Je conçois que certains veulent en parler, mais si c'était une chose banale, on n'appellerait pas ça un coming out, ça n'aurait pas de nom, et ce serait tellement mieux...spécimen a écrit :Moi aussi Ratatouille, jusqu'à ce que je comprenne à quoi ça sert et comment cela pouvait être utile à ce que je me sente mieux.Ratatouille a écrit :Les coming out... ça me déprime...
Après ça ne déprime pluson en fait, ou on n'en fait pas, mais on ne se met pas la pression inutilement !
Relativisme Ratatouille. Une chose n'est pas banale. En revanche tu trouves une chose banale après avoir acquit une certaine expérience, après avoir essuyé des échecs, des revers, mais aussi des réussites. Une chose ne devient banale que par l'habitude que l'on a de la pratiquer, ou de la concevoir.Ratatouille a écrit :Je conçois que certains veulent en parler, mais si c'était une chose banale, on n'appellerait pas ça un coming out, ça n'aurait pas de nom, et ce serait tellement mieux...spécimen a écrit :Moi aussi Ratatouille, jusqu'à ce que je comprenne à quoi ça sert et comment cela pouvait être utile à ce que je me sente mieux.Ratatouille a écrit :Les coming out... ça me déprime...
Après ça ne déprime plus
), mais un état de fait, à savoir celui de sortir de l'ombre. C'est la société qui a un problème avec le CO et qui trouve ça pas banal. Mais de ton côté, ton orientation, il n'y a rien de plus banal.Je comprends. Peut être alors ne faut-il pas organiser de sortie mais juste présenter le copain "à l'occasion" de façon détachée. C'est une idée pour empêcher que le papa ne colle directement l'étiquette "le gay qui a perverti mon fils" sur le front de ce garçon. Je continue de croire que de voir le copain quelques minutes et l'apprécier à sa juste valeur reste une bonne manière pour mieux faire passer la chose.strat a écrit :A priori c'est plutôt difficile de jouer la sortie "innocente" pour montrer que Jules est une personne magnifique, et que rien au monde ne pourrait expliquer qu'on lui résiste...
D'abord dans le stress, les deux seront tout gênés. Ensuite, le père considérera avoir été pris pour un con pendant une après-midi.
Non définitivement, ça ne peut fonctionner qu'avec de très bons acteurs qui n'ont pas froid aux yeux !
Pour éviter ça, je pense que le mieux reste de ne pas présenter le copain, justement. Dire "Je suis homo", ou autre, puis si la question est posée, dire "oui, j'ai un copain". Enfin, c'est mon avis.Eirama a écrit : C'est une idée pour empêcher que le papa ne colle directement l'étiquette "le gay qui a perverti mon fils" sur le front de ce garçon. Je continue de croire que de voir le copain quelques minutes et l'apprécier à sa juste valeur reste une bonne manière pour mieux faire passer la chose.
Donc, en as tu envie toi, en ressens tu le besoin et t'y sens tu prêt, ou bien est-ce pour lui faire plaisir ? Parce que si tu ne te sens pas de le faire, attends.sam1991 a écrit :Alors voilà, tous est dans le titre, enfin presque, je voulais savoire si c'est une bonne idée car je doute mais mon copain insiste.
Même si tu arrives à lui faire croire que c'est le fils dont il a toujours rêvé, à la seconde où tu révéleras le pot aux roses, s'il doit mal réagir, ça sera encore pire.Eirama a écrit :C'est une idée pour empêcher que le papa ne colle directement l'étiquette "le gay qui a perverti mon fils" sur le front de ce garçon.
