Requiem for a love
Nous qui nous sommes tant donné,
Nous qui nous étions trouvé,
Je pensais : "pour un millier d'année".
Je ne sais ce qui nous a brisé ;
Cette femme que tu as retrouvé,
Ou mon amour qui c’est fané.
Un matin, angoissée, je te l’ai annoncée,
C’était violent comme un orage d’été,
À l’intérieur, je tremblais de la tête au pied.
Et tu as eu ce geste insensé,
Cet acte qui m’a bouleversé.
Pourrais-je encore un jour m’engager.
Pourtant qu'ai-je à regretter
Si ce n’est d’avoir dit la vérité,
De vouloir tout arrêter.
Merci de tout ce qui c’est passé,
Merci pour toutes ces années,
Car au plus fort et en moi-même, j’ai été.
Alors oui, je t’ai aimé,
Grâce à toi, j’ai appris à m’aimer.
J’espère, en tout cas, t’avoir apporté.
Maintenant mon amie, j’espère rester
Pas très loin de ton cœur, à coté ;
Pour moi, dans mon âme, tu es tatoué.
Vos textes et poèmes
Je vous préviens, je n'écris jamais de poème, à vrai dire d'habitude je suis plutôt nul dans cette discipline, mais là je pensais à mon homme et un truc m'est venu...
Dès lors que je t’ai vu, ô toi, bel inconnu
Mon cœur a fait un bond, est sorti de ses gonds
Et puis je t’ai connu, tu as troublé ma vue
Aujourd’hui je suis tien, et mon cœur t’appartient.
Tes bonheurs et tes peines désormais sont les miennes
Quand tu es près de moi, je m’abandonne à toi
Et quand tu es absent, mon moral redescend
J’aimerais être là, me blottir dans tes bras.
Au détour d’un regard, je me perds dans tes yeux
Au toucher de ta peau, tout devient merveilleux
Et sentir ton parfum emplit mon cœur de joie.
Un ange est arrivé et m’a illuminé
Cette créature ailée, c’est toi, ô mon aimé
Mon cœur t’est grand ouvert, entre, tu y es chez toi.
Je t’aime.
Alors ?...
(je sais pas ce qui me prend d'avoir des idées comme ça, les poésies d'amour je trouve ça tellement kitsch d'habitude que je pensais pas en écrire une un jour... =_= )
Dès lors que je t’ai vu, ô toi, bel inconnu
Mon cœur a fait un bond, est sorti de ses gonds
Et puis je t’ai connu, tu as troublé ma vue
Aujourd’hui je suis tien, et mon cœur t’appartient.
Tes bonheurs et tes peines désormais sont les miennes
Quand tu es près de moi, je m’abandonne à toi
Et quand tu es absent, mon moral redescend
J’aimerais être là, me blottir dans tes bras.
Au détour d’un regard, je me perds dans tes yeux
Au toucher de ta peau, tout devient merveilleux
Et sentir ton parfum emplit mon cœur de joie.
Un ange est arrivé et m’a illuminé
Cette créature ailée, c’est toi, ô mon aimé
Mon cœur t’est grand ouvert, entre, tu y es chez toi.
Je t’aime.
Alors ?...
(je sais pas ce qui me prend d'avoir des idées comme ça, les poésies d'amour je trouve ça tellement kitsch d'habitude que je pensais pas en écrire une un jour... =_= )
Dernière modification par Xeric le jeu. août 23, 2007 5:32 am, modifié 2 fois.
Le matin de mes rêves
où le monde s'est endormis,
Je pense ne jamais revenir
car demain ce monde va peut être mourir !
Je pense que tu vis, que tu respire, que tu me parle !
Mais qui est tu ?
Vie tu en ce jour où le monde s'écroule ?
Crie tu la haine de ton coeur ?
Le manque d'affection ?
Les sourirs égarés laissé sur des murs sans reflet ?
Où que tu sois entnend ma voix qui te dis d'arreter de regarder le coeur de ceux que tu ne connais pas !
Car tu est celle que j'aime !
Celle que j'attend le soir quand mon ame s'endort au creux de tes mains.
Ferme les et garde la précieusement
Peut être qu'un jour je reviendrai la chercher
Loin d'ici, Loin de ce monde ou je meurt loin de toi !
où le monde s'est endormis,
Je pense ne jamais revenir
car demain ce monde va peut être mourir !
Je pense que tu vis, que tu respire, que tu me parle !
Mais qui est tu ?
Vie tu en ce jour où le monde s'écroule ?
Crie tu la haine de ton coeur ?
Le manque d'affection ?
Les sourirs égarés laissé sur des murs sans reflet ?
Où que tu sois entnend ma voix qui te dis d'arreter de regarder le coeur de ceux que tu ne connais pas !
Car tu est celle que j'aime !
Celle que j'attend le soir quand mon ame s'endort au creux de tes mains.
Ferme les et garde la précieusement
Peut être qu'un jour je reviendrai la chercher
Loin d'ici, Loin de ce monde ou je meurt loin de toi !
tes ailes
au jour d'hui je cherche à ma vie un sens
demain jattendrai toujours ma déliverance
hier jai apperçu ma dernière chance
et plus tard je ressentirait encore cette souffrance
avec toi jaimerait vivre la vie éternelle
bien que cette pensée soit un peu irrationnelle
je sais qu'avec toi elle est toute naturelle
s'il te plait délivre moi, emporte moi avec tes ailes
c'est un simple poème amateur sans réelle signification ^^"
jai gardé les meme rimes dans les paragraphes plutot que de les faire par deux mais je trouve que mon poème est plutot bien quand même
André
au jour d'hui je cherche à ma vie un sens
demain jattendrai toujours ma déliverance
hier jai apperçu ma dernière chance
et plus tard je ressentirait encore cette souffrance
avec toi jaimerait vivre la vie éternelle
bien que cette pensée soit un peu irrationnelle
je sais qu'avec toi elle est toute naturelle
s'il te plait délivre moi, emporte moi avec tes ailes
c'est un simple poème amateur sans réelle signification ^^"
jai gardé les meme rimes dans les paragraphes plutot que de les faire par deux mais je trouve que mon poème est plutot bien quand même
André
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sandoval
Je ne sais pas si c'est l'endroit approprié mais tant pis lol
Pas vraiment un poème juste des mots venus un peu hasard
Un policier aux vagues multiples descend sur Terre
Je crains que l'orgueil de l'éphémère ne me blesse
Je crains que son orgueil et ses congères ne le blessent
C'est un porc fluorescent
Un ami aux yeux césurés
J'ai encore un peu de pain à prendre
Je saigne abondamment
Mon singe mécanique est rouillé dans la piscine
Je contacte Benoît mais il ne répond pas
J'entend ses râles dans la caravane
Il a des rêves de crosse, il rêve que Rome ressurgit
Il rêve que les glaçons du frigidaire pissent leur urine violette
Il rêve qu'il endosse le premier rôle
Il rêve qu'il est équilibriste mais il lui manque un épaule
Des tasses et des fourmis
Un manque de conifère
Suçant toute les plaies de ma cheville
Je m'approche
Benoît est à terre
Il bronche
Il se roule
Ses cheveux ses nuages sa veillée
Il tient à peine debout
Il a la bouche couverte d'herbe et d'orties
Il demande à boire
Un verre d'eau pour les squelettes de l'avenir
Un verre d'eau pour les jambes de l'architecte
Benoît veut me parler mais sa bouche est difforme
Il caresse les montants de porte
Il ondule sur le fauteuil comme un poisson coupable
Il pleure un peu
J'ai envie de le prendre dans les bras
Mais l'épineux n'a pas dit son dernier mot
Ma mère celle qui est vierge
Marie baisse son pantalon d'ouvrière
Elle a besoin de sucre
Je compile alors des chicots
Des rats morts
Des désirs
De l'orge dans les papilles de Benoît
Des papillons blancs mais blancs d'inflammation
L'alcool sur son ventre semble s'écouler
Dehors comme les vaches qui broutent mais qui tirent sur leur petit
Elle a faim
Tournant le lait
J'observe les rides de mon corps
Et la jeunesse de Benoît
Il n'a pas encore vécu
Il respire très fort
Il m'évoque une branche en sueur
Il serre les poings
Il serre les dents
Il a un sourire crispé
Je ne saurais dire si c'est de plaisir ou de douleur
Pas vraiment un poème juste des mots venus un peu hasard
Un policier aux vagues multiples descend sur Terre
Je crains que l'orgueil de l'éphémère ne me blesse
Je crains que son orgueil et ses congères ne le blessent
C'est un porc fluorescent
Un ami aux yeux césurés
J'ai encore un peu de pain à prendre
Je saigne abondamment
Mon singe mécanique est rouillé dans la piscine
Je contacte Benoît mais il ne répond pas
J'entend ses râles dans la caravane
Il a des rêves de crosse, il rêve que Rome ressurgit
Il rêve que les glaçons du frigidaire pissent leur urine violette
Il rêve qu'il endosse le premier rôle
Il rêve qu'il est équilibriste mais il lui manque un épaule
Des tasses et des fourmis
Un manque de conifère
Suçant toute les plaies de ma cheville
Je m'approche
Benoît est à terre
Il bronche
Il se roule
Ses cheveux ses nuages sa veillée
Il tient à peine debout
Il a la bouche couverte d'herbe et d'orties
Il demande à boire
Un verre d'eau pour les squelettes de l'avenir
Un verre d'eau pour les jambes de l'architecte
Benoît veut me parler mais sa bouche est difforme
Il caresse les montants de porte
Il ondule sur le fauteuil comme un poisson coupable
Il pleure un peu
J'ai envie de le prendre dans les bras
Mais l'épineux n'a pas dit son dernier mot
Ma mère celle qui est vierge
Marie baisse son pantalon d'ouvrière
Elle a besoin de sucre
Je compile alors des chicots
Des rats morts
Des désirs
De l'orge dans les papilles de Benoît
Des papillons blancs mais blancs d'inflammation
L'alcool sur son ventre semble s'écouler
Dehors comme les vaches qui broutent mais qui tirent sur leur petit
Elle a faim
Tournant le lait
J'observe les rides de mon corps
Et la jeunesse de Benoît
Il n'a pas encore vécu
Il respire très fort
Il m'évoque une branche en sueur
Il serre les poings
Il serre les dents
Il a un sourire crispé
Je ne saurais dire si c'est de plaisir ou de douleur
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sandoval
Des textes écrits pendant les vacances...
Soirée n°44
Descends
Par la portière
Nuit gaufrée
Un passant
Pluie de rousseur
Squames d'été
Tiède
Pleuréise à deux heures du matin
Sous la sueur des réverbères
Tiède et taquin
Villa
Dans la villa
Un cliquetis de sueur
Serpentaire sur la moquette
Tu sais je suis un mec ordinaire
Carbone éphémère
Tu fais la gueule
J'ai envie de t'éttoufer avec un oreiller
Soucieux tu es un tigre défenestré
Silencieux
Dans l'humidité de tes aisselles
Baisers de crosse
La nappe prend feu
Mucus
Je peux me foutre en l'air
Mon pélerin aboyeur
Il faut plus de gale sur tes lèvres
J'ai arrêté de pleurer
Devant tes caresses d'équerre
Soleil bleu bleu
Soleil bleu
L'opposum des jours s'estompe
Les mains d'Erwan sur un torse charbon
Automne de radiation
La pelicule de peau se détache
Je voudrais te souffler un mot dans le cou
Impatience du dé à coudre
Brutal
Tu voudrais être quelqu'un de bien
Eclosion de piscine
Processionnaire et aviateur éteint
Erwan ment un peu
Juste un chagrin
Le pangolin a bien du mal à rester à la surface de l'eau
Comme toi
1996 grain de beauté
Un étrange matin
Une poussière in vitro entre toi et moi
Soirée n°44
Descends
Par la portière
Nuit gaufrée
Un passant
Pluie de rousseur
Squames d'été
Tiède
Pleuréise à deux heures du matin
Sous la sueur des réverbères
Tiède et taquin
Villa
Dans la villa
Un cliquetis de sueur
Serpentaire sur la moquette
Tu sais je suis un mec ordinaire
Carbone éphémère
Tu fais la gueule
J'ai envie de t'éttoufer avec un oreiller
Soucieux tu es un tigre défenestré
Silencieux
Dans l'humidité de tes aisselles
Baisers de crosse
La nappe prend feu
Mucus
Je peux me foutre en l'air
Mon pélerin aboyeur
Il faut plus de gale sur tes lèvres
J'ai arrêté de pleurer
Devant tes caresses d'équerre
Soleil bleu bleu
Soleil bleu
L'opposum des jours s'estompe
Les mains d'Erwan sur un torse charbon
Automne de radiation
La pelicule de peau se détache
Je voudrais te souffler un mot dans le cou
Impatience du dé à coudre
Brutal
Tu voudrais être quelqu'un de bien
Eclosion de piscine
Processionnaire et aviateur éteint
Erwan ment un peu
Juste un chagrin
Le pangolin a bien du mal à rester à la surface de l'eau
Comme toi
1996 grain de beauté
Un étrange matin
Une poussière in vitro entre toi et moi
Textes interessants sandoval... surtout tes mots improvisés, même si je m'attendais à plus extravagant, surréaliste. Mais justement non, et ce n'est pas plus mal! Beaucoup de symbolisme aussi!
Allez, je me lance aussi ...
Joloma se terre.
Créer, au delà des frontières,
Créer, au delà de moi.
Donner vie à la matière,
Partir à la recherche de moi.
En un mot: Joloma.
Joloma se terre,
Joue avec le feu et l'air.
Joloma...est-ce moi?
Il est en moi, c'est clair.
Joloma de pierre...ou de terre...
Joloma; en moi, déterre
Les ombres et la lumière.
Il joue avec mon être.
Etre ou ne pas être Joloma?
A quoi bon ce combat:
Il gagnera!
Pas à pas je me perds
Dans les dédales de sa création.
Joloma se terre au fond de moi,
Attendant l'heure ou son art
Me transformera.
Joloma se terre au fond de moi,
Attendant l'instant ou il se verra
Dans mon regard.
Joloma se déterre du fond de moi
Attendant le jour ou il sera moi!
Allez, je me lance aussi ...
Joloma se terre.
Créer, au delà des frontières,
Créer, au delà de moi.
Donner vie à la matière,
Partir à la recherche de moi.
En un mot: Joloma.
Joloma se terre,
Joue avec le feu et l'air.
Joloma...est-ce moi?
Il est en moi, c'est clair.
Joloma de pierre...ou de terre...
Joloma; en moi, déterre
Les ombres et la lumière.
Il joue avec mon être.
Etre ou ne pas être Joloma?
A quoi bon ce combat:
Il gagnera!
Pas à pas je me perds
Dans les dédales de sa création.
Joloma se terre au fond de moi,
Attendant l'heure ou son art
Me transformera.
Joloma se terre au fond de moi,
Attendant l'instant ou il se verra
Dans mon regard.
Joloma se déterre du fond de moi
Attendant le jour ou il sera moi!
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ExMembre07
ces idées que l'on ce fait
Comment leur faire comprendre
Comment leur faire entendre
Que l’on n’est pas si différent
Que tout est comme avant
A quel moment somme-nous égaux ?
A quel moment le monde est beau ?
On nous à stéréotypée
dansun monde enchanter
J’en ai marre de ces préjugée
Ces idées que l’on ce fait
Laisser nous vivre en paix
On ne vous a rien fait
On est née dans l’égalité
Mais certain semble l’oublier
Comme si c’était une anormalité
Comme si on ne devrait pas exister
Pourquoi nous mettre de coter
Nous dire que vous nous détestez
Qu’on n’aurait pas dû vivre
Et comme vous, suivre
Ce semblant de normalité
Que l’on n’aurait pas respecté
Arrêter de nous juger
On ne vous a rien demandé
J’en ai mare de ces préjugée
Ces idées que l’on ce fait
Laisser nous vivre en paix
On ne vous a rien fait
On est née dans l’égalité
Mais certain semble l’oublier
Comme si c’était une anormalité
Comme si on ne devrait pas exister
Il serait temps de faire évoluer
Toute ces foutu mentalité
Arrêter donc de faire couler
Toutes ces larmes non mérité
Arrêter de faire coaguler
Ce sang versé
A cause de vos mots
Qui provoque ces maux
J’en ai mare de ces préjugée
Ces idées que l’on ce fait
Laisser nous vivre en paix
On ne vous a rien fait
On est née dans l’égalité
Mais certain semble l’oublier
Comme si c’était une anormalité
Comme si on ne devrait pas exister
Comment leur faire comprendre
Comment leur faire entendre
Que l’on n’est pas si différent
Que tout est comme avant
A quel moment somme-nous égaux ?
A quel moment le monde est beau ?
On nous à stéréotypée
dansun monde enchanter
J’en ai marre de ces préjugée
Ces idées que l’on ce fait
Laisser nous vivre en paix
On ne vous a rien fait
On est née dans l’égalité
Mais certain semble l’oublier
Comme si c’était une anormalité
Comme si on ne devrait pas exister
Pourquoi nous mettre de coter
Nous dire que vous nous détestez
Qu’on n’aurait pas dû vivre
Et comme vous, suivre
Ce semblant de normalité
Que l’on n’aurait pas respecté
Arrêter de nous juger
On ne vous a rien demandé
J’en ai mare de ces préjugée
Ces idées que l’on ce fait
Laisser nous vivre en paix
On ne vous a rien fait
On est née dans l’égalité
Mais certain semble l’oublier
Comme si c’était une anormalité
Comme si on ne devrait pas exister
Il serait temps de faire évoluer
Toute ces foutu mentalité
Arrêter donc de faire couler
Toutes ces larmes non mérité
Arrêter de faire coaguler
Ce sang versé
A cause de vos mots
Qui provoque ces maux
J’en ai mare de ces préjugée
Ces idées que l’on ce fait
Laisser nous vivre en paix
On ne vous a rien fait
On est née dans l’égalité
Mais certain semble l’oublier
Comme si c’était une anormalité
Comme si on ne devrait pas exister