
Tu as totalement raison sur la compréhension de la structure de la langue, qui explique donc le pourquoi de la chose, et quand on comprend, on assimile mieux.
Pour ne citer que ce cher Robert de l’orthographe, avant de le fréquenter, j’étais plutôt ignare en matière de pluriel des noms composés.
Depuis que je fréquente ledit Robert, qui explique donc la raison pour laquelle telle ou telle partie se met au pluriel ou non, comme j’ai –à peu près- compris, je maîtrise mieux le sujet.
Il y a encore 30 ans, les instituteurs expliquaient les règles de grammaire et d’orthographe sur le fond, en expliquant donc pourquoi. Et pour ceux qui n’avaient vraiment rien compris des deux-verbes-qui-se-suivent-le-second-se-met-à-l’infinitif, ils consentaient à leur donner le pense-bête de le remplacer par un verbe du 2e groupe « Je vais finIR », donc « Je vais mangER ».
Maintenant, et je l’ai vu avec ma petite dernière qui a maintenant 15 ans, c’est ce pense-bête qu’ils érigent comme règle, et donc les raisons de base, issues donc de la structure même de la langue, sont passées sous silence.