Estimés collègues, j'adoooooore Michou !!!
Estimés collègues, j'adoooooore Michou !!!
Salut les filles !
Aujourd'hui j'ai la larme à l'oeil parce que je n'ai pas pu m'acheter de chaussures. Et aussi et surtout parce que je viens poster dans la partie coming out ! Ouaaaaaiiiis ! Je suis sur la voie de l'assumage public de ma pédésexualité ! Funkyyyyy !
Je vous raconte.
Pour celles qui l'ignorent, je bosse dans une boite de tourisme en qualité de commercial ( terme fourre-tout qu'il est inutile de développer ici ). Je fais partie d'une petite équipe composée de cinq autres commerciaux et suis souvent amené à collaborer avec deux donzelles du service comptabilité et quelques gus du service facturation. Voila en gros les personnes que je côtoie.
Sans entrer dans les détails, certaines des personnes sus-citées sont : très bas-du-front ( national ), hétérobeauf, pédéphobe, croyant, abruti, alcoolique ou simplement con. Ce qui ne m'empêche pas de m'entendre avec eux dans le cadre purement professionnel : chacun fait son boulot et tout va bien.
Or donc, depuis une semaine, les repas entre collègues - grands moments de solitude en ce qui me concerne - deviennent quasi quotidien. Et comme à chaque fois qu'on se retrouve à table, la discussion n'a plus uniquement trait au tapin : chacun raconte sa vie. Chacun sauf maggle. Vu le peu d'estime que j'ai pour eux et le manque total d'envie de souder des relations amicales avec ces pignoufs, je préfère la mettre en sourdine et laisser passer ce genre de moments.
Le hic, c'est qu'à chaque repas ils se sentent obligés de me faire la conversation. Et ces derniers temps, beaufitude et côtes du Rhone aidant, ils se lachent sur les vannes made in Bigard et me "taquinent" ( comprendre : me font copieusement chier ) sur le fait que je ne divulgue rien de ma vie. En général j'esquive leur ingérence dans mes affaires par une pirouette ou un regard bien senti. Hélas, ces cons ont la dent dure !
Ainsi, la semaine dernière, ils ont décidé de me chambrer sur le fait que j'étais célibataire ( mais pourquoi ne leur ai-je pas dit que j'étais hétéro, père de famille et propriétaire terrien ?!? ). Petit extrait - garanti 100% authentique du terroir :
Nan mais franchement, c'est l'été. Même si t'es célib, t'as des envies quoi. T'as pas à faire ta vie avec une meuf si tu veux pas. Ca s'comprend. Tu la prends, tu lui casses les pattes et tu passes à une autre.
Dixit A., 45 ans, père de deux enfants, marié à une chieuse ( sic ) et à Jack Daniel's.
Pendant dix interminables minutes j'ai enduré ce genre de propos. Je me suis mentalement focalisé sur autre chose ( le boulot, les chaussures et le beau petit cul du serveur ) et l'orage est passé. Seulement j'étais dans un état d'agacement profond. Je me suis promis de ne plus déjeuner avec eux - ce qui serait bon pour ma ligne et ma santé mentale.
Hélas, on ne fait pas toujours ce qu'on veut.
Si j'ai pu les esquiver une bonne partie de la semaine, j'ai du me les fader mercredi.
Mercredi, donc.
Restaurant, réunion informelle entre commerciaux à laquelle participe une blondasse de la comptabilité. La bouffe est bonne et le vin pas dégueulasse. Contrairement à l'ambiance qui s'est vite délitée. Passé les comptes, les chiffres, les mots d'ordre du jour, les objectifs à atteindre, les commissions à verser et les facturations à envoyer au plus vite, la discussion revient inexorablement sur l'affligeante médiocrité des vies de mes collègues. Et, inexorablement, les projecteurs se braquent sur moi.
Bon alors Guillaume ( oui, je m'appelle Guillaume, comme beaucoup de pédés ), on t'as pas beaucoup vu ces derniers temps. Surtout les midis. T'avais mieux à faire ?
*rires sournois*
Il s'est trouvé une copine et il nous oublie !
*rires gras*
Manger ou baiser, il faut choisir !
*éclats de rires*
*regard consterné de la blondasse de la compta*
A ce stade du repas, j'éprouvais autant de mépris à leur endroit qu'on peut en avoir pour une blatte. Froidement, mon attention fixée sur ma salade, j'ai donc lâché un très lapidaire :
Guillaume suce des bites.
*silence*
*regards ahuris*
*silence toujours*
*silence encore*
*balbutiements gênés*
Décidé à enfoncer le clou et à profiter du silence pour bien leur faire comprendre qu'ils avaient bien entendu et qu'il ne s'agissait pas d'une blague, j'ai repris de plus belle :
Oui oui, Guillaume suce des bites. C'est un pédé. Une pédale. Une tarlouze. Il aime les mecs.
Pour le coup, il ne savaient pas où se mettre. Donc j'ai continué :
Ne soyez pas gênés : je le vis très bien.
Ceci étant dit, à défaut de prendre le serveur, je vais prendre l'addition, mes affaires et retourner au travail. Bonne fin de journée.
En me dirigeant vers le comptoir pour régler ma part, j'ai entendu un "c'est une tapette !", ce qui m'a amusé plus qu'autre chose.
Sorti du restaurant, j'avoue que j'étais assez content de moi. Et de la façon cash de leur dire ( c'est un peu mon style ! ) et aussi de m'être outé : au moins ne viendront-ils pas me faire chier avec leurs histoires d'hétéros et leurs questions alakon.
Ca, c'est le côté funky de la chose.
Le côté moins glam ne m'est apparu qu'après.
Je suis rentré dans cette société grâce à une copine ( qui n'était pas là au déjeuner sus-mentionné ). Elle est gay friendly toussa seulement y'a deux problèmes : primo, elle ne sait pas tenir sa langue et si on lui confie un secret, on peut être sûr que tout Paris en sera informé dans l'heure qui suit. Secondo, c'est une amie de ma famille. Famille avec laquelle je n'entretiens quasiment plus aucun lien ( à part un cousin génial que je vois souvent auprès du quel je suis pas outé, mon frangin et ma frangine ( qui ne m'a pas cru quand je lui ai avoué mon doux secret )). Le hic c'est que mon CO viendra inéluctablement à ses oreilles et que, presque aussi inéluctablement, elle en informera ma famille ( qui aime bien les pédés - surtout morts ). Le problème, mineur en fin de comptes, est là : me faire outer aurpès d'une bande de cons par quelqu'un qui ne sait pas se taire.
Enfin bref, à ce niveau là, on verra quand ça viendra...
Pour finir sur une note plus funky, la blondasse de la compta est venue me parler.
Tu sais, Guillaume, il y a J. de la facturation qui est homo aussi et tu ne lui es pas indifférent. Tu devrais le rencontrer, c'est vraiment un garçon bien.
Outre le fait qu'elle vienne outer son collègue ( même si, pour lui, c'est écrit sur son front ), ce qui m'a fait sourire, c'est que j'ai déjà eu un rencard avec le J. en question. Il m'avait invité chez lui et je comptais bien le prendre comme dessert. Ca s'est fini en plan loose sans que rien ne se passe...
Tout ça pour dire que le coming out, c'est bien funky !
Aujourd'hui j'ai la larme à l'oeil parce que je n'ai pas pu m'acheter de chaussures. Et aussi et surtout parce que je viens poster dans la partie coming out ! Ouaaaaaiiiis ! Je suis sur la voie de l'assumage public de ma pédésexualité ! Funkyyyyy !
Je vous raconte.
Pour celles qui l'ignorent, je bosse dans une boite de tourisme en qualité de commercial ( terme fourre-tout qu'il est inutile de développer ici ). Je fais partie d'une petite équipe composée de cinq autres commerciaux et suis souvent amené à collaborer avec deux donzelles du service comptabilité et quelques gus du service facturation. Voila en gros les personnes que je côtoie.
Sans entrer dans les détails, certaines des personnes sus-citées sont : très bas-du-front ( national ), hétérobeauf, pédéphobe, croyant, abruti, alcoolique ou simplement con. Ce qui ne m'empêche pas de m'entendre avec eux dans le cadre purement professionnel : chacun fait son boulot et tout va bien.
Or donc, depuis une semaine, les repas entre collègues - grands moments de solitude en ce qui me concerne - deviennent quasi quotidien. Et comme à chaque fois qu'on se retrouve à table, la discussion n'a plus uniquement trait au tapin : chacun raconte sa vie. Chacun sauf maggle. Vu le peu d'estime que j'ai pour eux et le manque total d'envie de souder des relations amicales avec ces pignoufs, je préfère la mettre en sourdine et laisser passer ce genre de moments.
Le hic, c'est qu'à chaque repas ils se sentent obligés de me faire la conversation. Et ces derniers temps, beaufitude et côtes du Rhone aidant, ils se lachent sur les vannes made in Bigard et me "taquinent" ( comprendre : me font copieusement chier ) sur le fait que je ne divulgue rien de ma vie. En général j'esquive leur ingérence dans mes affaires par une pirouette ou un regard bien senti. Hélas, ces cons ont la dent dure !
Ainsi, la semaine dernière, ils ont décidé de me chambrer sur le fait que j'étais célibataire ( mais pourquoi ne leur ai-je pas dit que j'étais hétéro, père de famille et propriétaire terrien ?!? ). Petit extrait - garanti 100% authentique du terroir :
Nan mais franchement, c'est l'été. Même si t'es célib, t'as des envies quoi. T'as pas à faire ta vie avec une meuf si tu veux pas. Ca s'comprend. Tu la prends, tu lui casses les pattes et tu passes à une autre.
Dixit A., 45 ans, père de deux enfants, marié à une chieuse ( sic ) et à Jack Daniel's.
Pendant dix interminables minutes j'ai enduré ce genre de propos. Je me suis mentalement focalisé sur autre chose ( le boulot, les chaussures et le beau petit cul du serveur ) et l'orage est passé. Seulement j'étais dans un état d'agacement profond. Je me suis promis de ne plus déjeuner avec eux - ce qui serait bon pour ma ligne et ma santé mentale.
Hélas, on ne fait pas toujours ce qu'on veut.
Si j'ai pu les esquiver une bonne partie de la semaine, j'ai du me les fader mercredi.
Mercredi, donc.
Restaurant, réunion informelle entre commerciaux à laquelle participe une blondasse de la comptabilité. La bouffe est bonne et le vin pas dégueulasse. Contrairement à l'ambiance qui s'est vite délitée. Passé les comptes, les chiffres, les mots d'ordre du jour, les objectifs à atteindre, les commissions à verser et les facturations à envoyer au plus vite, la discussion revient inexorablement sur l'affligeante médiocrité des vies de mes collègues. Et, inexorablement, les projecteurs se braquent sur moi.
Bon alors Guillaume ( oui, je m'appelle Guillaume, comme beaucoup de pédés ), on t'as pas beaucoup vu ces derniers temps. Surtout les midis. T'avais mieux à faire ?
*rires sournois*
Il s'est trouvé une copine et il nous oublie !
*rires gras*
Manger ou baiser, il faut choisir !
*éclats de rires*
*regard consterné de la blondasse de la compta*
A ce stade du repas, j'éprouvais autant de mépris à leur endroit qu'on peut en avoir pour une blatte. Froidement, mon attention fixée sur ma salade, j'ai donc lâché un très lapidaire :
Guillaume suce des bites.
*silence*
*regards ahuris*
*silence toujours*
*silence encore*
*balbutiements gênés*
Décidé à enfoncer le clou et à profiter du silence pour bien leur faire comprendre qu'ils avaient bien entendu et qu'il ne s'agissait pas d'une blague, j'ai repris de plus belle :
Oui oui, Guillaume suce des bites. C'est un pédé. Une pédale. Une tarlouze. Il aime les mecs.
Pour le coup, il ne savaient pas où se mettre. Donc j'ai continué :
Ne soyez pas gênés : je le vis très bien.
Ceci étant dit, à défaut de prendre le serveur, je vais prendre l'addition, mes affaires et retourner au travail. Bonne fin de journée.
En me dirigeant vers le comptoir pour régler ma part, j'ai entendu un "c'est une tapette !", ce qui m'a amusé plus qu'autre chose.
Sorti du restaurant, j'avoue que j'étais assez content de moi. Et de la façon cash de leur dire ( c'est un peu mon style ! ) et aussi de m'être outé : au moins ne viendront-ils pas me faire chier avec leurs histoires d'hétéros et leurs questions alakon.
Ca, c'est le côté funky de la chose.
Le côté moins glam ne m'est apparu qu'après.
Je suis rentré dans cette société grâce à une copine ( qui n'était pas là au déjeuner sus-mentionné ). Elle est gay friendly toussa seulement y'a deux problèmes : primo, elle ne sait pas tenir sa langue et si on lui confie un secret, on peut être sûr que tout Paris en sera informé dans l'heure qui suit. Secondo, c'est une amie de ma famille. Famille avec laquelle je n'entretiens quasiment plus aucun lien ( à part un cousin génial que je vois souvent auprès du quel je suis pas outé, mon frangin et ma frangine ( qui ne m'a pas cru quand je lui ai avoué mon doux secret )). Le hic c'est que mon CO viendra inéluctablement à ses oreilles et que, presque aussi inéluctablement, elle en informera ma famille ( qui aime bien les pédés - surtout morts ). Le problème, mineur en fin de comptes, est là : me faire outer aurpès d'une bande de cons par quelqu'un qui ne sait pas se taire.
Enfin bref, à ce niveau là, on verra quand ça viendra...
Pour finir sur une note plus funky, la blondasse de la compta est venue me parler.
Tu sais, Guillaume, il y a J. de la facturation qui est homo aussi et tu ne lui es pas indifférent. Tu devrais le rencontrer, c'est vraiment un garçon bien.
Outre le fait qu'elle vienne outer son collègue ( même si, pour lui, c'est écrit sur son front ), ce qui m'a fait sourire, c'est que j'ai déjà eu un rencard avec le J. en question. Il m'avait invité chez lui et je comptais bien le prendre comme dessert. Ca s'est fini en plan loose sans que rien ne se passe...
Tout ça pour dire que le coming out, c'est bien funky !
Dernière modification par Shoryuken le ven. août 15, 2008 1:16 am, modifié 2 fois.
-
ex-membre 11
- Messages : 3125
- Inscription : mer. mars 01, 2006 6:12 am
Le truc c'est : est-ce que tu pourrais pas devancer ta copine qui fait tomber sa langue par terre et la lui coller (sa langue) avec de la sader ?
Tu lui expliques que ta famille est pas trop penchée en avant et que du coup ça le ferait VRAIMENT pas et que si quelqu'un le sait dans ta famille tu sauras d'où ça vient.
Non ?
Tu lui expliques que ta famille est pas trop penchée en avant et que du coup ça le ferait VRAIMENT pas et que si quelqu'un le sait dans ta famille tu sauras d'où ça vient.
Non ?
M'outer auprès de ma famille avant qu'elle ne m'aligne serait totalement inutile.
Même si je paierais cher pour voir la tronche de certains apprenant que j'en suis. Ca serait overfunky !
Mais non.
Et pour plusieurs raisons.
La première, pratique : je ne les vois quasiment plus. Et c'est mieux ainsi.
La seconde : je méprise une bonne partie de ma famille ( au sens large : oncles, tantes, cousins... ) et je n'ai aucune envie de leur faire part de ça. Faire un CO est, selon moi, une preuve de respect / d'amour. Mais comme je n'ai pas d'estime / d'amour pour eux je n'en vois pas l'intérêt.
Quand à la collègue-copine, je vais lui dire franco de la boucler sinon ça chiera, ce qui me dérangerait vu que je l'apprécie pas mal.
Enfin, concernant mon cousin - le seul que j'estime dans cette famille de détraqués - j'avoue que le CO m'a brûlé les lèvres à plusieurs reprises. Seulement il n'est ouvert d'esprit dans une certaine mesure ( les clichés : les pédés sont cools, fashion, à l'avant garde, Madonna c'est super et j'en passe ). Même si je sais qu'il le prendrait bien ( ou, au moins, pas mal ), je me dis que finalement, autant ne rien dire et continuer à entretenir les mêmes excellents rapports que j'ai avec lui sans rien changer.
Même si je paierais cher pour voir la tronche de certains apprenant que j'en suis. Ca serait overfunky !
Mais non.
Et pour plusieurs raisons.
La première, pratique : je ne les vois quasiment plus. Et c'est mieux ainsi.
La seconde : je méprise une bonne partie de ma famille ( au sens large : oncles, tantes, cousins... ) et je n'ai aucune envie de leur faire part de ça. Faire un CO est, selon moi, une preuve de respect / d'amour. Mais comme je n'ai pas d'estime / d'amour pour eux je n'en vois pas l'intérêt.
Quand à la collègue-copine, je vais lui dire franco de la boucler sinon ça chiera, ce qui me dérangerait vu que je l'apprécie pas mal.
Enfin, concernant mon cousin - le seul que j'estime dans cette famille de détraqués - j'avoue que le CO m'a brûlé les lèvres à plusieurs reprises. Seulement il n'est ouvert d'esprit dans une certaine mesure ( les clichés : les pédés sont cools, fashion, à l'avant garde, Madonna c'est super et j'en passe ). Même si je sais qu'il le prendrait bien ( ou, au moins, pas mal ), je me dis que finalement, autant ne rien dire et continuer à entretenir les mêmes excellents rapports que j'ai avec lui sans rien changer.
-
ex-membre 11
- Messages : 3125
- Inscription : mer. mars 01, 2006 6:12 am
Arf, je suis troköne ! 
Ou trofatigay.
Lui dire de la boucler est sans nul doute la seule chose à faire.
Mais même en étant convaincant, il y aura toujours le risque qu'elle l'ouvre.
Mais comme je l'ai dit, ça, on verra si/quand ça arrivera.
Et si ça arrive, ben... ça fera une ixième raison de plus à ma famille de ne plus me voir !
Ou trofatigay.
Lui dire de la boucler est sans nul doute la seule chose à faire.
Mais même en étant convaincant, il y aura toujours le risque qu'elle l'ouvre.
Mais comme je l'ai dit, ça, on verra si/quand ça arrivera.
Et si ça arrive, ben... ça fera une ixième raison de plus à ma famille de ne plus me voir !
et pourquoi J c'était un plan loose...
et le plan "je suce des queues", je vais réfléchir, c'est quand même un moment jouissif... seul problème je cours pas trés vite...
après maintenant tu as déclencher les choses, je ne vois comment tu vas les arrêter, dans un temps plus ou moins long ta famille sera au courant, et a mon avis tu en es conscient, et peut être même que tu t'es dit c'est une façon de l'annoncer a tout le monde, peut être laisser les choses se faire et attendre l'orage, ou tu peux repousser au maximum en essayant de la faire taire... mais bon vu l'heure, je vais garder mes conseils pourris pour moi et arrêter là...
et le plan "je suce des queues", je vais réfléchir, c'est quand même un moment jouissif... seul problème je cours pas trés vite...
après maintenant tu as déclencher les choses, je ne vois comment tu vas les arrêter, dans un temps plus ou moins long ta famille sera au courant, et a mon avis tu en es conscient, et peut être même que tu t'es dit c'est une façon de l'annoncer a tout le monde, peut être laisser les choses se faire et attendre l'orage, ou tu peux repousser au maximum en essayant de la faire taire... mais bon vu l'heure, je vais garder mes conseils pourris pour moi et arrêter là...
J. était un plan loose sur bien des points.
Ca mériterait presque de faire un topic loose amoureuse là dessus.
Dans les grandes lignes : J. est un collègue que je trouve attirant ( il n'est ni beau ni moche mais il a une gueule et il me fait envie ) et qui est toujours aux petits soins avec moi. Il est toujours à me demander comment je vais, si tout se passe bien, si je n'ai pas besoin d'aide pour les facturations, si je ne veux pas un kawa...
Au début je me suis dit qu'il était très sympa, très attentionné.
Jusqu'a ce que mes hormones se mettent à travailler et que je me rende compte que j'ai foutrement envie de lui.
Un jour on s'est retrouvé aux lavabos et là, après un de ses regards insistants, j'y ai roulé un patin ! Et il a pas dit non ! \o/
Peu après, il m'invite chez lui et là, c'est la looooose totale : soirée chiante, discussion naze, bouffe infecte. Et quand je vais pour prendre du dessert, il me dit "je couche pas le premier soir. Et j'ai envie de te connaître".
Le hic c'est que : 1/ je ne couche que le premier soir et 2/ j'ai pas envie de faire connaissance ( jveux pas d'un mec, d'une relation toussa ).
J'ai donc pris la porte et suis allé finir ma nuit à binouzer au Falstaf de Bastille avec des potes.
Pour ce qui est du côté CO à la famille malgré moi, je peux t'assurer que c'est carrément pas ça. Je n'ai plus de contacts avec eux - au mieux on s'ignore, au pire on se déteste ou on se fout sur laggle. Donc crois-moi qu'il ne s'agit aucunement d'un CO inavoué.
Ca mériterait presque de faire un topic loose amoureuse là dessus.
Dans les grandes lignes : J. est un collègue que je trouve attirant ( il n'est ni beau ni moche mais il a une gueule et il me fait envie ) et qui est toujours aux petits soins avec moi. Il est toujours à me demander comment je vais, si tout se passe bien, si je n'ai pas besoin d'aide pour les facturations, si je ne veux pas un kawa...
Au début je me suis dit qu'il était très sympa, très attentionné.
Jusqu'a ce que mes hormones se mettent à travailler et que je me rende compte que j'ai foutrement envie de lui.
Un jour on s'est retrouvé aux lavabos et là, après un de ses regards insistants, j'y ai roulé un patin ! Et il a pas dit non ! \o/
Peu après, il m'invite chez lui et là, c'est la looooose totale : soirée chiante, discussion naze, bouffe infecte. Et quand je vais pour prendre du dessert, il me dit "je couche pas le premier soir. Et j'ai envie de te connaître".
Le hic c'est que : 1/ je ne couche que le premier soir et 2/ j'ai pas envie de faire connaissance ( jveux pas d'un mec, d'une relation toussa ).
J'ai donc pris la porte et suis allé finir ma nuit à binouzer au Falstaf de Bastille avec des potes.
Pour ce qui est du côté CO à la famille malgré moi, je peux t'assurer que c'est carrément pas ça. Je n'ai plus de contacts avec eux - au mieux on s'ignore, au pire on se déteste ou on se fout sur laggle. Donc crois-moi qu'il ne s'agit aucunement d'un CO inavoué.
Dernière modification par Shoryuken le ven. août 15, 2008 1:52 am, modifié 1 fois.
dommage !! je me sentais bien dans le rôle du psy qui analyse les gens,
"c'est la faute a votre mère !!", c'était ma deuxième réplique, mais bon avant j'avais quand même le bon sens de toujours coucher avant de rentrer dans l'appartement ca évite que les gens s'installent et ouvre la bouche une 2 ème fois.....
"c'est la faute a votre mère !!", c'était ma deuxième réplique, mais bon avant j'avais quand même le bon sens de toujours coucher avant de rentrer dans l'appartement ca évite que les gens s'installent et ouvre la bouche une 2 ème fois.....
-
ex-membre 11
- Messages : 3125
- Inscription : mer. mars 01, 2006 6:12 am