Vos textes et poèmes

Faites nous rêver : peintures, photos, sculptures, poèmes ou autre ! (il faut avoir posté 30 messages pour avoir accès à ce forum)
Amadou
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Message par Amadou »

Merci Canary, tiens, je t'en mets une autre :wink:
C'est une valse, pulsation ternaire donc.

Les zangoisses

Quand je sors de chez moi
J’peux pas m’en empêcher
C’est viscéral
J’suis obligée de vérifier
Trois fois si les plaques sont allumées

Si je vais à la cave
J’peux pas m’en empêcher
C’est viscéral
L’escalier doit être éclairé
On sait pas c’qu’on peut y rencontrer

Mais qu’est-ce qui cloche ?
Qu’est-c’qu’y a dans ma foutue caboche ?
Ça y est j’ai l’cœur qui croasse
C’est encore mes putain d’angoisses


Une ambulance passe
J’peux pas m’en empêcher
C’est viscéral
Je dois bien sûr me demander
Si c’est pas toi qu’ est écrabouillé

Si je fais du vélo
J’peux pas m’en empêcher
C’est viscéral
J’ose jamais me retourner
J’ai peur de me fracasser le nez

Mais qu’est-ce qui cloche ?
Qu’est-c’qu’y a dans ma foutue caboche ?
Ça y est j’ai l’cœur qui croasse
C’est encore mes putain d’angoisses


J’aime pas conduire dans la nature
J’peux pas m’en empêcher
C’est viscéral
J’pardonnerais pas à ma voiture
De rouler sur un pauvre animal

Ces peurs-là sont petites
J’peux pas m’en empêcher
C’est viscéral
D’en avoir d’autres métaphysiques
Sur la vie la mort la mécanique

Mais qu’est-ce qui cloche ?
Qu’est-c’qu’y a dans ma foutue caboche ?
Ça y est j’ai l’cœur qui croasse
C’est encore mes putain d’angoisses


Pour soigner mes angoisses
J’ai tout essayé
C’est pas banal
Les algues et les huiles essentielles
La sophrologie et l’yoga
Le karaté la capueira
Les p'tites pilules et la vodka
J’suis incurable je crois
J’suis incurable je crois
J’suis incurable je crois
Canary-Bay
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Message par Canary-Bay »

J'aime beaucoup celle là aussi ^^
Mais j'avoue que la première elle est indétrônable :mrgreen:

Fais un test, chante les et mets les sur Youtube, pour voir ce que ça donne, peut être que tu auras du succès ;)
insyd
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Message par insyd »

Je suis brouillard et pluies.
Je suis comme la fumée, insaisissable, désagréable.
Je suis omniprésente.
Mon corps est comme une immense tour. Tout le monde me voit et pourtant je suis invisible.
Oubliée ?
Morte ?
Vide !
Je suis une cruche, tant que vais à l'eau qu'a la fin je me casse.
Je suis une éponge. Tant je vais à l'eau que je fini par tout absorber.
Je suis là mais où ?
Tant qu'a faire me laisser tomber.
Me détruire a coups de pierre.
Me rendre ma liberté.
Je suis ce que je suis et je m'aime comme ça !

:lol:
Canary-Bay
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Message par Canary-Bay »

Un extrait du livre que je suis en train d'écrire :mrgreen:
Attention munissez vous de vos tomates c'est parti
(c'est une histoire de vampire, un humain est invité à la soirée du ledit vampire, pour que vous situiez un peu)

En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire je me retrouvais saoul grâce à l'habileté avec laquelle Eraste subtilisait toute mon attention pour m'envoûter de ses prunelles incandescentes et les litres d'agrumes alcoolisés que ses servantes me versaient dans des coupoles de faïence.
Je tombais amoureux de ses moindres expressions, ses moindres gestes avec une facilité déconcertante.
J'aurais voulu être ce haussement de sourcil, cette infime ride qui entourait ses lèvres quand il feignait de trouver les divagations d'ivrogne de tel ou tel invité amusante et spirituelle. J'aurais voulu être ce clignement de paupière qui précédait un soupir de lassitude, ce tressaillement qui parcourait tout son être à la vue d'une simple bougie.

Il me semblait connaître les moindres courbes et replis de son âme par cœur -si tant est qu'il ait jamais eu une âme- , lire en lui comme dans un livre, découvrir une espèce d'alchimie entre nos esprits embrumés par l'ivresse de la folie.

Sur le coup de minuit, il me fit signe de le suivre, de manière discrète, pour m'emmener déambuler à travers les rues d'Athènes.
Je marchais sur ses pas, sans mot dire.
Je ne doutais pas une seule seconde de ses intentions, qu'il n'avait aucun désir de dissimuler, balayant ostensiblement du regard les places, les pavés, les ruelles. Il était soit sûr de sa force et de sa capacité à disparaître du champ de vision de l'humain le plus averti, telle une ombre furtive, soit il avait des tendances suicidaires et un goût prononcé pour le risque et la provocation.

Il finit pas trouver l'objet de ses désirs.
Il résidait en une pauvre jeune fille égarée par la peur, la folie et la faim, que la mort étreignait, froide et indifférente à sa beauté, à ses beaux cheveux blonds emmêlés qui lui cachaient à demi le visage, un visage de séraphin, touché par grâce divine assurément. Ses yeux d'améthyste foudroyaient le jeune vampire d'indignation. De quel droit se permettait il de troubler son repos et de la soustraire au baiser ultime?
C'est que la malheureuse ne savait pas encore que ce baiser d'adieu lui serait donné par ce sauvage dandy au teint blafard. C'était la mort elle même qui était venue la cueillir de ses belles mains blanches comme le temps qui passe, comme la lune sacrée qui éclaire de sa lueur salvatrice les récifs meurtriers pour prévenir les marins de leur funeste destin.
sandoval

Message par sandoval »

Des phrases, toujours des phrases...



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Je suis aussi téméraire qu'une carlingue qui prend feu

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Il est temps de rentrer
Bruno espère couvrir le cri des musaraignes
En passant sa main dans mes cheveux

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Ma hantise
T'oublier sur un terrain vague

-----------------------------------------------------------------

Lorsque j'étais un tractopelle je voulais gagner la mer au plus vite

------------------------------------------------------------------

Ce matin
Il a plu des graviers
On ne discernait plus
Les mégalithes et les bus
J'attends qu'un imago descende du ciel

-------------------------------------------------------------------

Quand je serais au fond de l'eau
Dans un réservoir
D'échinodermes
Je penserais à toutes tes croisières sur le troisième Arc
En attendant
Je vends des clématites

--------------------------------------------------------------------

Je ne veux pas qu'on m'enterre
Pas de cette manière
Tu vas voir les types qui s'occupent de ça
Tu vas leur vendre le moteur de la machine à laver
Bloque les freins
Passe par la porte de derrière
Si l'un de ces types vient pour une nuit
N'oublie pas que dans son sommeil
Il te dira des paroles tellement insensées
Que tu porteras des blocs de glace dans tes reins
Mais personne ne m'écoutera
Personne ne m'écoutera

--------------------------------------------------------------------------

Pendant que mon ami ressemble à une portière
J'examine le creux de tes mains

-------------------------------------------------------------------------

Car tu n’as jamais compris pourquoi je t’évitais
J'aime encore mieux soupirer dans le ressac

---------------------------------------------------------------------------

Quand les accidents pré frontaux te seront parvenus
Tu poseras ton sourire sur le carrelage
Je t'embrasserais sous une pluie battante de craie
Alors il n'y aura plus rien à craindre

------------------------------------------------------------------------------

La multiplication des faons
En poussée désordonnée
Sur ton visage

-------------------------------------------------------------------------------

En instance murale
Dans ta volière
Tu t'interdis d'avaler la javel
Pour ne pas précipiter ma perte

-----------------------------------------------------------------------------------

La seule raison qui me pousse encore à te voir
C'est ta frange émaciée

------------------------------------------------------------------------------------
Maintenant le voleur
Escalade ta sueur

------------------------------------------------------------------------------------

Tu ne peux pas t'empêcher de me regarder
Alors j'avale mes rouge-gorge très vite

Je ne peux pas m'empêcher de te sourire
Tu es alors aussi coupable qu'un fanon de baleine dévié

-----------------------------------------------------------------------------
Tu as encore passé toute la nuit à plonger
Dans la tourbe d'à côté
Prends le risque de patauger
Dans les ébats (prolongés)
De ma salive

-------------------------------------------------------------------------------
Si une pie crève la charogne
Alors j’essaierais de remonter à la surface

----------------------------------------------------------------------------
J’ai l’impression que des millénaires pénètrent en moi
Lorsque tu soutiens mon regard
Nous avons tous deux la même vaillance des seiches
----------------------------------------------------------------------------------
Tu n’as jamais eu le temps d’atteindre le seuil autoritaire du gravier
Soupir de falaise
----------------------------------------------------------------------------------
Près des murs à peine sortis de terre
Je t’ai perdu
Une nouvelle fois
----------------------------------------------------------------------------------

J’avale des prairies
Sans plaisir
Et Damien s’assied à mes côtés
----------------------------------------------------------------------------------
Ma promesse est un charnier que tu prospectes
Sans relâche
------------------------------------------------------------------------------

Ce robot a couché avec moi
Tu n’es donc pas enseveli
Ce renard a foutu le camp
-----------------------------------------------------------------------------

Les chouettes ont quitté la Terre
Et tu n’as toujours pas appelé




Désolé si c'est un peu long....




:oops:
Woody
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Message par Woody »

Arf deux petits texte écrit de celà il y a un an a peu près a vous juger ils sont pas supers mais m'ont permis de m'exprimer sur mon ancien blog :

-Dit est-ce-que les schtroumpfs sa existe ?
-Oui bien sur que sa existe .
-Et est-ce-que je peux les rencontrer ?
-Non ils vivent cachés
-Et c'est triste des fois un schtroumpf ?
-Non un schtroumpf c'est heureux parce que sa vit dans un pays merveilleux
-Et bien moi je suis triste de pas pouvoir les voir
-Tu grandiras et sa passera
-Nan je veux pas grandir
Finalement l'enfant grandit bel et bien car rien n'arète le temps. Et puis il a eu la preuve que les schtroumpfs existaient . Mais il devait comprendre que même si ils sont là, jamais ils ne le verront ... Il a appris aussi que les schtroumpfs étaient heureux sans lui ... finalement tout ça le rendait triste, alors la nuit il les voyait parmis les étoiles, ils les touchaient du doigt, ce grand enfant qui avait porté son affection sur des petits êtres bleus qui vivaient parmis les étoiles car finalement d'en bas le bleu du ciel reste inaccessible pour les nains que nous sommes .


Relisant les coms du passé
Je m'aperçois que tout change
Ces amis qui voulait m'aidé
Ces gens que je prenait pour des anges
Bien que le temps efface les peines
Je voit qu'il efface aussi les joies
Il a effacé aussi la haine
Dans mon esprit où le chaos est roi
Non pas que j'en soit triste
Ce n'est que douce mélancolie
La vie n'est qu'une piste
Où se succèdent rires et acrobaties
Les numéros se succèdent
Un jour un magicien
Le lendemain il décède
Puant la drogue et le vin
C'est donc sa la vie ?
Une succession de gens qu'on croit sincères
Qui nous oublie, qui nous renie
Car nous ne sommes plus dans leur sphère
J'ai vu des clown disparaitre
D'avoir vu mon masque tombé
Loin de moi l'idée de les nommer traitre
Ils n'ont vu que la réalité
J'ai vu le temps reprendre
L'amitié d'un trapeziste prodige
Qui ne voulait que se pendre
Au cou de cette meneuse de quardige
Cette fille qui me consolait d'ailleur
Et qui est parti avec ces pauvre chevaux
Parti avec lui pour aller ailleur
loin de ma triste mine de salop
Oui salop, ils me nomment
Mais je ne puis leur en vouloir
Après tout ce ne sont que des hommes
Espérant ceuillir un autre public qui voudra les voir
J'ai vu le clown blanc parodier mes larmes
Avant qu'il ne parte dans la nuit
N'en pouvant plus baissant les armes
Ils n'avait que faire de mon agonie
Alors que mes artistes que je croyaient fidèles
Ont quitté ma piste pour aller jouer dans d'autre hammeaux
Me voilà seul face a ces hirondelles
Devenues pour moi acteurs de mon renouveau
Elles sont là volant dans les gradins
Attirant un nouveau public
Pour un proche lendemain
Car de ces pertes je ne suis pas stoïque
Mais la vie va et viens
Aprrendre a laisser partir
Pour un jour que tout aille bien
Car dans mon cirque resonneront encore les rires
Qui hier m'avaient laissé errant comme un chien
Mais tout ça n'était qu'un leur
Pour une piste où d'autre artistes prennent la relève
Je me doit d' être le régisseur
Et que nos rires et nos larmes à nouveau s'élèvent
Mais c'est ensemble qu'on batira demain
Car les représentations ont beau être brèves
Il en faudra jouer encore plusieurs
Avant que mon vieux chapiteau ne crèvent
Déserté a jamais par mes amis jongleurs...

Voilà merci d'avoir lu :oops:
Canary-Bay
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Inscription : mar. juin 26, 2007 11:51 pm

Message par Canary-Bay »

On a choisi parmi plusieurs thèmes
On a tous les trois choisi l'orage

Préparez vos sacs en papier :mrgreen:

____________________________________

Je l'entendais gronder au loin, tel une bête enragée, une toux de tuberculeux, un roulement de tambour.
Ses éclairs zébraient le ciel en étendant leurs bras parmi les nuages, comme pour agripper les étoiles de leurs doigts effilés.
Ce doux murmure était un des seuls qui me faisaient vibrer, à l'instar du bruissement du vent dans les feuilles et du clapotis de l'eau dans un lac d'eau douce. Il me rappelaient mon enfance heureuse au sein de ma patrie mère : le Japon.
Mon pouls s'accélérait avec la venue de l'orage, mes mains tressautaient à chaque décharge.
Les gens prenaient souvent cela pour de la peur. Il croyaient que je redoutais ce brusque changement climatique, cette déchirure dans la voûte céleste qui scindait en deux mon cœur dévasté.

Ça peut vous paraître cliché. Non ? A moi, oui. Mais je n'y peux rien.
Comme on dit, on ne se refait pas.

Si je leur avais dit à tous que j'attendais sa venue avec impatience, ils m'auraient prise pour une folle, une originale, une timbrée.
De même que si j'annonçais à mes petits copains que je vouais un amour fou, exclusif et inconditionnel à ces évènements météorologique.

Un jour, pourtant, j'avais essayé de communiquer cette passion à une camarade. Je lui faisais écouter le bruit du vent, l'emmenais mirer la pluie du haut du toit d'un immeuble...
Oh, je ne tentais pas de lui expliquer.
Il y a des chose qui ne s'expliquent pas.
Non, je voulais lui apprendre à ressentir la nature, telle que je la ressentais moi.

Mais ça n'a jamais marché.

Parfois les actes les plus simples sont les plus longs et les plus difficiles à apprendre.
Si l'on me demandait en quoi je voulais me réincarner dans une vie postérieure je répondais invariablement « moulin à eau », « paratonnerre » ou « girouette ».
Ça avait de quoi surprendre mes interlocuteurs, je l'avoue.

Les gens ne se lassaient jamais de me voir sombrer dans ma psychose amoureuse à sens unique.
Certains voient la vie en rose. Moi je voyais la vie en gris.

Je suivais la météo avec une ferveur toute religieuse.
C'était comme si je lisais la rubrique « courrier du cœur » d'un quotidien féminin.
Ou mieux encore, comme si ces lettres m'étaient destinées et que les

présentatrices étaient les postières de vingt heures qui me remettaient en main propre toutes ces marques d'affection que le temps me témoignait.

Certains disent avoir le coup de foudre.
Il se fourvoient.
Moi je savais vraiment ce que c'était que d'être électrifiée par un amour subit qui ne connait ni fin ni trêve.

Mes parents me considéraient avec une crainte affectueuse. J'étais la gentille fille qui courait après les champs électromagnétiques, un peu remuée du bocal. Non, plutôt vraiment fêlée de la cafetière, mais pas méchante.
Ils redoutaient sans doute que ma « maladie » ne se refile à mes petits cousins et mes quatre frères et sœurs -car je suis la cadette d'une famille nombreuse, cinq enfants, pas moins- ce qui ne serait vraiment pas envisageable, voire dramatique.

Mais un matin de décembre, un de ces jours froids et venteux où l'on préfèrerait rester au chaud sous la couette avec un bol de chocolat chaud à portée de main que d'aller mettre le bout de son nez rouge dehors, au risque de finir éternellement congelée à l'arrêt de bus un mouchoir à la main. Oui un de ces matins gris je découchai.

Enfin en un sens je restais fidèle aux éléments, puisque l'objet du désir portait le singulier prénom de Natsuhyô.
Je décidai de rester donc au lit avec ma grêle d'été et de contempler les nuages du bas de mon vélux, en ressentant une délicieuse culpabilité qui rongeait ma conscience lentement mais sûrement.

A dater de ce moment je préférai ses bras fermes à n'importe quel éclair, ses yeux de glace à n'importe quelle cascade, son souffle sucré à n'importe quel alizé.
Woody
Messages : 123
Inscription : mar. juil. 15, 2008 8:23 am

Appel aux gens qui lisent ( ou qui s'ennuient )

Message par Woody »

J'aimerais vous faire découvrir le blog d'un ami a moi qui, selon moi, n'est pas encore assez visité.

Ce petit génie a créé une histoire se déroulant dans un avenir post-guerre nucléaire où les hommes ont dut se réfugier dans des abris pour survivre. C'est ici que naîtra Canis un jeune homme muet et doué d'un don sans équivoque pour la musique abandonné par ses parents il fera la connaissance d'un autre orphelin : Baelca.

Si je veux vous le faire connaître c'est que sous cette histoire se cache un talent non dissimulé ! Et son histoire est beaucoup inspirée de " Candide Ou l'Optimiste " ce qui donne a un récit futuriste, une écriture ancienne très intéressante de par le paradoxe que celà incombe ! Il se sert aussi de ce monde où tout les travers du notre sont accentué pour pouvoir critiquer à sa guise les défauts de notre société moderne.

Le blog : http://canis-lalanguedebois.skyrock.com/

( Si vous pouviez lui laissez quelques commentaires pour exprimer ce que vous pensez de son histoire celà l'encouragerait ! ( en bien comme en mal n'hésitez pas ) ou alors laisser vos impressions sur ce topic et je lui transmettrai )

Merci a vous !
Willou
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Inscription : ven. mars 03, 2006 1:04 pm

Message par Willou »

Mode méchant : il veux être pris au sérieux avec... SKYROCK :shock: ?

Tu devrait peut être lui conseiller de passer chez un autre hoster ;)
Woody
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Inscription : mar. juil. 15, 2008 8:23 am

Message par Woody »

:lol: :lol: :lol: :lol:

Je lui avais dit je vais lui transmettre :D il va peut etre m'écouter maintenant ( remarque étant pas doué pour internet il m'avais charger de lui mettre sur un autre herbergeur donc c'est de ma faute :oops: )

T'as lut quand même ou pas ?
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