wah !
C'est courageux de poster a la vue de tous des textes aussi intimes.
Ca me rapelle beaucoup ce que moi meme j'écrivais quand j'avais ton age (je dis ca genre je suis vielle et j'ai trop d'expérience mais pas du tout en fait xp), je prenais des feuilles blanches et les noircissait de haine envers moi meme et envers le monde. C'est dingue j'étais habitée d'un grande douleur absolument injustifiée mais pourtant bien là, bien que je ne sache pas ou exactement.
Est-ce que c'est les hormones ? nan, c'est trop facile de dire ca.
C'est plus le cas maintenant j'ai réussi a relativiser. Mais je me sent pas forcément mieux.
sinon ma lapinette, vu que tu m'as envoyé un texte à toi...ça te dirait que je t'envoie un truc d'histoire à moi? le début quoi enfin t'es pas obligée....en plus c'est pas génial génial donc bon franchement je comprendrai que tu sois réticente lol
oo-rock-angel-oo a écrit : sinon ma lapinette, vu que tu m'as envoyé un texte à toi...ça te dirait que je t'envoie un truc d'histoire à moi? le début quoi enfin t'es pas obligée....en plus c'est pas génial génial donc bon franchement je comprendrai que tu sois réticente lol
Soit pas timide comme ca ma biquette à la crème ( ) envoie envoie ! je veux lire ça !
Je suis loin d'avoir le talent de certains, mais je participe quand même ^^
Elle attend le crépuscule, incrédule
Le visage marqué de haine, blême
Elle attend à tord, encore
L'amour de sa vie, parti
Elle écoute le silence, en transe
A l'affut du moindre bruit, est-ce lui?
Mais les jours défilent, inutiles
Puis ses cheveux grisonnent, déjà l'automne
Lui a refait sa vie, loin d'ici
Une femme à ses cotes, mariés
Oubliant qu'une autre l'attend, impatiemment
Abandonnée dans un asile, fragile
Et puis un soir de Mai, tourmentée
Assise sur sa chaise, mal à l'aise
Cette lumière l'a illuminée, réconfortée
Depuis, elle aussi s'est enfuie, au Paradis
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J'ai tant de silences à te dire,
Tant d'amour et de rêves à t'offrir,
Pas assez de larmes pour décrire,
En cœur, en corps et empire
Chaque seconde que je ne peux retenir
M'entraine vers un nouvel avenir,
Qu'il endure à n'en plus finir,
En cœur, en corps et empire
Droit devant sans jamais fléchir,
Graver le bonheur et les souvenirs,
Saisir chaque instant sans réfléchir,
En cœur, en corps et empire
C'est cœur à corps que je désir,
Garder en mémoire tes sourires,
Et toutes les nuits m'endormir,
En cœur, en corps et empire