Le poème le plus long du monde : à vos claviers
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
A la seule lecture de ce poème long... et chiant
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
A la seule lecture de ce poème long... et chiant
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
-
- Messages : 266
- Inscription : mer. oct. 31, 2007 6:27 pm
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
-
- Messages : 266
- Inscription : mer. oct. 31, 2007 6:27 pm
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'aprecirai les naine
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'aprecirai les naine
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- Inscription : mer. juil. 16, 2008 9:20 pm
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécierai les naines
Après avoir chasser les matous schizophrènes
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécierai les naines
Après avoir chasser les matous schizophrènes
la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchaant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchaant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis
Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse