Le Bilan des Coming Out
-
darkskies31
- Messages : 118
- Inscription : lun. août 04, 2008 9:32 pm
Bin moi j'ai fais pas mal de CO, mais pour des raisons évidentes je ne citerais que les plus intéressants
A commencé par ma mère:
Le lendemain de la fête du lycée (eh oui j'avais 15ans à l'époque!), où des copines étaient allées voir un mec pour qui j'avais eût le coup de foudre et qui avait répondût "Oui mais pas ce soir" (bon sa ne s'est pas fait ni ce soir là, ni aucun autre mais bon -il était hétéro je crois!-). Mais pour moi, jeune naif que j'étais c'était déjà un énorme espoir, et le lendemain j'étais tellement heureux je raconte ça à ma mère en terminant par un "Ah oui je suis bi, au fait"(bon j'essayais de m'en persuadé mais maintenant je suis gay, c'est sûr!!!). Elle n'a rien dit, et genre 2 semaines après dans la voiture elle me dit "Tu sais c'est normal à ton âge de se poser des questions.." Je l'ai coupé "Ah mais là c'est pas des questions, c'est des confirmations..." Elle ne dis rien, et re-quelques semaines plus tard alors que je parle de beaux mecs, elle me dit "Tu sais quand tu parles de ça, c'est comme quand ta soeur qui me dit qu'elle à une carte de donneuse d'organe..ça me fais mal au ventre.." J'étais là...okay... bon après quelques explications où je lui est dit que je cherchais pas son approbation mais son soutient, elle m'a avoué qu'elle voulait que je sois heureux avec un mec ou une fille, mais qu'elle avait eût peur pour mon avenir au début. Maintenant on débat sur les plus beaux acteurs donc c'est positif
Après à suivi ma soeur, qui a fait une tête surprise comme ça
avant de me dire :"Et Guillaume comment tu le trouve?" (Guillaume étant son copain)
Sinon il y eût une amie, qui au collège m'avait déclaré qu'elle trouvait pas normal et pas naturel qu'un ami à ses parents ai changé de sexe. A ce moment là je me suis promis de jamais lui dire, 4ans de secrets et quand je lui est dit, elle m'a répondût..."Et alors? Mon frère il est homo..."(il avait fait son CO quelques mois avant...) maintenant c'est une de mes meilleures amies. Ironie du sort? Récemment son frère a émit l'hypothèse qu'il voudrait changer de sexe...
Enfin voilà en résumé ("En résumé? Crierons certains, c'est vrai désolé pour la taille du texte....)
A commencé par ma mère:
Le lendemain de la fête du lycée (eh oui j'avais 15ans à l'époque!), où des copines étaient allées voir un mec pour qui j'avais eût le coup de foudre et qui avait répondût "Oui mais pas ce soir" (bon sa ne s'est pas fait ni ce soir là, ni aucun autre mais bon -il était hétéro je crois!-). Mais pour moi, jeune naif que j'étais c'était déjà un énorme espoir, et le lendemain j'étais tellement heureux je raconte ça à ma mère en terminant par un "Ah oui je suis bi, au fait"(bon j'essayais de m'en persuadé mais maintenant je suis gay, c'est sûr!!!). Elle n'a rien dit, et genre 2 semaines après dans la voiture elle me dit "Tu sais c'est normal à ton âge de se poser des questions.." Je l'ai coupé "Ah mais là c'est pas des questions, c'est des confirmations..." Elle ne dis rien, et re-quelques semaines plus tard alors que je parle de beaux mecs, elle me dit "Tu sais quand tu parles de ça, c'est comme quand ta soeur qui me dit qu'elle à une carte de donneuse d'organe..ça me fais mal au ventre.." J'étais là...okay... bon après quelques explications où je lui est dit que je cherchais pas son approbation mais son soutient, elle m'a avoué qu'elle voulait que je sois heureux avec un mec ou une fille, mais qu'elle avait eût peur pour mon avenir au début. Maintenant on débat sur les plus beaux acteurs donc c'est positif
Après à suivi ma soeur, qui a fait une tête surprise comme ça
avant de me dire :"Et Guillaume comment tu le trouve?" (Guillaume étant son copain)Sinon il y eût une amie, qui au collège m'avait déclaré qu'elle trouvait pas normal et pas naturel qu'un ami à ses parents ai changé de sexe. A ce moment là je me suis promis de jamais lui dire, 4ans de secrets et quand je lui est dit, elle m'a répondût..."Et alors? Mon frère il est homo..."(il avait fait son CO quelques mois avant...) maintenant c'est une de mes meilleures amies. Ironie du sort? Récemment son frère a émit l'hypothèse qu'il voudrait changer de sexe...
Enfin voilà en résumé ("En résumé? Crierons certains, c'est vrai désolé pour la taille du texte....)
Mon Coming Out a été fait lâchement ayant cette peur d'être renié.
Durant la soirée, je m'était engueuler avec mon père alors que j'était au boulot. En revenant de celui-ci et alors que tout le monde dormait dans la maison, j'ai pris une feuille de papier et j'ai commencer a écrire une double page A4 expliquant que ...
Je ne suis pas anormal, je suis un garçon qui n'arrête pas de bouger pour tout et rarement pour lui-même. [...] Voilà qu'on me demande de qui je me fou alors que je suis au boulot même quand je ne dois pas y être c'est vrai que je pourrais faire comme beaucoup de jeunes de mon age, me mettre a fumer, a me droguer, a boire comme une éponge et sortir tous les week-ends. Je ne lâche pas l'école, je boss mes week-ends et j'entends quand même les copains de classes expliquer leurs sorties… [...]D'accord c'est pas facile d'apprendre mon orientation sexuelle, d'accord, mais pensez aussi a tout ce que je dois faire, de mon coté, pour pouvoir le dire simplement, comme si je dirais bonjour a n'importe qui…
Voilà, le pourquoi j'occupe mon esprit par temps de choses. Je remets cette lettre, parce que deux mules qui se tiennent tête peuvent être mauvais pour la famille et je ne veux pas que ce soit maman qui se mange tout en pleine face. Je mets ça sur papier parce que je n'aurai pas le courage de vous le dire de vive voix et j'en suis navré.
[...] Je ne suis pas efféminé, je n'aime pas les efféminés et c'est le principal, je crois.
Voilà, j'ai expliqué mon problème, maintenant je suis peut-être pas ouvert réellement à une discussion orale sachant que je m'emballe vite, mais bon y dois y avoir moyen.
Plus de discutions avec mon père pendant près d'un an et maintenant cela recommence a être "normal", coté Maman dur mais passé beaucoup plus facilement.
Durant la soirée, je m'était engueuler avec mon père alors que j'était au boulot. En revenant de celui-ci et alors que tout le monde dormait dans la maison, j'ai pris une feuille de papier et j'ai commencer a écrire une double page A4 expliquant que ...
Je ne suis pas anormal, je suis un garçon qui n'arrête pas de bouger pour tout et rarement pour lui-même. [...] Voilà qu'on me demande de qui je me fou alors que je suis au boulot même quand je ne dois pas y être c'est vrai que je pourrais faire comme beaucoup de jeunes de mon age, me mettre a fumer, a me droguer, a boire comme une éponge et sortir tous les week-ends. Je ne lâche pas l'école, je boss mes week-ends et j'entends quand même les copains de classes expliquer leurs sorties… [...]D'accord c'est pas facile d'apprendre mon orientation sexuelle, d'accord, mais pensez aussi a tout ce que je dois faire, de mon coté, pour pouvoir le dire simplement, comme si je dirais bonjour a n'importe qui…
Voilà, le pourquoi j'occupe mon esprit par temps de choses. Je remets cette lettre, parce que deux mules qui se tiennent tête peuvent être mauvais pour la famille et je ne veux pas que ce soit maman qui se mange tout en pleine face. Je mets ça sur papier parce que je n'aurai pas le courage de vous le dire de vive voix et j'en suis navré.
[...] Je ne suis pas efféminé, je n'aime pas les efféminés et c'est le principal, je crois.
Voilà, j'ai expliqué mon problème, maintenant je suis peut-être pas ouvert réellement à une discussion orale sachant que je m'emballe vite, mais bon y dois y avoir moyen.
Plus de discutions avec mon père pendant près d'un an et maintenant cela recommence a être "normal", coté Maman dur mais passé beaucoup plus facilement.
Coucou!
Mon coming-out s'est fait de manière involontaire, mes grands-parents s'en doutant très largement.
Je précise que j'ai toujours vécu avec mes grands-parents, mes parents m'ayant abandonné, et que de ce fait, la différence de 2 générations a beaucoup joué dans l'acceptation de mon homosexualité.
------
Depuis ma plus tendre adolescence, je me trouvais très laid. Plein d'acné, une coupe de cheveux affreuse, je ne plaisais à personne. Je complexais beaucoup sur mon physique, et du coup mon mental en pâtissait.
Un jour, j'ai décidé d'assouvir mon penchant pour les hommes et de me ressaisir. J'ai alors suivi un traitement pour contrer mon acné, et j'ai changé de fringues et de coupe de cheveux. Rigolez, mais cela a son importance.
Du jour au lendemain, je me suis aperçu que je pouvais beaucoup plaire, que j'avais beaucoup de prétendants etc blabla.
C'est alors que je me suis mis à beaucoup sortir, la période étudiante favorisant ça. Mes grands-parents se sont mis alors à douter. En rentrant de week-end, je m'entendais dire "t'étais pas avec un PD au mois?" et moi de répondre "si, j'étais avec un PD! ces gens-là me dégoûtent mais ils sont gentils! et personne ne m'empêchera d'avoir X comme copine, que j'adore!". Bref que des mensonges pour cacher mes moments de plaisir du week-end.
J'ai alors commencé une double vie, celle du mec qui prend une copine comme alibi pour pouvoir sortir avec des mecs pendant le week-end. Puis j'ai été interne dans une école. J'ai eu mon premier copain régulier (quand je dis régulier, je dis que ça a duré 2 mois... yay!). Il était un fou de sexe et j'en prenais plein le cul (excusez...). Suite à quoi j'ai eu des complications. J'ai confié ça à mes grands-parents qui se sont encore remis à avoir des doutes.
Ne pouvant plus tenir la situation, je me suis dit qu'il était plus facile de tout dire que de tout garder pour moi, imaginant que, vue ma souffrance, j'aurais un peu de soutien.
Il arrive alors un jour, pendant le repas avec eux et ma soeur (qui était au courant), je leur dis que j'aurai besoin de leur parler après le repas.
La fin du repas arrive, et je leur balance "tous vos soupçons sont fondés".
Grosse crise, ma grand-mère ne dit mot, pendant que mon grand-père se prend la tête entre ses mains. Après quelques minutes de lourd silence, celui-ci finit par ouvrir la bouche et dire "tu es malade, il faut que tu te fasses soigner".
Je ne réagis pas (trop), ce qui le fait continuer, en disant "j'aurais préféré ne jamais mettre au monde celui qui t'a mis au monde".
Je m'effondre, ne pensant jamais entendre ça d'un ancien pasteur qui était tellement tolérant envers tout le monde, sauf visiblement envers sa famille. Ma grand-mère ne dit mot.
Je me mets à fondre en larmes, en disant "mais j'espérais un peu de soutien de votre part!", pour m'entendre dire, mon grand-père riant très jaune, en se foutant de ma gueule "ha! mais du soutien, pour quoi?? tu dois aller en hôpital psychiatrique!". Et puis "bon je me barre, j'en ai assez entendu". Ma grand-mère reste sans mot.
S'en suit une période de silence, mon grand-père est parti, et ma grand-mère reste là, sans dire un mot. J'engage la conversation et elle me dit "tu sais, ton grand-père est un homme, c'est normal qu'il réagisse comme ça. Moi je suis une femme, je voudrai toujours te protéger. Mais, tu sais, nous n'arriverons jamais à comprendre ça, c'est contre nature, mais nous l'accepterons".
Depuis, j'ai amené une fois à la maison mon copain, pendant que mes grands-parents étaient en week-end ailleurs, sachant que serais seul avec lui dans la maison. Mais, ô surprise, ils ont débarqué plus tôt que prévu. S'en est suivie une scène à la maison, mon grand-père me demandant si mon "ami" avait utilisé les toilettes: "il a utilisé les chiottes? si c'est oui, tu vas me les nettoyer et je vous raccompagne au train pour que vous dégagiez!!!" Dans la voiture, avec nous deux derrière, je l'entendais faire mine de vomir, en signe de dégoût.
Depuis, beaucoup de choses se sont passées, mon grand-père étant tombé gravement malade. Il a su accepter qui j'étais, par la force des choses, et me pardonner, alors que moi-même je l'avais menacé de les laisser tomber, lui et toute la famille s'ils n'acceptaient pas.
Aujourd'hui, il est décédé, ma grand-mère et lui avaient déménagé à l'autre bout du monde.
Elle m'en parle souvent, elle me dit souvent qu'elle est fière de moi. Depuis, elle a appris à connaître mon homme et ma "belle famille". Elle me demande souvent de ses nouvelles, on a encore eu un dîner ensemble pendant qu'elle prenait ses vacances en France l'été dernier. Elle est devenue beaucoup plus tolérante, et le sujet n'est plus tabou. Car elle sait simplement que je suis heureux comme je suis, et que c'est la seule chose qui importe. Et elle sait également que ce n'est pas une passade avec mon homme, puisque ça va faire 5 ans que nous sommes ensemble.
Mon coming-out s'est fait de manière involontaire, mes grands-parents s'en doutant très largement.
Je précise que j'ai toujours vécu avec mes grands-parents, mes parents m'ayant abandonné, et que de ce fait, la différence de 2 générations a beaucoup joué dans l'acceptation de mon homosexualité.
------
Depuis ma plus tendre adolescence, je me trouvais très laid. Plein d'acné, une coupe de cheveux affreuse, je ne plaisais à personne. Je complexais beaucoup sur mon physique, et du coup mon mental en pâtissait.
Un jour, j'ai décidé d'assouvir mon penchant pour les hommes et de me ressaisir. J'ai alors suivi un traitement pour contrer mon acné, et j'ai changé de fringues et de coupe de cheveux. Rigolez, mais cela a son importance.
Du jour au lendemain, je me suis aperçu que je pouvais beaucoup plaire, que j'avais beaucoup de prétendants etc blabla.
C'est alors que je me suis mis à beaucoup sortir, la période étudiante favorisant ça. Mes grands-parents se sont mis alors à douter. En rentrant de week-end, je m'entendais dire "t'étais pas avec un PD au mois?" et moi de répondre "si, j'étais avec un PD! ces gens-là me dégoûtent mais ils sont gentils! et personne ne m'empêchera d'avoir X comme copine, que j'adore!". Bref que des mensonges pour cacher mes moments de plaisir du week-end.
J'ai alors commencé une double vie, celle du mec qui prend une copine comme alibi pour pouvoir sortir avec des mecs pendant le week-end. Puis j'ai été interne dans une école. J'ai eu mon premier copain régulier (quand je dis régulier, je dis que ça a duré 2 mois... yay!). Il était un fou de sexe et j'en prenais plein le cul (excusez...). Suite à quoi j'ai eu des complications. J'ai confié ça à mes grands-parents qui se sont encore remis à avoir des doutes.
Ne pouvant plus tenir la situation, je me suis dit qu'il était plus facile de tout dire que de tout garder pour moi, imaginant que, vue ma souffrance, j'aurais un peu de soutien.
Il arrive alors un jour, pendant le repas avec eux et ma soeur (qui était au courant), je leur dis que j'aurai besoin de leur parler après le repas.
La fin du repas arrive, et je leur balance "tous vos soupçons sont fondés".
Grosse crise, ma grand-mère ne dit mot, pendant que mon grand-père se prend la tête entre ses mains. Après quelques minutes de lourd silence, celui-ci finit par ouvrir la bouche et dire "tu es malade, il faut que tu te fasses soigner".
Je ne réagis pas (trop), ce qui le fait continuer, en disant "j'aurais préféré ne jamais mettre au monde celui qui t'a mis au monde".
Je m'effondre, ne pensant jamais entendre ça d'un ancien pasteur qui était tellement tolérant envers tout le monde, sauf visiblement envers sa famille. Ma grand-mère ne dit mot.
Je me mets à fondre en larmes, en disant "mais j'espérais un peu de soutien de votre part!", pour m'entendre dire, mon grand-père riant très jaune, en se foutant de ma gueule "ha! mais du soutien, pour quoi?? tu dois aller en hôpital psychiatrique!". Et puis "bon je me barre, j'en ai assez entendu". Ma grand-mère reste sans mot.
S'en suit une période de silence, mon grand-père est parti, et ma grand-mère reste là, sans dire un mot. J'engage la conversation et elle me dit "tu sais, ton grand-père est un homme, c'est normal qu'il réagisse comme ça. Moi je suis une femme, je voudrai toujours te protéger. Mais, tu sais, nous n'arriverons jamais à comprendre ça, c'est contre nature, mais nous l'accepterons".
Depuis, j'ai amené une fois à la maison mon copain, pendant que mes grands-parents étaient en week-end ailleurs, sachant que serais seul avec lui dans la maison. Mais, ô surprise, ils ont débarqué plus tôt que prévu. S'en est suivie une scène à la maison, mon grand-père me demandant si mon "ami" avait utilisé les toilettes: "il a utilisé les chiottes? si c'est oui, tu vas me les nettoyer et je vous raccompagne au train pour que vous dégagiez!!!" Dans la voiture, avec nous deux derrière, je l'entendais faire mine de vomir, en signe de dégoût.
Depuis, beaucoup de choses se sont passées, mon grand-père étant tombé gravement malade. Il a su accepter qui j'étais, par la force des choses, et me pardonner, alors que moi-même je l'avais menacé de les laisser tomber, lui et toute la famille s'ils n'acceptaient pas.
Aujourd'hui, il est décédé, ma grand-mère et lui avaient déménagé à l'autre bout du monde.
Elle m'en parle souvent, elle me dit souvent qu'elle est fière de moi. Depuis, elle a appris à connaître mon homme et ma "belle famille". Elle me demande souvent de ses nouvelles, on a encore eu un dîner ensemble pendant qu'elle prenait ses vacances en France l'été dernier. Elle est devenue beaucoup plus tolérante, et le sujet n'est plus tabou. Car elle sait simplement que je suis heureux comme je suis, et que c'est la seule chose qui importe. Et elle sait également que ce n'est pas une passade avec mon homme, puisque ça va faire 5 ans que nous sommes ensemble.
Ben dites donc, y'a quand même des CO sacrément durs, je savais que ce n'était facile pour personne mais là j'ai du mal à comprendre. Ceci dit, je préfère ne pas savoir la réaction de mes grands parents s'ils apprenaient ma sexualité... Si jamais j'ai des gosses, j'espère qu'il y en aura au moins un ou une homo, rien que pour le plaisir que je prendrais à faciliter leur vie...
moi je l'ai fait à 14 ans et ça c'est très bien passé, deux choses me marque:
-Un amis qui me dit: "Tu crois vraiment que c'est parce que tu es homosexuel que tu ne vas plus être mon ami?"
-Ma mère: "Ah! ce n'est que ça! j'ai cru que tu avais le Sida!!"
Donc positif pour moi en tout point!
74 positif et 2 Négatif (n'hésitez pas à rectifier si je compte mal)
-Un amis qui me dit: "Tu crois vraiment que c'est parce que tu es homosexuel que tu ne vas plus être mon ami?"
-Ma mère: "Ah! ce n'est que ça! j'ai cru que tu avais le Sida!!"
Donc positif pour moi en tout point!
74 positif et 2 Négatif (n'hésitez pas à rectifier si je compte mal)
bon on ne peut pas dire que ce soit vraiment un c-o. je dirais meme que j'ai été outée par et-alors!!
eh oui! je parlais de ma cousine dans un des posts et par je ne sais quel miracle, la voilà qui tombe sur le forum. elle a passé 3heures à lire tout ce que j'ai écrit. (la pauvre...)
au final, elle l'a super bien pris. elle m'a meme fait un calin en me disant"t'sais Solène, je sais ce que tu voulais que je trouve. mais moi je m'en fiche. je serai toujours là pour toi".
75 positifs et 2 négatifs (c bien ça? jsuis un peu larguée là. j'ai du mal à me remettre dans le monde civilisé)
bonne soirée à tous!
Edit: je viens de lire le post d'Idryss et je me dis que certaines personnes n'ont pas de chance dans la première réaction des proches de la famille...
quel mauvais moment tu as du passer!!
et t'as toujours le moral? franchement chapeau!!
eh oui! je parlais de ma cousine dans un des posts et par je ne sais quel miracle, la voilà qui tombe sur le forum. elle a passé 3heures à lire tout ce que j'ai écrit. (la pauvre...)
au final, elle l'a super bien pris. elle m'a meme fait un calin en me disant"t'sais Solène, je sais ce que tu voulais que je trouve. mais moi je m'en fiche. je serai toujours là pour toi".
75 positifs et 2 négatifs (c bien ça? jsuis un peu larguée là. j'ai du mal à me remettre dans le monde civilisé)
bonne soirée à tous!
Edit: je viens de lire le post d'Idryss et je me dis que certaines personnes n'ont pas de chance dans la première réaction des proches de la famille...
quel mauvais moment tu as du passer!!
et t'as toujours le moral? franchement chapeau!!
Pour ma part, j'ai commencé à faire mon CO à différentes personnes cette année. En premier à mon meilleur ami, qui l'a très bien pris et qui m'a même dit qu'il s'en doutait. Puis ensuite à plusieurs amis qui l'ont plus ou moins bien pris. Puis est venu le tour de ma mère, je ne voulais pas lui dire parce que j'estimais que à 15ans j'ai encore tout mon temps.. Mais elle n'arrêtait pas de "me tendre des perches" comme elle dit, et un jour dans la voiture elle m'a dit "je sais que tu n'es pas attiré par les garçons mais plutôt par les filles tu sais!" et là moi j'ai pas su quoi dire alors j'ai lancé : "Eeeee, oui t'as tout compris dans ce cas!". Et enfin y'a exactement 1 semaine je l'ai dit à ma meilleure amie, j'appréhendais vraiment de lui dire parce que je pensais que je l'a perdrais, mais à ma grande surprise c'est elle qui m'a avoué qu'elle lisait tout les commentaires que j'échange avec une amie par skyblog et qu'elle se posait des questions. J'ai lâché le morceau et elle l'a très très bien pris ![=]](./images/smilies/oldsite_icon_turned.gif "Très drole !")
Donc pour moi c'est pour l'instant très positif, même si je ne peux pas le dire à mon père, qui depuis que je suis petite me dit "si t'es lesbienne tu sais, c'est même plus la peine de me téléphoner.." charmant.. je sais! Et étant donné que je vis chez lui depuis le mois de mai je peux pas me permettre de me faire foutre à la porte !
Alors pour l'instant je pense que c'est que du positif.
76 positifs et 2 négatifs
Donc pour moi c'est pour l'instant très positif, même si je ne peux pas le dire à mon père, qui depuis que je suis petite me dit "si t'es lesbienne tu sais, c'est même plus la peine de me téléphoner.." charmant.. je sais! Et étant donné que je vis chez lui depuis le mois de mai je peux pas me permettre de me faire foutre à la porte !
Alors pour l'instant je pense que c'est que du positif.
76 positifs et 2 négatifs
Ha tiens, j'en avais pas parlé :
J'ai fait mon CO à mon papa (je raconterai ça sur un autre topic quand j'aurais le temps), il l'a très bien pris! Ma mère sait plus où moins que je suis gay (je parle souvent de mecs mignons, donc, même si je le lui ai jamais dit explicitement, c'est quand même assez clair), et sinon, à peu près tous les élèves avec qui je suis à la fac savent que je suis gay, et de toutes façons, ceux qui le savent savent aussi que je ne cache pas que je le suis (surtout que j'en parle sans complexe).
Bon heu... ça compte pour combien de positifs?
77 positifs et 2 négatifs
J'ai fait mon CO à mon papa (je raconterai ça sur un autre topic quand j'aurais le temps), il l'a très bien pris! Ma mère sait plus où moins que je suis gay (je parle souvent de mecs mignons, donc, même si je le lui ai jamais dit explicitement, c'est quand même assez clair), et sinon, à peu près tous les élèves avec qui je suis à la fac savent que je suis gay, et de toutes façons, ceux qui le savent savent aussi que je ne cache pas que je le suis (surtout que j'en parle sans complexe).
Bon heu... ça compte pour combien de positifs?
77 positifs et 2 négatifs