Nomade a écrit :De toute façon dès qu'on a "religion" et "homosexualité" dans le même paragraphe ça dégénère. Et si on rajoute "politique", alors là, je vais m'acheter des pop corns.
En résumé, certains membres du MCJF sont des homophobes patentés, et le Mouvement ne s'est pas empressé de condamner leur action dans la mesure où celle-ci n'était qu'une interprétation un peu poussée d'un message qu'ils cautionnent.
Tous les chrétiens n'ont pas les mêmes positions.
Euh. Je ne parlais pas des chrétiens. Je parlais du Mouvement en question qui dit sur son site internet être contre les relations hors mariage, contre l'avortement (sauf en cas de viol ou de danger de mort pour la mère) et contre l'euthanasie.thib8500 a écrit :Vos réponses montrent bien une totale méconnaissance de la religion et de la logique.
D'une, Dieu et une grande grande grande majorité des chrétiens ne sont pas contre le sexe hors mariage et l'homosexualité (il y a discours idéal et discours réel).
De deux, ce n'est pas parce qu'un type qui dit faire un acte homophobe au nom d'un mouvement religieux est plus crédible qu'un pompier qui allumerait un feu au nom des pompiers que cela devient vrai.
Des intégristes, il y en a partout, et je crois que je discute avec quelques uns d'entre eux, en ce moment.
Nomade a écrit :En résumé, certains membres du MCJF sont des homophobes patentés, et le Mouvement ne s'est pas empressé de condamner leur action dans la mesure où celle-ci n'était qu'une interprétation un peu poussée d'un message qu'ils cautionnent.
Tous les chrétiens n'ont pas les mêmes positions.
La source: Lettre aux évéques de l'église catholilque sur la pastorale à l'égard des personnes homosexuelles paragraphe 10 alinéa 1Il faut fermement déplorer que les personnes homosexuelles aient été et soient encore l'objet d'expressions malveillantes et de gestes violents. Pareilles réactions, où qu'elles apparaissent, méritent la condamnation des pasteurs de l'Eglise. Elles manifestent un manque de respect pour les autres qui lèse les principes élémentaires sur lesquels se fonde une juste convivialité civile. La dignité propre de toute personne doit toujours être respectée dans les paroles, dans les actions et dans les législations.
