Le poème le plus long du monde : à vos claviers

Faites nous rêver : peintures, photos, sculptures, poèmes ou autre ! (il faut avoir posté 30 messages pour avoir accès à ce forum)
Victorinox
Messages : 266
Inscription : mer. oct. 31, 2007 6:27 pm

Message par Victorinox »

la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchaant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips
nouuu

Message par nouuu »

la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchaant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Victorinox
Messages : 266
Inscription : mer. oct. 31, 2007 6:27 pm

Message par Victorinox »

a vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchaant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Il est donc arrivé ,avec un regard effaré
Lexto
Messages : 1221
Inscription : ven. janv. 23, 2009 10:47 pm

Message par Lexto »

La vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchaant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Il est donc arrivé ,avec un regard effaré
Il avait occulter que nous étions tous niais
Victorinox
Messages : 266
Inscription : mer. oct. 31, 2007 6:27 pm

Message par Victorinox »

La vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchaant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Il est donc arrivé ,avec un regard effaré
Il avait occulter que nous étions tous niais
Mais son plaisir etant d'emouvoir nos palais
Victorinox
Messages : 266
Inscription : mer. oct. 31, 2007 6:27 pm

Message par Victorinox »

Fatigué, harassé, je m'endors seul ce soir
Aurais-je du manger tout le chocolat noir ?
Et passer estomac ou foie au laminoir ?
J'aurais risqué d'aller vomir dans la baignoire !
Et ternir inexorablement mon peignoir
Puis dans la douche me saisir de la poire
Dans le dos, me laver au savon noir
Ce poème va-t-il n'être composé que de rimes en "ouuuaaarrree"
Se demande le poète derrière ses lunettes noires.
Perdre la peau morte, et reprendre Espoir
Un serpent qui mue pour mieux se mouvoir
Une goudou qui se chausse avec des doques noires,
Devant mon triste état, me propose a boire...

J'accepte, je m'assois, je demande un cognac
C'est alors qu'elle farfouille et cherche dans son sac
Et qu'y trouve-t-elle ? Un poil de yack !!
Ainsi qu'une photo de Claude Gensac
Et un rapport sur la guerre en Irak
Le raton laveur de Prevert fait une attaque
C'est alors que je me presse de le mettre dans un bac
Et le recouvre de sumac
Afin de recueillir en paix son dernier couac
Après une oraison vite expédiée
Au prix que m'a couté le raton, quelle arnaque !
Moi qui pensait pourtant le livreur qualifié !
Le prochain, je l'achèterai au black !

Heureusement, ca ne manque pas dans le quartier...
Mais combien vais -je le payer?
J'espère pas trop élevé...
Oui, le coût de la vie est si exagéré!
Désormais on ne peut plus rien acheter...
Du moins par les moyens couramment acceptés!
Mais payer en nature est toujours de mise ^^
et c'est un bon moyen d'avoir une remise !

Bien sur, il ne faut pas abuser des crédits,
Et encore moins des radins ... euh des radis
Parce que dans la vie
l'important est un détail
c'est mon fils, ma bataille
il est un peu racaille
et va me mettre sur la paille!

Malgré mon amour pour lui
Et pour son petit ami
Il m'ignore totalement
je vais donc changer d'amant !
Et en prendre un plus aimant !
Cependant, frigorifié, tournant et me retournant...
J'ai peur de celui qui sera sous ma dent

Car je ne sais ce que l'avenir me réserve
Oui, la vie est comme une boite de conserve :
Qui nous enferme et nous empêche
De vivre nos vies l'haleine fraiche.

Faut-il encore trouver la brèche,
ou alors, boire un demi-pêche !
Et pas un entier car en ce moment c'est la dèche.
Je suis sûr que quelqu'un est de mèche !
Mais en y pensant, d'avance je me lèche...
Les doigts malgré ma gorge sèche;
Tout près de moi un illuminé prêche
Que les chaussettes de l'archi duchesse...
C'est pas un bon vers ça, mauvaise Poetesse!
Le poème serait il schizophrène en détresse?
qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait la fesse !
J'peux faire un bô rime avec Brutaldeath!!
Je reste coït: j'ai attrapé l'Herpès.

L'herpès reste ennuyeux, mais quel coït parfait...
Impossible de dire le contraire, vous en conviendrez
Jamais un concombre ne m'avait tant troublé
C'est un légume bien plus sexy qu'un grain de blé
Et c'est plus pratique pour sucer
Grâce à lui, aux cieux je suis monté
Sans préambule Dieu m'a alors annoncé,
L'homosexualité, mon fils, c'est un péché,
Nul objet dans ton cul ne doit rentrer,
Mais du moment où tu prends ton pied
Aux génisses tu peux te frotter,
Sur taureaux, tu peux monter,
Un lapin, tu peux te taper
c'est Molière qui l'a décrété
Pourtant il était pas gay
Le roi en était désespéré
il aurait voulu se le taper,
profiter de son inventivité
Et aux rideaux pourpres sauvagement grimper

C'est bien connu, Dieu écoutant toujours la parole de Molière
se mit a porter une jarretière
Et, travesti, croisa une écoliérre,
ensemble, ils vont boire une bière,
Et la gamine dit à dieu: "je suis lesbienne et j'en suis fiere"
Alors jaillit une éclatante lumière
Et le Seigneur s'écria:
"Mais je ne vous jette pas la pierre,Pierre!!!"
Et d'un rire démoniaque il éclata.
"Muahahahahahahahahahahaha"

La gamine tout étonnée lui répondit:
"Mais pour qui te prends-tu, Vieux Barbu?"
Et dieu répondit: mais pardi, pour Phillipe Risoli!
La gamine n'ayant pas bien entendu,
Crue qu'il avait dit aimer l'aïoli
Et se dis: "ce vieux est à l'ouest! il a trop but!"

Car il ne peut ce permettre
Une telle comparaison à notre Phiphi,
Le seigneur cru bon de rectifier:
"Eh oui!! J'ai toujours voulu présenter Le Juste Prix!!!!!"

Ayant appris que la capitale lesbiennes anglaise est Brighton,
La gamine s'est sentie vraiment très très conne
Quand elle a apris que c'était dans le sussex
Elle s'est dit que même avec du latex
Les goudous ne sont pas des suce-kiki
Alors que les paydays, eux, et bien oui
Mais c'est pas de leur faute
Ca arrive aussi aux héterottes
Quand elles jouent à la belote
Avec des regles...originales

Mais on sait qu'avec le temps
va tout s'en va, même l'orangina!
Et je m'en vais sans plus tarder boire un coca
Mais il ne reste que des lights, des cherry et des zéro: c'est dégoutant!
Où sont donc passées les vraies valeurs d'antan?
les fraises tagadas et les mistraaaals gagnaaaants!?!
Me rappelant vaguement les chansons de Renaud Séchan
Qui valent bien celles de Dany Brillant
Mais sans le pouvoir lustrant
Ni le côté vaguement poilant.

Le poil lustré de tous côtés, un caniche passe, en pompoms roses
Son maitre ressemblait à un acteur de "qui a tué Pamela Rose?"
Et il n'aimait pas parler en prose.
Il était connu dans le quartier pour ne manger que du lactose
Et faire de fulgurantes crises d'arthrose
Avec son caniche, c'était le grand amour: tous deux étaient en parfaite osmose
Sauf quand l'un des deux avait une scoliose
Dans l'exploration du kamasutra, ça les forçait à faire une pause
Il était zo*op**hi***le mais aimait également tant de choses
On se demandait parfois s'il n'avait pas une névrose
Mais si quiconque tentait de lui en parler, il répondait "kék'tum'cause?"
Avant d'aller s'enfiler une forte dose
Pour oublier ses douloureuses mycoses
Ainsi que ses nombreuses ecchymoses
Il a bouffé mes potatoes !
Comme quoi il était doué pour voler bien des choses
Malgré ces derniers jours à cause de la mucoviscidose
Ca l'a achevé, son corps se décompose

Son pauvre caniche est en plein désarrois
De perdre un maître qui le traitait comme un roi
Pour lui alors commence un vrai chemin de croix
Son seul salut était de niquer des oies
Farcies aux anchois
Ca lui donnait du plaisir... Parfois
Mais de toute façon il n'avait pas d'autre choix
Et rien ne l'arrêtait, même pas son surmoi
Car, même s'il était aux abois
Chantait en lui une petite voix
Qui disait "C'est toujours mieux à trois"
Alors il partit à jamais dans l'Illinois

Il y alla en sautant à pieds joints
Ce qui l'harassa: l'Amérique c'est loin!
D'autant plus quand on est un chien
Qu'on remue sans arrêt son arrière train...
Et qu'on pisse à tous les coins
L'attendait donc un long chemin!
Il s'alluma un joint
Et repartit plein d'entrain
Sans même penser au lendemain
Emporté dans un rêve sans fin
Qui lui donna bien faim ...
Malheureusement il n'avait pas de pépitos à portée de main
Alors il alla frapper chez les biscuit belin
Et engloutit plusieurs paquets comme un vaurien
Il ne savait pas que se goinfrer de bon matin
Provoque un mal de ventre et n'est pas très sain
Il régurgita le tout sur l'employé voisin
Se torcha un coup et enfila un chien
C'est bien plus sain qu'une paire de seins
On ne peut pas le nier, c'est un coquin ...
Serai-je encor' lynché si je crie "FIN" ?
Car apres tout, un poème si long, ça craint !
Surtout qu'il ne signifie plus rien...
Il n'est même pas compréhensible par un bambin !
Ha-ha-ha-ha celui qui lit ça est un crétin!
Qui ne sait même pas marcher sur les mains!
Et est encore debout à 2h du matin !

Mais il est encore temps de tout arrêter,
Pour pouvoir, ailleurs, mieux recommencer
Un poème épique, rempli de sanglantes épées,
Ou le créateur ferais mieux de se jeter,
Ou pourquoi pas fantastique, magnifique, illuminé
A la manière de Jésus-Christ ressuscité
Mais surtout de Carlos, snif, qui nous a quitté
En regardant l'émission de Julien Courbet
Ou alors un poème d'amour, rempli de vérité,
Plein de personnages illuminés,
Et de longues phrases alambiquées,

Un poéme outrageux, symbole de mes adieux
M'aide a me regardé pour me voir dans les yeux
De ma jolie voisine qui n'attend qu'une chose
D'avoir enfin du poil pattes pour garder la pose
Alanguie sur un pouf, pas gênée que sa touffe
Assombrisse l'aurore et l'air tant qu'on étouffe

la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Il est donc arrivé ,avec un regard effaré
Il avait occulter que nous étions tous niais
Mais son plaisir etant d'emouvoir nos palais
Il alla cherché des bouteilles dans la réserve
OFF-Topic :
Allez allez on participe!!! :wink:
Prince Hypocrite
Messages : 827
Inscription : sam. sept. 26, 2009 4:06 pm

Message par Prince Hypocrite »

Fatigué, harassé, je m'endors seul ce soir
Aurais-je du manger tout le chocolat noir ?
Et passer estomac ou foie au laminoir ?
J'aurais risqué d'aller vomir dans la baignoire !
Et ternir inexorablement mon peignoir
Puis dans la douche me saisir de la poire
Dans le dos, me laver au savon noir
Ce poème va-t-il n'être composé que de rimes en "ouuuaaarrree"
Se demande le poète derrière ses lunettes noires.
Perdre la peau morte, et reprendre Espoir
Un serpent qui mue pour mieux se mouvoir
Une goudou qui se chausse avec des doques noires,
Devant mon triste état, me propose a boire...

J'accepte, je m'assois, je demande un cognac
C'est alors qu'elle farfouille et cherche dans son sac
Et qu'y trouve-t-elle ? Un poil de yack !!
Ainsi qu'une photo de Claude Gensac
Et un rapport sur la guerre en Irak
Le raton laveur de Prevert fait une attaque
C'est alors que je me presse de le mettre dans un bac
Et le recouvre de sumac
Afin de recueillir en paix son dernier couac
Après une oraison vite expédiée
Au prix que m'a couté le raton, quelle arnaque !
Moi qui pensait pourtant le livreur qualifié !
Le prochain, je l'achèterai au black !

Heureusement, ca ne manque pas dans le quartier...
Mais combien vais -je le payer?
J'espère pas trop élevé...
Oui, le coût de la vie est si exagéré!
Désormais on ne peut plus rien acheter...
Du moins par les moyens couramment acceptés!
Mais payer en nature est toujours de mise ^^
et c'est un bon moyen d'avoir une remise !

Bien sur, il ne faut pas abuser des crédits,
Et encore moins des radins ... euh des radis
Parce que dans la vie
l'important est un détail
c'est mon fils, ma bataille
il est un peu racaille
et va me mettre sur la paille!

Malgré mon amour pour lui
Et pour son petit ami
Il m'ignore totalement
je vais donc changer d'amant !
Et en prendre un plus aimant !
Cependant, frigorifié, tournant et me retournant...
J'ai peur de celui qui sera sous ma dent

Car je ne sais ce que l'avenir me réserve
Oui, la vie est comme une boite de conserve :
Qui nous enferme et nous empêche
De vivre nos vies l'haleine fraiche.

Faut-il encore trouver la brèche,
ou alors, boire un demi-pêche !
Et pas un entier car en ce moment c'est la dèche.
Je suis sûr que quelqu'un est de mèche !
Mais en y pensant, d'avance je me lèche...
Les doigts malgré ma gorge sèche;
Tout près de moi un illuminé prêche
Que les chaussettes de l'archi duchesse...
C'est pas un bon vers ça, mauvaise Poetesse!
Le poème serait il schizophrène en détresse?
qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait la fesse !
J'peux faire un bô rime avec Brutaldeath!!
Je reste coït: j'ai attrapé l'Herpès.

L'herpès reste ennuyeux, mais quel coït parfait...
Impossible de dire le contraire, vous en conviendrez
Jamais un concombre ne m'avait tant troublé
C'est un légume bien plus sexy qu'un grain de blé
Et c'est plus pratique pour sucer
Grâce à lui, aux cieux je suis monté
Sans préambule Dieu m'a alors annoncé,
L'homosexualité, mon fils, c'est un péché,
Nul objet dans ton cul ne doit rentrer,
Mais du moment où tu prends ton pied
Aux génisses tu peux te frotter,
Sur taureaux, tu peux monter,
Un lapin, tu peux te taper
c'est Molière qui l'a décrété
Pourtant il était pas gay
Le roi en était désespéré
il aurait voulu se le taper,
profiter de son inventivité
Et aux rideaux pourpres sauvagement grimper

C'est bien connu, Dieu écoutant toujours la parole de Molière
se mit a porter une jarretière
Et, travesti, croisa une écoliérre,
ensemble, ils vont boire une bière,
Et la gamine dit à dieu: "je suis lesbienne et j'en suis fiere"
Alors jaillit une éclatante lumière
Et le Seigneur s'écria:
"Mais je ne vous jette pas la pierre,Pierre!!!"
Et d'un rire démoniaque il éclata.
"Muahahahahahahahahahahaha"

La gamine tout étonnée lui répondit:
"Mais pour qui te prends-tu, Vieux Barbu?"
Et dieu répondit: mais pardi, pour Phillipe Risoli!
La gamine n'ayant pas bien entendu,
Crue qu'il avait dit aimer l'aïoli
Et se dis: "ce vieux est à l'ouest! il a trop but!"

Car il ne peut ce permettre
Une telle comparaison à notre Phiphi,
Le seigneur cru bon de rectifier:
"Eh oui!! J'ai toujours voulu présenter Le Juste Prix!!!!!"

Ayant appris que la capitale lesbiennes anglaise est Brighton,
La gamine s'est sentie vraiment très très conne
Quand elle a apris que c'était dans le sussex
Elle s'est dit que même avec du latex
Les goudous ne sont pas des suce-kiki
Alors que les paydays, eux, et bien oui
Mais c'est pas de leur faute
Ca arrive aussi aux héterottes
Quand elles jouent à la belote
Avec des regles...originales

Mais on sait qu'avec le temps
va tout s'en va, même l'orangina!
Et je m'en vais sans plus tarder boire un coca
Mais il ne reste que des lights, des cherry et des zéro: c'est dégoutant!
Où sont donc passées les vraies valeurs d'antan?
les fraises tagadas et les mistraaaals gagnaaaants!?!
Me rappelant vaguement les chansons de Renaud Séchan
Qui valent bien celles de Dany Brillant
Mais sans le pouvoir lustrant
Ni le côté vaguement poilant.

Le poil lustré de tous côtés, un caniche passe, en pompoms roses
Son maitre ressemblait à un acteur de "qui a tué Pamela Rose?"
Et il n'aimait pas parler en prose.
Il était connu dans le quartier pour ne manger que du lactose
Et faire de fulgurantes crises d'arthrose
Avec son caniche, c'était le grand amour: tous deux étaient en parfaite osmose
Sauf quand l'un des deux avait une scoliose
Dans l'exploration du kamasutra, ça les forçait à faire une pause
Il était zo*op**hi***le mais aimait également tant de choses
On se demandait parfois s'il n'avait pas une névrose
Mais si quiconque tentait de lui en parler, il répondait "kék'tum'cause?"
Avant d'aller s'enfiler une forte dose
Pour oublier ses douloureuses mycoses
Ainsi que ses nombreuses ecchymoses
Il a bouffé mes potatoes !
Comme quoi il était doué pour voler bien des choses
Malgré ces derniers jours à cause de la mucoviscidose
Ca l'a achevé, son corps se décompose

Son pauvre caniche est en plein désarrois
De perdre un maître qui le traitait comme un roi
Pour lui alors commence un vrai chemin de croix
Son seul salut était de niquer des oies
Farcies aux anchois
Ca lui donnait du plaisir... Parfois
Mais de toute façon il n'avait pas d'autre choix
Et rien ne l'arrêtait, même pas son surmoi
Car, même s'il était aux abois
Chantait en lui une petite voix
Qui disait "C'est toujours mieux à trois"
Alors il partit à jamais dans l'Illinois

Il y alla en sautant à pieds joints
Ce qui l'harassa: l'Amérique c'est loin!
D'autant plus quand on est un chien
Qu'on remue sans arrêt son arrière train...
Et qu'on pisse à tous les coins
L'attendait donc un long chemin!
Il s'alluma un joint
Et repartit plein d'entrain
Sans même penser au lendemain
Emporté dans un rêve sans fin
Qui lui donna bien faim ...
Malheureusement il n'avait pas de pépitos à portée de main
Alors il alla frapper chez les biscuit belin
Et engloutit plusieurs paquets comme un vaurien
Il ne savait pas que se goinfrer de bon matin
Provoque un mal de ventre et n'est pas très sain
Il régurgita le tout sur l'employé voisin
Se torcha un coup et enfila un chien
C'est bien plus sain qu'une paire de seins
On ne peut pas le nier, c'est un coquin ...
Serai-je encor' lynché si je crie "FIN" ?
Car apres tout, un poème si long, ça craint !
Surtout qu'il ne signifie plus rien...
Il n'est même pas compréhensible par un bambin !
Ha-ha-ha-ha celui qui lit ça est un crétin!
Qui ne sait même pas marcher sur les mains!
Et est encore debout à 2h du matin !

Mais il est encore temps de tout arrêter,
Pour pouvoir, ailleurs, mieux recommencer
Un poème épique, rempli de sanglantes épées,
Ou le créateur ferais mieux de se jeter,
Ou pourquoi pas fantastique, magnifique, illuminé
A la manière de Jésus-Christ ressuscité
Mais surtout de Carlos, snif, qui nous a quitté
En regardant l'émission de Julien Courbet
Ou alors un poème d'amour, rempli de vérité,
Plein de personnages illuminés,
Et de longues phrases alambiquées,

Un poéme outrageux, symbole de mes adieux
M'aide a me regardé pour me voir dans les yeux
De ma jolie voisine qui n'attend qu'une chose
D'avoir enfin du poil pattes pour garder la pose
Alanguie sur un pouf, pas gênée que sa touffe
Assombrisse l'aurore et l'air tant qu'on étouffe

la vie saigne de voir ses enfants souffrir
Leur chair fraîche se mourir
Tandis qu'aux cieux se pâment des lueurs astrales
des êtres aux valeurs vénales
Avilissent vie sur vie sans un rire
Aspirant tout espoir comme d'infâmes vampires
Suçant l'essence amère, assoiffés d'élixirs
Et ne cherchant rien d'autre que le plaisir
Visqueux, chaud et salé du sang qu'on englottit
Dans nos palais si longtemps endormis

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Il est donc arrivé ,avec un regard effaré
Il avait occulter que nous étions tous niais
Mais son plaisir etant d'emouvoir nos palais
Il alla cherché des bouteilles dans la réserve
Et demanda une catin pour qu'on nous serve
Victorinox
Messages : 266
Inscription : mer. oct. 31, 2007 6:27 pm

Message par Victorinox »

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Il est donc arrivé ,avec un regard effaré
Il avait occulter que nous étions tous niais
Mais son plaisir etant d'emouvoir nos palais
Il alla cherché des bouteilles dans la réserve
Et demanda une catin pour qu'on nous serve
Elle arriva donc, ces seins débordant de son habit
ludwig
Messages : 33
Inscription : mar. mars 31, 2009 8:36 pm

Message par ludwig »

Et si le temps s'arrête inexorablement
De guerre lasse de voir si souvent
Qu' à la quinzième page d'un forum, tout fou l'camp,
Mais ceci n'est pas important...
Amen
Ô, quelle fin sereine !
Qu'apprécieraient les naines
Après avoir chassé les matous schizophrènes
En traversant les pays qu'enchantent les sirènes.
Je veux que tout finisse, un' douce apocalypse
et nous allons donc tous boire jusqu'a faire Hips

"A boire Tavernier !" nous sommes nous écriés
Il est donc arrivé ,avec un regard effaré
Il avait occulter que nous étions tous niais
Mais son plaisir etant d'emouvoir nos palais
Il alla cherché des bouteilles dans la réserve
Et demanda une catin pour qu'on nous serve
Elle arriva donc, ces seins débordant de son habit,
Et versant les liqueurs, nous coupa toute envies,
Répondre