La maison du péril
Publié : dim. févr. 17, 2008 9:19 am
Comme il fallait un titre, j'ai opté pour celui du bouquin que je m'apprête à commencer.
J'opte aussi pour un classique j'aime / j'aime pas.
J'aime : mon chat, mon chien, mes parents sans qui je ne serais pas là aujourd'hui, la marmotte qui met le chocolat dans le papier d'aluminium, le chocolat (que la marmotte met dans le papier d'aluminium, donc), les livres, la cloche de mon village qui sonne toutes les heures et m'indique donc l'heure des repas sans que j'aie à consulter une horloge, les smileys, et, avant tout : la glande. Ne rien faire est une passion pour laquelle je suis prête à dépenser beaucoup d'énergie.
J'aime pas : chanter faux (hélas c'est mon lot quotidien) ; les défenseurs de la morale et les gens bien pensants qui mieux que moi-même savent si ce que je fais est bien ou mal ; les films d'action américains à gros budjet ; les haricots verts, suite à un événement traumatisant survenu pendant mon enfance, événement au cours duquel j'ai reçu une fessée devant une personne que je n'aimais pas (et donc c'est ça qui a été traumatisant).
Ce que je fais dans la vie pour gagner de quoi m'acheter du chocolat mis dans du papier d'alu par des marmottes travailleuses, on s'en fout vu que c'est purement alimentaire. Pas que je m'emmerde au travail, mais ma réalité est ailleurs, même si comme beaucoup je dois y consacrer un certain nombre d'heures par semaines, temps pendant lequel je ne peux hélas pas glander. Par glander, entendons-nous, il faut comprendre : lire, écouter de la musique (le pied absolu étant de le faire en étant dans les bras d'une belle créature), aller au cinéma, voir mes amis, promener mon clebs... bref : je glande dès que j'ai une activité choisie sans que ça soit sous la contrainte.
De façon générale, j'oscille entre légèreté et pesanteur, intelligence et connerie, sérieux et déconne, enthousiasme et déprime... Bref, je suis une gros bordel à moi toute seule, comme à peu près 6 milliards de mes semblables.
Ainsi soit-il.
J'opte aussi pour un classique j'aime / j'aime pas.
J'aime : mon chat, mon chien, mes parents sans qui je ne serais pas là aujourd'hui, la marmotte qui met le chocolat dans le papier d'aluminium, le chocolat (que la marmotte met dans le papier d'aluminium, donc), les livres, la cloche de mon village qui sonne toutes les heures et m'indique donc l'heure des repas sans que j'aie à consulter une horloge, les smileys, et, avant tout : la glande. Ne rien faire est une passion pour laquelle je suis prête à dépenser beaucoup d'énergie.
J'aime pas : chanter faux (hélas c'est mon lot quotidien) ; les défenseurs de la morale et les gens bien pensants qui mieux que moi-même savent si ce que je fais est bien ou mal ; les films d'action américains à gros budjet ; les haricots verts, suite à un événement traumatisant survenu pendant mon enfance, événement au cours duquel j'ai reçu une fessée devant une personne que je n'aimais pas (et donc c'est ça qui a été traumatisant).
Ce que je fais dans la vie pour gagner de quoi m'acheter du chocolat mis dans du papier d'alu par des marmottes travailleuses, on s'en fout vu que c'est purement alimentaire. Pas que je m'emmerde au travail, mais ma réalité est ailleurs, même si comme beaucoup je dois y consacrer un certain nombre d'heures par semaines, temps pendant lequel je ne peux hélas pas glander. Par glander, entendons-nous, il faut comprendre : lire, écouter de la musique (le pied absolu étant de le faire en étant dans les bras d'une belle créature), aller au cinéma, voir mes amis, promener mon clebs... bref : je glande dès que j'ai une activité choisie sans que ça soit sous la contrainte.
De façon générale, j'oscille entre légèreté et pesanteur, intelligence et connerie, sérieux et déconne, enthousiasme et déprime... Bref, je suis une gros bordel à moi toute seule, comme à peu près 6 milliards de mes semblables.
Ainsi soit-il.