Homophobie : actualités
une rue François Chenu
J'arrive un peu tard... mais je tenais à féliciter SOS Homophobie pour cette belle initiative ; c'est un symbole fort, même si la rue continue de garder son ancien nom...
Le documentaire, très bien fait, sur le drame de François Chenu m'avait bouleversé ; ses parents, ses frères et soeurs faisant preuve d'une dignité et d'un courage exceptionnels !
Merci Iorini, pour cette info.
Bises à vous tous,
Mady
Le documentaire, très bien fait, sur le drame de François Chenu m'avait bouleversé ; ses parents, ses frères et soeurs faisant preuve d'une dignité et d'un courage exceptionnels !
Merci Iorini, pour cette info.
Bises à vous tous,
Mady
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Re: Propos homophobes: Les «réticences» de la police
Oui, qui est encore plus récente donc. Je suis convaincue que certains flics voient tous cela d'un tès mauvaise oeil, maintenant je suis convaincue aussi qu'il n'y a pas eu assez d'information des gardiens de la paix au sujet de cette loi, et à mon avis peu s'en préoccupait. Ce n'est pas péjoratif, mais comme l'homosexuealité n'est sûrement pas leur centre premier d'interet, ils ne se préoccupent pas trop des lois qui sortent dessus, comme nous pouvons le faire.jedi69 a écrit :
La loi existe, il faudrait maintenant qu'elle soit appliquée... En revanche Têtu fait une légère erreur, la loi du 30 décembre concerne les propos publics, ce qui est en question ici c'est le décrès qui en a découlé pour les propos non publics afin de modifier de code pénal (décret du 25 mars).
D'où effectivement l'interet de faire circuler l'information, mais aussi pour les autres lois, c'est important.
agressé parce qu'ils sont homo (source AFP)
ORLEANS (AP) -- Un lycéen et un étudiant respectivement, âgés de 18 et 22 ans, ont été agressés en centre-ville d'Orléans (Loiret), dimanche dernier alors qu'ils étaient assis sur un banc à un arrêt de bus et qu'ils se tenaient la main, a-t-on appris auprès du procureur de la République d'Orléans,
Interpellés mardi, leurs agresseurs présumés, un Français de 20 ans et un Marocain de 22 ans, tous deux connus des services de police, sont passés jeudi après-midi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel pour "violences volontaires aggravées en réunion en raison de l'orientation sexuelle de la victime".
Le président du tribunal, Benoît Laurent, a renvoyé l'affaire au vendredi 12 mai pour qu'elle soit jugée sur le fond. Les deux prévenus ont été maintenus en détention provisoire pour éviter "des troubles à l'ordre public", a-t-il expliqué. Lors de leur confrontation avec les victimes, l'un des agresseurs aurait en effet proféré des menaces, déclarant notamment "les homosexuels méritent des bombes parce qu'ils ne sont pas des hommes".
Interpellés mardi, leurs agresseurs présumés, un Français de 20 ans et un Marocain de 22 ans, tous deux connus des services de police, sont passés jeudi après-midi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel pour "violences volontaires aggravées en réunion en raison de l'orientation sexuelle de la victime".
Le président du tribunal, Benoît Laurent, a renvoyé l'affaire au vendredi 12 mai pour qu'elle soit jugée sur le fond. Les deux prévenus ont été maintenus en détention provisoire pour éviter "des troubles à l'ordre public", a-t-il expliqué. Lors de leur confrontation avec les victimes, l'un des agresseurs aurait en effet proféré des menaces, déclarant notamment "les homosexuels méritent des bombes parce qu'ils ne sont pas des hommes".
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