Bon, allé, moi aussi je vais raconter ma life!!
Moi j'arrête pas de faier des CO à mes amis, j'arrête pas...
Faut dire aussi que depuis le lycée j'en change tout le temps, je rencontre les amis des amis, puis les amis des amis des amis, alors forcement, tout est à refaire à chaque fois!!!
Au début, j'y allé comme tout le monde, timide, rougissante, embarrasée, sans oser prononcer vraiment les mots (jusqu'à y a pas longtemps, j'avais un mal fou à prononcer le mot "lesbienne", j'avais un vrai blocage, et encore maintenant, j'utilise souvent de sériphrases pour ne pas dire directement "homosexualité"), à chaque fois mon coeur faisait Dam Dam pendant des heures avants, des heures après.
Au début, je me suis présentée à mes amis comme bi. Au début, je me croyais moi même bi, sans doute une manière de rester un peu dans la norme quand même".
Et puis.... ET puis, est venu la terminale.
Et des cuites à répétitions d'une dimension astronomique.
Ca fait deux ans maintenant que picole comme une chienne avec tous mes principaux amis, et que j'amene mes nouvelles connaisances aux soirée picoles.
Puis avec la fac, les amis amicalistes qui tiennent le bar de la cafette et ont toutes les bierres gratuites, c'est devenu coutumié, de vomir dans les buissons! (bon, j'en suis pas plus fière que ça, mais faut bien que jeunesse se passe, merde!! 12 ans que j'ai étais conditionnée pour réussir mon BAC, maintenant que j'ai eu ma mention TB, je me lache!)
Bref. le truc, c'est que je me suis rendue compte après que des amis me l'aient rapporté (parceque j'en ai pas souvenir, quelques grands blancs dans ma vie!!) que bourrée, j'avais une légere tendance à dire que j'étais lesbienne.
Ce qui est drôle, c'est que visiblement, je le disais même avant que je ne me l 'avoue à moi même!!
Alors forcement, au début j'étais toute génée, je me sentait conne, je me disais "plus jamais je picolerais!!"
Et puis...
Puis j'ai repris des cuites, et à chaque fois que j'étais déchirée, je m'outé au près de l'une ou l'autre de mes connaisances...
Donc finalement, je suis outée au près de tout le monde, sans avoir eu à faire le moindre effort.
Mais amis, même certains villageois cathos, l'ont tous bien prit.
Ils on prit ça comme quelque chose de naturel, ils hésitent pas à déconner sur le sujet.
Bon, un connard est allé le dire à tout le monde genre ultra choqué (les autres le savaient déjà pour la plupart, donc pas de casse!) mais en suite on s'est rendu compte qu'il été pro-lepen et il a quitté le groupe, donc no probleme !
Vàlà, c'était mes CO éthiliques à moi, méthode originale et efficace!!
La vie est un longue série de CO sans fin
Rappelons tout de même que:
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
Comme on dit dans ces circonstances: bravo pour l'assumer aussi bien!
Je parle de l'homosexualité bien sûr. pas de l'alcool.
En tout cas, c'est une image plutôt positive de l'ouverture de notre chère jeunesse que tu donnes ici....
Enfin, quand même pour des CO délicats mieux vaut ne pas être trop alcoolisé pour pouvoir être apte à répondre aux questions.
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
Comme on dit dans ces circonstances: bravo pour l'assumer aussi bien!
Je parle de l'homosexualité bien sûr. pas de l'alcool.
En tout cas, c'est une image plutôt positive de l'ouverture de notre chère jeunesse que tu donnes ici....
Enfin, quand même pour des CO délicats mieux vaut ne pas être trop alcoolisé pour pouvoir être apte à répondre aux questions.
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ExMembre10
Bravo ! Généralement avec l'alcool (même à petite dose) on arrive à faire des choses dont on a envie mais qu'on ose pas...
Et arrive tu à en reparler ensuite, dans des circonstances plus "normales" ?
Sinon à propos de l'alcool et des cuites... Je ne veux pas jouer au moralisateur, surtout que moi aussi j'ai connu une période comme ça où j'enchainais les soirées picoles... mais quand même fait attention, ça peut vite tourner à l'habitude qu'on n'arrive plus à défaire, parce que on en a besoin dès qu'il nous faut un peu de courage, ou pour oublier quelque chose (les gens qui boivent jusqu'à se rendre malade ont souvent un vrai problème, j'en sais quelque chose), ou encore parce qu'on est entouré de potes qui font la même chose et qu'on est trop faible pour s'arrêter soi même.
En tout cas je te conseille de diminuer les doses, et de trouver d'autres choses à faire dans ces soirées que de boire ...
Et arrive tu à en reparler ensuite, dans des circonstances plus "normales" ?
Sinon à propos de l'alcool et des cuites... Je ne veux pas jouer au moralisateur, surtout que moi aussi j'ai connu une période comme ça où j'enchainais les soirées picoles... mais quand même fait attention, ça peut vite tourner à l'habitude qu'on n'arrive plus à défaire, parce que on en a besoin dès qu'il nous faut un peu de courage, ou pour oublier quelque chose (les gens qui boivent jusqu'à se rendre malade ont souvent un vrai problème, j'en sais quelque chose), ou encore parce qu'on est entouré de potes qui font la même chose et qu'on est trop faible pour s'arrêter soi même.
En tout cas je te conseille de diminuer les doses, et de trouver d'autres choses à faire dans ces soirées que de boire ...
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bOOgie-wOOgie
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- Inscription : lun. juil. 18, 2005 5:43 pm
lol ça m'a fait beaucoup rire ta petite (grande?) série de CO éthyliques! C'est raconté d'un ton super enjoué donc c'est agréable à lire. Ca a failli m'arriver à moi, je commençais à devenir bien empégué mais je me controlais encore un peu donc j'ai réussi à éviter le "pire"!
Sinon pour couper la poire en deux avec Fade Out, tu peux continuer à boire jusqu'à ce que tu ais effectué tous les CO que tu juges nécessaires et après tu mets un petit frein sur l'alcool et les substances peu licites
Sinon pour couper la poire en deux avec Fade Out, tu peux continuer à boire jusqu'à ce que tu ais effectué tous les CO que tu juges nécessaires et après tu mets un petit frein sur l'alcool et les substances peu licites