C'est à dire ?
Il faut que je poste là bas ?
Je me présente
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rbsnowtrance4
- Messages : 573
- Inscription : mer. avr. 25, 2007 8:32 pm
C'est ici: http://www.et-alors.net/articles/envoi
Mais sinon tu peux poster dans une autre catégorie si l'extrait en question est plus une sorte de question, ou même ici si tu veux
Mais sinon tu peux poster dans une autre catégorie si l'extrait en question est plus une sorte de question, ou même ici si tu veux
Ok, c'est partit :
La porte a frappé. Il est là. Mon taux d'adrénaline doit monter considérablement car je sens mon coeur. Je me dépêche d'aller ouvrir.
Je pose ma main sur la poignée et l'actionne. Je le découvre, mon ami, les cheveux bruns mi-longs, le corps qu'on devine musclé à travers les vêtements. Envie de le serrer dans mes bras, de l'embrasser.
Mais il me tend la main. Je la serre et l'invite à entrer.
Nous montons ses affaires, et les déposons dans ma chambre.
Nous parlons, de notre vie, de faits de la société, puis de nos amours, enfn de ses amours. A 16 ans personne ne connait ma sexualité, c'est un véritable calvaire pour moi. Des homosexuels, comme moi, il y en a plein. Mais si je me revendique faussement hétéro, je ne pourrais jamais être satisfait.
Cette année plusieurs filles voulaient « sortir » avec moi.
J'ai, à chaque fois, décliné, en pretextant que « la fille que j'aime elle est là bas », ou encore « désolé j'ai déjà quelq'un ».
C'est très dur pour moi. Parfois, à cause de l'alcool, je manque de tout raconter à mes amis, au risque de me retrouver seul, quitté de tous. Tout ça parce que les gens sont lepénisés jusqu'à la moelle. L'homophobie. La peur des autres.
Foutaises. Toute cette société d'imbéciles m'empêche de satisfaire mes envies.
Mon ami me montre les photos de ses copines, et m'annonce qu'un 'pédé' à voulu sortir avec lui.
Il me montre sa photo, l'air rieur, et m'annonce :
- tu as vu, j'attire même les pédés.
Si tu savais, comme les pédés ils t'aiment. Est-ce que quelq'un t'a autant désiré que moi dans sa vie ?
Bien entendu, je me contente de l'approuver d'un sale rire.
(...partie à completer...)
Le soir est arrivé. Ce soir, mes parents s'en vont. Ils partent je ne sais où. En tout cas nous voilà à table, et ma mère discute avec l'ami. J'attends la fin du repas et le départ de mes parents avec impatience.
-Et donc tu redoubles, c'est ça ?
-oui, la première, c'est dur, répond mon ami.
-et tu es en quelle série ? demande ma mère
-en premiere S
La conversation continue jusqu'à la fin du repas.
Mes parents. C'est vrai j'en ai. Mais j'aurais aimé voir l'ami ailleurs que dans le foyer de mes parents. Sur la plage, dans un squat, dans un champ.
Mes parents s'en vont à leur soirée.
Il est minuit. Mon ami, à ma grande déception, veut se coucher car il se dit fatigué. Nous installons sa couche dans ma chambre. On se met en pyjama. Je met un caleçon et un t-shirt. Lui se met torse-nu et garde son caleçon, si mes souvenirs de la nuit précedente sont bons. J'admire furtivement sa musculature, ses formes ni trop musclées, ni trop rondes. En fait son torse est bronzé, il a une musculature prononcée, ses pectoraux et abdominaux sont bien mis en valeur. Je me sens attiré par lui.
Il me donne envie de me ruer sur lui et de l'embrasser. Je ne vais pas être deçu.Nous sommes dans nos lits respectifs. Après avoir un peu discuté, le hasard des discussions nous amène à l'homosexualité, une fois de plus. Il me dit :
« quand même, embrasser un garçon, ça doit faire bizarre. »
Je prend mon courage à deux mains et lui dit sur le ton de la plaisanterie : « je ne sais pas, faudrait essayer ».
-chiche ?
-chiche !
Il s'approche de moi, allonge son corps chaud et bouillonant d'énergie sur le mien. Le désir. Je savoure cet instant. En fait, nos sexes sont approchés. L'air amusé, ses beaux yeux verts me regardent. Il me dit :
-prêt ?
-euh.... oui
Ses lèvres se mèlent aux miennes. Sa langue entre dans ma bouche. Cet instant est court mais délicieux pour moi. Oui, les garçons peuvent aimer les garçon, c'est tout à fait compatible, j'en ai la preuve. Peut-être que l'ami n'est pas hétéro, le ciel l'a peut-être fait comme moi ?
Le baiser se termine et il éloigne son visage du mien.
On rigole tous les deux, en ayant l'air dégoutés (puisqu'il le faut), et commentons cet instant.
Il me dit que ça fait bizarre et qu'il est fait pour les filles.
-Moi aussi, t'inquiète...
Il se pieute dans son lit. J'aurais aimé prolonger cet instant.
J'imagine mes mains touchant son visage, puis son torse, toucher les muscles, ressentir l'énergie de son corps. L'embrasser, son corps sur le mien. Son dos musclé, ses yeux d'un vert envoutant, sa merveilleuse voix masculine, ses cheveux sur mon visage, ses jambes.
Il se gratte et me dis qu'il est 'crevé', il veut dormir. Je le regarde une dernière fois, me remplis d'émotion, et éteins la lumière. Même le bruit de sa peau quand il se gratte est beau.
-Bonne nuit
-bonne nuiiiit.
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime !
Pourquoi notre étreinte ne s'est-elle pas prolongée à l'infini ?
J'ai chaud, et je brule de désir. Mon corps sue, mes muscles me font mal, c'est insupportable. Je l'aime.
Je n'ai trouvé le sommeil que très tard.
Les jours passent et nous nous occupons comme deux simples potes. Télé, vélo, boisson. Il ne se doute pas que je suis homo.
Les premiers jours j'étais fou, je me plaisais à imaginer qu'il soit comme moi, et que nous sombrions dans les délices de l'amour.
Mais hélas, plus les jours passent, plus je déprime. Il fait des remarques sur chaque fille qu'il voit.
Mon ami ne sera jamais homosexuel. Je l'aime. Je peux toujours l'aimer, et je pense que si je le lui annonçais, il me quitterait définitivement.
Pourquoi ?
Je trouve cet instant de répit sur mon ordinateur pour déchainer mes sentiments. Quand je suis avec lui, j'ai une boule dans le ventre, j'ai la gorge serrée.
Une fois de plus on aura passé un séjour ensemble. Une fois de plus je l'aurais admiré. Une fois de plus j'aurais été deçu.
Au fait, j'aimerais que ce texte reste officielement écrit par moi, donc évitez de le copier-coller n'importe ou, merci
La porte a frappé. Il est là. Mon taux d'adrénaline doit monter considérablement car je sens mon coeur. Je me dépêche d'aller ouvrir.
Je pose ma main sur la poignée et l'actionne. Je le découvre, mon ami, les cheveux bruns mi-longs, le corps qu'on devine musclé à travers les vêtements. Envie de le serrer dans mes bras, de l'embrasser.
Mais il me tend la main. Je la serre et l'invite à entrer.
Nous montons ses affaires, et les déposons dans ma chambre.
Nous parlons, de notre vie, de faits de la société, puis de nos amours, enfn de ses amours. A 16 ans personne ne connait ma sexualité, c'est un véritable calvaire pour moi. Des homosexuels, comme moi, il y en a plein. Mais si je me revendique faussement hétéro, je ne pourrais jamais être satisfait.
Cette année plusieurs filles voulaient « sortir » avec moi.
J'ai, à chaque fois, décliné, en pretextant que « la fille que j'aime elle est là bas », ou encore « désolé j'ai déjà quelq'un ».
C'est très dur pour moi. Parfois, à cause de l'alcool, je manque de tout raconter à mes amis, au risque de me retrouver seul, quitté de tous. Tout ça parce que les gens sont lepénisés jusqu'à la moelle. L'homophobie. La peur des autres.
Foutaises. Toute cette société d'imbéciles m'empêche de satisfaire mes envies.
Mon ami me montre les photos de ses copines, et m'annonce qu'un 'pédé' à voulu sortir avec lui.
Il me montre sa photo, l'air rieur, et m'annonce :
- tu as vu, j'attire même les pédés.
Si tu savais, comme les pédés ils t'aiment. Est-ce que quelq'un t'a autant désiré que moi dans sa vie ?
Bien entendu, je me contente de l'approuver d'un sale rire.
(...partie à completer...)
Le soir est arrivé. Ce soir, mes parents s'en vont. Ils partent je ne sais où. En tout cas nous voilà à table, et ma mère discute avec l'ami. J'attends la fin du repas et le départ de mes parents avec impatience.
-Et donc tu redoubles, c'est ça ?
-oui, la première, c'est dur, répond mon ami.
-et tu es en quelle série ? demande ma mère
-en premiere S
La conversation continue jusqu'à la fin du repas.
Mes parents. C'est vrai j'en ai. Mais j'aurais aimé voir l'ami ailleurs que dans le foyer de mes parents. Sur la plage, dans un squat, dans un champ.
Mes parents s'en vont à leur soirée.
Il est minuit. Mon ami, à ma grande déception, veut se coucher car il se dit fatigué. Nous installons sa couche dans ma chambre. On se met en pyjama. Je met un caleçon et un t-shirt. Lui se met torse-nu et garde son caleçon, si mes souvenirs de la nuit précedente sont bons. J'admire furtivement sa musculature, ses formes ni trop musclées, ni trop rondes. En fait son torse est bronzé, il a une musculature prononcée, ses pectoraux et abdominaux sont bien mis en valeur. Je me sens attiré par lui.
Il me donne envie de me ruer sur lui et de l'embrasser. Je ne vais pas être deçu.Nous sommes dans nos lits respectifs. Après avoir un peu discuté, le hasard des discussions nous amène à l'homosexualité, une fois de plus. Il me dit :
« quand même, embrasser un garçon, ça doit faire bizarre. »
Je prend mon courage à deux mains et lui dit sur le ton de la plaisanterie : « je ne sais pas, faudrait essayer ».
-chiche ?
-chiche !
Il s'approche de moi, allonge son corps chaud et bouillonant d'énergie sur le mien. Le désir. Je savoure cet instant. En fait, nos sexes sont approchés. L'air amusé, ses beaux yeux verts me regardent. Il me dit :
-prêt ?
-euh.... oui
Ses lèvres se mèlent aux miennes. Sa langue entre dans ma bouche. Cet instant est court mais délicieux pour moi. Oui, les garçons peuvent aimer les garçon, c'est tout à fait compatible, j'en ai la preuve. Peut-être que l'ami n'est pas hétéro, le ciel l'a peut-être fait comme moi ?
Le baiser se termine et il éloigne son visage du mien.
On rigole tous les deux, en ayant l'air dégoutés (puisqu'il le faut), et commentons cet instant.
Il me dit que ça fait bizarre et qu'il est fait pour les filles.
-Moi aussi, t'inquiète...
Il se pieute dans son lit. J'aurais aimé prolonger cet instant.
J'imagine mes mains touchant son visage, puis son torse, toucher les muscles, ressentir l'énergie de son corps. L'embrasser, son corps sur le mien. Son dos musclé, ses yeux d'un vert envoutant, sa merveilleuse voix masculine, ses cheveux sur mon visage, ses jambes.
Il se gratte et me dis qu'il est 'crevé', il veut dormir. Je le regarde une dernière fois, me remplis d'émotion, et éteins la lumière. Même le bruit de sa peau quand il se gratte est beau.
-Bonne nuit
-bonne nuiiiit.
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime !
Pourquoi notre étreinte ne s'est-elle pas prolongée à l'infini ?
J'ai chaud, et je brule de désir. Mon corps sue, mes muscles me font mal, c'est insupportable. Je l'aime.
Je n'ai trouvé le sommeil que très tard.
Les jours passent et nous nous occupons comme deux simples potes. Télé, vélo, boisson. Il ne se doute pas que je suis homo.
Les premiers jours j'étais fou, je me plaisais à imaginer qu'il soit comme moi, et que nous sombrions dans les délices de l'amour.
Mais hélas, plus les jours passent, plus je déprime. Il fait des remarques sur chaque fille qu'il voit.
Mon ami ne sera jamais homosexuel. Je l'aime. Je peux toujours l'aimer, et je pense que si je le lui annonçais, il me quitterait définitivement.
Pourquoi ?
Je trouve cet instant de répit sur mon ordinateur pour déchainer mes sentiments. Quand je suis avec lui, j'ai une boule dans le ventre, j'ai la gorge serrée.
Une fois de plus on aura passé un séjour ensemble. Une fois de plus je l'aurais admiré. Une fois de plus j'aurais été deçu.
Au fait, j'aimerais que ce texte reste officielement écrit par moi, donc évitez de le copier-coller n'importe ou, merci
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rbsnowtrance4
- Messages : 573
- Inscription : mer. avr. 25, 2007 8:32 pm
Ton texte est bien écrit, on à bien l'impression de vivre ton histoire, et j'avoue m'y reconnaître 
. Concernant ta situation, je te conseille vraiment de tout faire pour faire passer le temps et éviter de passer tes journées à faire des films et virer dans la dépression. Essaye de sortir de chez toi, faire des activités, ou même juste passer du temps à discuter avec d'autres personnes même sur MSN aide (enfin moi ça m'a aidé).
Ah oui sinon, si c'est pas indiscret, je voulais te demander où tu te situais géographiquement à peu près mais j'ai oublié
. Concernant ta situation, je te conseille vraiment de tout faire pour faire passer le temps et éviter de passer tes journées à faire des films et virer dans la dépression. Essaye de sortir de chez toi, faire des activités, ou même juste passer du temps à discuter avec d'autres personnes même sur MSN aide (enfin moi ça m'a aidé).Ah oui sinon, si c'est pas indiscret, je voulais te demander où tu te situais géographiquement à peu près mais j'ai oublié
Je me situe dans le 22 !
Avant de l'oublier (JB) je crois que je peux me payer pas mal de déprimes.
Et puis ces quelques expériences qu'on a eu me donnent encore de l'espoir.
Ah oui au fait, comme c'est un extrait du livre que j'écris, je ne sais pas si je dois le publier dans "articles", car ils mettent :
En proposant un article sur le site, vous acceptez que votre texte soit publié sous la license Creative Commons Paternité, Pas d'Utilisation Commerciale et Pas de Modification (assurez vous d'avoir lu le contrat)
ça ne va pas être embetant si je publie ?
Avant de l'oublier (JB) je crois que je peux me payer pas mal de déprimes.
Et puis ces quelques expériences qu'on a eu me donnent encore de l'espoir.
Ah oui au fait, comme c'est un extrait du livre que j'écris, je ne sais pas si je dois le publier dans "articles", car ils mettent :
En proposant un article sur le site, vous acceptez que votre texte soit publié sous la license Creative Commons Paternité, Pas d'Utilisation Commerciale et Pas de Modification (assurez vous d'avoir lu le contrat)
ça ne va pas être embetant si je publie ?
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rbsnowtrance4
- Messages : 573
- Inscription : mer. avr. 25, 2007 8:32 pm
Je pense que la même license s'applique sur le forum, vu que c'est phpBB... mais bon: normalement si mes souvenirs sont bon sous cette license il sont obligés de donner crédit à l'auteur si le texte est republié, et il ne peux pas être utilisé dans le but de gagner de l'argent (à part toi tu as le droit de le publier dans ton livre bien sûr, vu que tu es propriétaire du texte). En même temps j'avoue que je n'ai pas regarder le contenu de la license Creative Commons depuis un bon bout de temps donc je ne suis pas un expert, mais si tu n'aime pas les termes de cette license, je te conseille d'enlever l'extrait...
Sinon j'y vais dans le 22 ce weekend, pour aller voir mon oncle, ma tante, et leur nouveau né
. C'est joli par là, c'est un peux plus 'ville' que le Finistère (dont la côte reste très belle)
EDIT: j'édite ce message au lieu de continuer à discuter seul avec toi sur ton topic d'accueil sinon je vais me faire mal voir par les modos
Sinon j'y vais dans le 22 ce weekend, pour aller voir mon oncle, ma tante, et leur nouveau né
. C'est joli par là, c'est un peux plus 'ville' que le Finistère (dont la côte reste très belle)EDIT: j'édite ce message au lieu de continuer à discuter seul avec toi sur ton topic d'accueil sinon je vais me faire mal voir par les modos
Dernière modification par rbsnowtrance4 le ven. juin 29, 2007 10:59 pm, modifié 2 fois.
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L'or j'adore
- Messages : 299
- Inscription : mar. mai 08, 2007 11:30 pm
Bienvenue à toi!
Je trouve ton texte très touchant mais je ne peux pas m'empêcher comme les autres de te déconseiller de t'accrocher à ton meilleur ami : tu risques de te brûler les ailes...
Mais je comprends très bien que ce ne soit pas simple pour toi ; après tout, on ne peut pas réèllement s'empêcher d'aimer quelqu'un...
Il faudrait par contre que tu commences à te mettre dans un coin de la tête qu'il y a de grandes chances pour qu'il n'en soit pas forcément au même point que toi. Et que, même si ça te semble inconcevable pour le moment, tu retomberas amoureux de quelqu'un d'autre.
Il y a aussi une question qui m'est venue en lisant ce que tu as posté : es-tu vraiment sûr qu'il ne se doute pas de ton homosexualité?
En effet, tu nous dis te faire passer pour un hétéro, mais quand une fille te demande de sortir avec elle et que tu réponds quelque chose comme "j'ai déjà une copine", ça ne met pas ton meilleur ami sur la piste? Puisqu'il doit bien le savoir si tu as quelqu'un ou pas et le fait que tu mentes quant à ton célibat peut éventuellement lui mettre la puce à l'oreille...
Je trouve ton texte très touchant mais je ne peux pas m'empêcher comme les autres de te déconseiller de t'accrocher à ton meilleur ami : tu risques de te brûler les ailes...
Mais je comprends très bien que ce ne soit pas simple pour toi ; après tout, on ne peut pas réèllement s'empêcher d'aimer quelqu'un...
Il faudrait par contre que tu commences à te mettre dans un coin de la tête qu'il y a de grandes chances pour qu'il n'en soit pas forcément au même point que toi. Et que, même si ça te semble inconcevable pour le moment, tu retomberas amoureux de quelqu'un d'autre.
Il y a aussi une question qui m'est venue en lisant ce que tu as posté : es-tu vraiment sûr qu'il ne se doute pas de ton homosexualité?
En effet, tu nous dis te faire passer pour un hétéro, mais quand une fille te demande de sortir avec elle et que tu réponds quelque chose comme "j'ai déjà une copine", ça ne met pas ton meilleur ami sur la piste? Puisqu'il doit bien le savoir si tu as quelqu'un ou pas et le fait que tu mentes quant à ton célibat peut éventuellement lui mettre la puce à l'oreille...
En effet, je refuse à chaque fois qu'une fille veut sortir avec moi...
Et comme des meilleurs amis ça se raconte des confidences....
Il và vraiment me manquer. Surtout que je viens de regarder Brokeback mountain... ahhhhh ....
Merci pour votre aide
Je sais pas... j'ai le choix entre lui dire mes sentiments et risquer de perdre une super amitié, et le choix de ne rien dire et d'en souffrir...
Et comme des meilleurs amis ça se raconte des confidences....
Il và vraiment me manquer. Surtout que je viens de regarder Brokeback mountain... ahhhhh ....
Merci pour votre aide
Je sais pas... j'ai le choix entre lui dire mes sentiments et risquer de perdre une super amitié, et le choix de ne rien dire et d'en souffrir...