
ce n'était peut-être rien,
ce que je n'avais jamais eu pour une inconnue,
dans la rue, avec tant d'intrus,
ce sentiment si fort,
être bien sûr en tort,
mais de le ressentir encore,
j'ai fait tant d'efforts,
pour oublier ses cheveux d'or,
que je suis encore perdue,
trop de larmes ont coulé,
pour je puisse l'emporter,
si loin de moi,
elle gardera la foi,
que je suis sur la mauvaise voie.

Je m'étais perdue,
dans son regard si lointain,
ce n'était peut-être rien,
ce que je n'avais jamais eu pour une inconnue,
dans la rue, avec tant d'intrus,
ce sentiment si fort,
être bien sûr en tort,
mais de le ressentir encore,
j'ai fait tant d'efforts,
pour oublier ses cheveux d'or,
que je suis encore perdue,
trop de larmes ont coulé,
pour je puisse l'emporter,
si loin de moi,
elle gardera la foi,
que je suis sur la mauvaise voie.
-
- Messages : 281
- Inscription : mer. mars 22, 2006 9:15 am
C'est chaud! Bravo pour cette hymne à l'amour physique. Un poème universel puisqu'il peut s'appliquer à 2 hommes, 2 femmes ou un homme et une femme. Tu l'as fait exprés?stefthefrog a écrit :Désir,
Sensation de vertige,
Nos deux corps emmêlés.
Je gémis de désir
Tes mains chaudes sur moi,
Je cherche mon plaisir
Et m'abandonne à toi.
Sensation d'infinie,
Nos corps se confondent.
Tu enflammes ma chair
Tu chuchotes, je désespère.
Nos mains jouent et s'enlacent,
Ma langue te cherche, prend place.
Sensation d’éternité,
Nos deux corps vibrant.
Nos soufflent se mêlent, rapides.
Nos corps se tendent, humides.
Le plaisir fulgurant nous transpercent,
Nous laissant inertes.
Sensation de plénitude,
Nos corps éreintés
-
- Messages : 2847
- Inscription : ven. juin 30, 2006 6:49 pm