J'ai une recherche pour savoir si ce topic n'existe pas déjà, et ce n'est pas le cas. Bon voici le sujet : que ferez-vous après avoir quitté la maison de vos parents (ou responsables légaux) ? Pour ceux et celles qui sont déjà partis de chez papa-maman : qu'avez-vous pu faire après avoir quitté le cocon familial ?
Je suis donc concernée par la première question. Voici ce que je pourrai faire après avoir trouvé un logement rien qu'à moi :
-M'habiller comme je veux, en portant 7j/7 jupe et chaussures à talons sans qu'on me dise "maiseeuuuh c'est pour les filles !".
-Jouer de la musique et chanter à un volume un peu plus élevé.
-Me masturber à n'importe quelle heure.
-Me convertir à la "religion" que je convoite, à savoir le satanisme LaVeyen (comme je l'ai dit quelque part avant, je ne brûle pas d'églises et je ne passe pas à tabac des prêtres).
-Avoir tous les piercings que je veux (quoique la plupart des professions l'interdisent).
-Et bien sûr, entamer les démarches (hormones, opération et changement d'état civil) pour devenir la femme que je n'ai jamais pu être !
Et vous ?
Et après avoir quitté le cocon familial... ?
Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
N'ayant pas eu une enfance et une adolescence stricte, vivre seul n'a pas changé énormément de choses pour moi.
Du côté des points positifs :
- Je ne réfléchis plus avant d'accepter de sortir le soir. Quand je vivais avec mon père, ça m'embêtais de sortir trop souvent et de le laisser seul. Maintenant, c'est fiesta à volonté ! Et je peux inviter des gens sans déranger mon père.
- J'ai pas besoin de suivre un rythme régulier, notamment pour les repas (genre le week-end, je peux commencer à cuisiner vers 15h).
Du côté des points négatifs :
- Quand j'ai pas envie de faire le ménage, mon père ne le fait - malheureusement - pas à ma place ! (Ca marche pour la cuisine, les courses, la vaisselle et les poubelles !)
Bon, je sèche là, mais je pense qu'en gros, c'est tout ce qui a vraiment changé pour moi
Du côté des points positifs :
- Je ne réfléchis plus avant d'accepter de sortir le soir. Quand je vivais avec mon père, ça m'embêtais de sortir trop souvent et de le laisser seul. Maintenant, c'est fiesta à volonté ! Et je peux inviter des gens sans déranger mon père.
- J'ai pas besoin de suivre un rythme régulier, notamment pour les repas (genre le week-end, je peux commencer à cuisiner vers 15h).
Du côté des points négatifs :
- Quand j'ai pas envie de faire le ménage, mon père ne le fait - malheureusement - pas à ma place ! (Ca marche pour la cuisine, les courses, la vaisselle et les poubelles !)
Bon, je sèche là, mais je pense qu'en gros, c'est tout ce qui a vraiment changé pour moi
Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
-Continuer à chanter à tue-tête sans qu'on me dise "t'es soualante"
-Continuer à parler seule face à des "moi" invisible et à des "gens que j'aime" invisibles
-Aller sur et-alors (si j'ai internet of course)
-Me sentir encore plus seule que je ne le suis maintenant, ce qui est quand même une expérience à voir, rien que pour son caractère extra-ordinaire !
-Taffer.
-Et super avantage, arrêtez de tout le temps paniquer des comportements que peut avoir ma famille de franc-maçon, entre mon frère qui laisse des message cachés à travers ma chambre. Et arrêter d'avoir peur de me retrouver seule avec mon père, au risque qu'il me drogue et me viol. Ca ça serait le pied, quoique faudra faire la balance avec "se sentir seule" et "subvenir seule à mes besoins", ici c'est plutôt la belle vie pas de problème de papier d'argent, c'est même pas moi qui fait la cuisine... (d'où la peur d'être empoisonner).
Voilà pourquoi je regarde toujours au fond du verre et tout et tout... Et puis maintenant que je ne prend plus de médoc ça va être beaucoup plus dur de me filer discrètement avec des médocs pour me faire perdre conscience !
De toute façon ici, chez mes parents y'a plus de garde-barrière il est dans le ciel le garde-barrière.
Croyez moi, c'est celle qui vient tout droit de l'asile qui est la plus saine d'esprit ici.
-Continuer à parler seule face à des "moi" invisible et à des "gens que j'aime" invisibles
-Aller sur et-alors (si j'ai internet of course)
-Me sentir encore plus seule que je ne le suis maintenant, ce qui est quand même une expérience à voir, rien que pour son caractère extra-ordinaire !
-Taffer.
-Et super avantage, arrêtez de tout le temps paniquer des comportements que peut avoir ma famille de franc-maçon, entre mon frère qui laisse des message cachés à travers ma chambre. Et arrêter d'avoir peur de me retrouver seule avec mon père, au risque qu'il me drogue et me viol. Ca ça serait le pied, quoique faudra faire la balance avec "se sentir seule" et "subvenir seule à mes besoins", ici c'est plutôt la belle vie pas de problème de papier d'argent, c'est même pas moi qui fait la cuisine... (d'où la peur d'être empoisonner).
Voilà pourquoi je regarde toujours au fond du verre et tout et tout... Et puis maintenant que je ne prend plus de médoc ça va être beaucoup plus dur de me filer discrètement avec des médocs pour me faire perdre conscience !
De toute façon ici, chez mes parents y'a plus de garde-barrière il est dans le ciel le garde-barrière.
Croyez moi, c'est celle qui vient tout droit de l'asile qui est la plus saine d'esprit ici.
Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
Mon avis compte a moitié. 
bien quayant quitté papa,maman a 16 ans, j'ai depuis toujours jamais vécu SEULE (ah si a Londres, mais cest pas pareil 
.
Lorsque j'aurais mon propre chez moi.
Je ferais la fête tout les soirs, pendant 1 mois.
Ensuite. Nettoyage intégrale de l'appart.
Les recoins passés au savon, les murs frottés et repeins.
Tout dépoussiérés.
Achat de meubles.
Ensuite. Faire la fiestaaaaaaaaaaaaaa!!!!!
bien quayant quitté papa,maman a 16 ans, j'ai depuis toujours jamais vécu SEULE (ah si a Londres, mais cest pas pareil .Lorsque j'aurais mon propre chez moi.
Je ferais la fête tout les soirs, pendant 1 mois.
Ensuite. Nettoyage intégrale de l'appart.
Les recoins passés au savon, les murs frottés et repeins.
Tout dépoussiérés.
Achat de meubles.
Ensuite. Faire la fiestaaaaaaaaaaaaaa!!!!!
Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
C'est pas vraiment ce que je pourrai faire mais plutôt ce que je n'aurais plus à faire...
- ne plus entendre julien lepers tous les soirs
- ne plus faire semblant que ma mère cuisine bien
- ne plus voir ma grand mère
Mais sinon,
- pouvoir inviter des gens
- choisir la déco
- d'une maniére globale: faire ce que je veux
Bah déjà... c'est pas mal!!
- ne plus entendre julien lepers tous les soirs
- ne plus faire semblant que ma mère cuisine bien
- ne plus voir ma grand mère
Mais sinon,
- pouvoir inviter des gens
- choisir la déco
- d'une maniére globale: faire ce que je veux
Bah déjà... c'est pas mal!!
Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
Je suis concernée au premier plan car je suis partie de chez mon père il y a un mois... Encore en pleine transition. Je repasserais.
Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
J'ai hâte de quitter le "cocon familial" pour m'éloigner le plus possible de l'ambiance qui règne chez moi et pouvoir faire ce que je veux, c'est vrai. D'un autre côté, plus j'y pense et plus je me dis que ça sera plus compliqué que je le pense de vivre seul... Pas par le simple fait d'habiter seul (j'imagine mes amis peupler mon appart' aussi souvent que possible), mais surtout, tout ce que ça implique tant au niveau des courses, de la bouffe, du ménage etc etc.
Bref, si j'arrive un jour à quitter l'appart' de mes parents, la première chose que je ferais serait sûrement faire une grosse fête avec mes amis (enfin, autant que pourrait en contenir mon appartement
).
Après j'entreprends pas de nécessairement changer mes habitudes actuelles, si ce n'est d'inclure toutes les tâches ménagères et autres et, s'il me reste du temps par rapport à mon rythme actuel : dormir ! C'est ce qui me manque le plus, avec tous les trajets que je fais actuellement, faire tout ce que je voudrais faire en une journée m'en prendrait presque 2... (Bon j'en conviens, même en ayant 2h de trajet en moins par jour, ça n'arrangerait pas tout
)
Je profiterais d'avoir mon chez moi pour voir plus souvent mes amis donc, et peut-être pour entreprendre plus sérieusement d'avoir un copain.
Après, comme je l'ai dit : je ne changerais probablement pas énormément mes habitudes. Juste espérer avoir un peu plus d'intimité qu'actuellement
Bref, si j'arrive un jour à quitter l'appart' de mes parents, la première chose que je ferais serait sûrement faire une grosse fête avec mes amis (enfin, autant que pourrait en contenir mon appartement
).Après j'entreprends pas de nécessairement changer mes habitudes actuelles, si ce n'est d'inclure toutes les tâches ménagères et autres et, s'il me reste du temps par rapport à mon rythme actuel : dormir ! C'est ce qui me manque le plus, avec tous les trajets que je fais actuellement, faire tout ce que je voudrais faire en une journée m'en prendrait presque 2... (Bon j'en conviens, même en ayant 2h de trajet en moins par jour, ça n'arrangerait pas tout
)Je profiterais d'avoir mon chez moi pour voir plus souvent mes amis donc, et peut-être pour entreprendre plus sérieusement d'avoir un copain.
Après, comme je l'ai dit : je ne changerais probablement pas énormément mes habitudes. Juste espérer avoir un peu plus d'intimité qu'actuellement
Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
Quitter le cocon familial, un pur bonheur ^^
J'ai pris un appartement à mes 18 ans, et pour moi le seul côté négatif, c'est de devoir faire les courses. Je déteste sa.
Mais à côté de sa, j'aime avoir mon espace perso, mon petit chez-moi à moi, où je fais tout ce que je veux, sans limites
Inviter mes amis, sortir quand je veux, manger ce que je veux et quand je veux, avoir un espace qui me ressemble, être la seule à m'occuper de mes affaires (lessives etc --> je suis à moitié maniac
), choisir de mettre ma musique quand je veux, choisir les programmes tv, bref c'est que du positif ^^
J'ai pris un appartement à mes 18 ans, et pour moi le seul côté négatif, c'est de devoir faire les courses. Je déteste sa.
Mais à côté de sa, j'aime avoir mon espace perso, mon petit chez-moi à moi, où je fais tout ce que je veux, sans limites
Inviter mes amis, sortir quand je veux, manger ce que je veux et quand je veux, avoir un espace qui me ressemble, être la seule à m'occuper de mes affaires (lessives etc --> je suis à moitié maniac
), choisir de mettre ma musique quand je veux, choisir les programmes tv, bref c'est que du positif ^^Re: Et après avoir quitté le cocon familial... ?
Je n'attendais que ça. J'ai commencé par quitter mes parents pour aller chez ma tante. Ensuite, j'ai rejoins Paris pour voler définitivement de mes propres ailes. Enfin, sans celles de mes parents, à 21 ans. Ca a été la bouffée d'oxygène : un salaire énorme : passer de rien à ça fut terrible pour mes finances : plus j'en avais, pire c'était (1500 euros). Plus cette ambiance pesante, plus cette sensation d'étouffement. Je me sentais libre. Mouais, si on veut...
Quand je vivais avec mes parents, je me faisais à bouffer le soir en rentrant des cours et m'enfermais dans ma chambre, pour ne voir personne : il était temps que je parte.
Quand je vivais avec mes parents, je me faisais à bouffer le soir en rentrant des cours et m'enfermais dans ma chambre, pour ne voir personne : il était temps que je parte.