ces parent n'accepte pas notre relation
Re: ces parent n'accepte pas notre relation
Ne pourrait-elle pas trouver un travail proche de votre lieux d'étude pour qu'elle reste à l'internat tout le temps ? Je sais que ce n'est pas facile mais peut être est-ce réalisable, non ? Et vous êtes dans le même établissement ?
Re: ces parent n'accepte pas notre relation
yume oui on est dans le même établissement , dans la même classe et dans la même chambre . Non elle peux pas car quand nous on y est pas y'a d'autre classe qui y sont . Oui c'est très difficile cette situation
Re: ces parent n'accepte pas notre relation
Bonjour Mégane,
J'ai connu pas mal de problèmes avec ma famille, qui n'étaient pas liés à l'homophobie, mais à d'autres petits piques qui au final rendaient toute entente impossible. Je suis partie vivre ailleurs alors que je n'avais que seize ans, j'ai emménagé comme une grande. Bien entendu, j'ai eu la chance d'aller dans une grande ville et donc de pouvoir me débrouiller avec les transports en commun, et d'avoir quelqu'un pour financer un logement. Je ne suis pas sûr qu'il y ai un milliard de solutions. Il faudrait qu'elle envisage un maximum de possibilités, mêmes farfelues, qu'elle s'engagerait à tenir dans le cas où elle quitterai le logement familiale. (Je ne sais pas s'il y a la proximité d'une grande ville proche de l'internet ou du lieu de travail, par exemple.) Avec des bus, des trains... Sinon, comme Charlie à dit, il ne faut pas avoir peur et il faut se lancer dans les diverses associations (si tu n'en trouves pas près de chez toi, je peux faire des recherches et t'en fournir, préviens moi par mp.) voir les assistantes sociales et infirmières scolaire de votre établissements (mon infirmière scolaire c'est révélée être très compréhensive alors qu'au départ je ne l'appréciais pas, et à l'heure actuelle nous nous côtoyons toujours
)
Dans le cas où aucune de ces propositions ne sont envisageables, elle pourrait toujours venir vivre chez toi sans que ses parents ne puisse faire quoi que ce soit. Effectivement, malgré le fait qu'elle soit mineur, on atteint sa majorité sexuelle à 15 ans, donc le droit de décider avec qui coucher et qui aimer. (même si bien entendu, il est toujours préférable d'être majeur pour sortir avec quelqu'un de majeur, mais je suis très très mal placée pour dire ça.) Aussi, ses parents ont un discours discriminatoire et un 'harcèlement psychologique'. Et puisque leur fille ne serait pas en fugue, il ne risque pas d'y avoir de problèmes. Bien entendu, si quelqu'un d'un peu plus officiel pouvait être derrière tout ça (Comme une assistante sociale), se serait préférable.
A-t-elle déjà essayer d'en discuter plus avec eux? Dans le sens, "imposer" ses préférences? Ou préfère t elle rester passive face à ce que lui disent ses parents?
J'ai connu pas mal de problèmes avec ma famille, qui n'étaient pas liés à l'homophobie, mais à d'autres petits piques qui au final rendaient toute entente impossible. Je suis partie vivre ailleurs alors que je n'avais que seize ans, j'ai emménagé comme une grande. Bien entendu, j'ai eu la chance d'aller dans une grande ville et donc de pouvoir me débrouiller avec les transports en commun, et d'avoir quelqu'un pour financer un logement. Je ne suis pas sûr qu'il y ai un milliard de solutions. Il faudrait qu'elle envisage un maximum de possibilités, mêmes farfelues, qu'elle s'engagerait à tenir dans le cas où elle quitterai le logement familiale. (Je ne sais pas s'il y a la proximité d'une grande ville proche de l'internet ou du lieu de travail, par exemple.) Avec des bus, des trains... Sinon, comme Charlie à dit, il ne faut pas avoir peur et il faut se lancer dans les diverses associations (si tu n'en trouves pas près de chez toi, je peux faire des recherches et t'en fournir, préviens moi par mp.) voir les assistantes sociales et infirmières scolaire de votre établissements (mon infirmière scolaire c'est révélée être très compréhensive alors qu'au départ je ne l'appréciais pas, et à l'heure actuelle nous nous côtoyons toujours
)Dans le cas où aucune de ces propositions ne sont envisageables, elle pourrait toujours venir vivre chez toi sans que ses parents ne puisse faire quoi que ce soit. Effectivement, malgré le fait qu'elle soit mineur, on atteint sa majorité sexuelle à 15 ans, donc le droit de décider avec qui coucher et qui aimer. (même si bien entendu, il est toujours préférable d'être majeur pour sortir avec quelqu'un de majeur, mais je suis très très mal placée pour dire ça.) Aussi, ses parents ont un discours discriminatoire et un 'harcèlement psychologique'. Et puisque leur fille ne serait pas en fugue, il ne risque pas d'y avoir de problèmes. Bien entendu, si quelqu'un d'un peu plus officiel pouvait être derrière tout ça (Comme une assistante sociale), se serait préférable.
A-t-elle déjà essayer d'en discuter plus avec eux? Dans le sens, "imposer" ses préférences? Ou préfère t elle rester passive face à ce que lui disent ses parents?
Re: ces parent n'accepte pas notre relation
Je trouve les conseils de Doo très justes. Par contre même si la majorité sexuelle est à 15 ans j'ai bien peur que "vivre avec la personne avec qui l'on couche" ne soit pas possible sans l'accord des parents avant 18 ans. Par contre elle peut se faire émanciper ou même "juste" voir l'assistante social et obtenir de ne plus vivre chez eux, ma mère a était dans ce cas étant jeune, et c'était soit elle vivait ailleurs durant un ou deux ans soit elle se faisait placer en famille d'accueil. Je pense donc que c'est une solution envisageable. Elle pourrait comme ça peut-être avoir la possibilité de vivre chez toi.
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chtitdemone
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Re: ces parent n'accepte pas notre relation
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Re: ces parent n'accepte pas notre relation
Apparemment c'est toujours 15 ans, avec des restrictions : http://www.jeunesviolencesecoute.fr/esp ... uelle.htmlchtitdemone a écrit :
OFF-Topic :
Juste comme ça, mes cours de droit de la famille sont loin mais il me semble que la majorité sexuelle n'est plus à 15 ans, mais à 18 ans depuis quelques années.
Et les parents ont effectivement le droit de poser des limites à la vie sexuelle de leur enfant mineur.
Re: ces parent n'accepte pas notre relation
Je ne veux pas minimiser ce que vit ta copine, et je comprend bien que ça doit être très dur pour elle.
Mais, deux choses :
Si je comprend bien, elle ne vie qu'à mi-temps chez ses parent (2 semaines par mois à l'internat) et n'a plus que 8 mois avant d'être majeur. Ne serait-il pas envisageable de passer les 16 semaines qui lui restent à vivre en compagnie de ses parents à les éviter le plus possible, en rentrant directement dans sa chambre après le travail et en s'arrangeant pour ne pas les croiser, et, en leur compagnie, parler le moins possible pour éviter tout risque de conflit ? Ce n'est pas les meilleurs conditions de vie qui soient, certes, mais 16 semaines, au final, c'est vraiment pas grand chose à l'échelle d'une vie.
Deuxièmement : tu dis qu'elle doit rester chez ses parents parce que c'est eux qui l'amènent au travail. Son travail n'est pas accessible en vélo ou en scooter ? Il n'y a pas de transport en commun qui peut y aller depuis l'internat ? C'est au milieu de la cambrousse ? Si elle pouvait trouver moyen d'être autonome dans ses transports (quitte à prendre 1h pour faire un trajet au lieu de 10 minutes, parfois il y a des sacrifices à faire pour l'autonomie), peut-être trouverait-elle plus aisément une solution, comme, par exemple, négocier pour rester tout le temps à l'internat.
Et dernière petite chose tout à fait hors contexte : s'il te plait, relis-toi un chouille avant de poster ton orthographe et ta grammaire m'arrachent l'œil là.
Mais, deux choses :
Si je comprend bien, elle ne vie qu'à mi-temps chez ses parent (2 semaines par mois à l'internat) et n'a plus que 8 mois avant d'être majeur. Ne serait-il pas envisageable de passer les 16 semaines qui lui restent à vivre en compagnie de ses parents à les éviter le plus possible, en rentrant directement dans sa chambre après le travail et en s'arrangeant pour ne pas les croiser, et, en leur compagnie, parler le moins possible pour éviter tout risque de conflit ? Ce n'est pas les meilleurs conditions de vie qui soient, certes, mais 16 semaines, au final, c'est vraiment pas grand chose à l'échelle d'une vie.
Deuxièmement : tu dis qu'elle doit rester chez ses parents parce que c'est eux qui l'amènent au travail. Son travail n'est pas accessible en vélo ou en scooter ? Il n'y a pas de transport en commun qui peut y aller depuis l'internat ? C'est au milieu de la cambrousse ? Si elle pouvait trouver moyen d'être autonome dans ses transports (quitte à prendre 1h pour faire un trajet au lieu de 10 minutes, parfois il y a des sacrifices à faire pour l'autonomie), peut-être trouverait-elle plus aisément une solution, comme, par exemple, négocier pour rester tout le temps à l'internat.
Et dernière petite chose tout à fait hors contexte : s'il te plait, relis-toi un chouille avant de poster ton orthographe et ta grammaire m'arrachent l'œil là.
Re: ces parent n'accepte pas notre relation
Salut Mégane ! 
Il y a quelques années, j'étais dans une position assez similaire à la tienne. La mère -puis les parents- de ma copine n'acceptait pas du tout notre relation... Ses propos n'étaient sûrement pas aussi durs que ceux de la mère de ta copine (il n'a jamais été question de regretter de l'avoir pour fille), mais ils étaient très forts et très durs quand même, et ma copine le vivait plus que mal... Elle avait 16 ans à l'époque, on fréquentait le même lycée, mais c'était très dur de se voir en dehors... Il n'était pas non plus question de déménager (avec quel argent ?), et elle ne souhaitait pas rompre avec sa famille, aussi dur que cela fut.
Je la voyais complètement déprimée, elle redoutait de rentrer chez elle tant la pression, les mots et les regards avaient une grande influence sur elle. Alors un jour, elle a dit à sa mère qu'on avait rompu, qu'elle avait gagné, elle qui voulait à tout prix nous séparer. C'était faux bien sûr, mais c'était le seul moyen qu'elle avait trouvé pour avoir la paix, pour respirer un peu... Sa mère est revenue "normale" avec elle, le climat familial s'est un peu apaisé. Nous, on a continué notre histoire, en se cachant un petit peu plus, mais ma copine semblait mieux dans sa peau !
Seulement l'avenir était incertain pour nous, j'allais quitter le lycée avant elle, l'été s'approchait et ça allait être difficile de se voir en cachette... Alors la pression est revenue, et un jour elle a été trop forte : ma copine est allée voir sa mère, en larmes, en lui disant qu'elle ne pouvait pas vivre sans moi, qu'elle n'allait pas pouvoir rester plus de temps loin de moi... Sa mère a fait semblant de comprendre et lui a dit, chose extraordinaire venant de sa part à l'époque, que si c'était ce qui la rendrait heureuse, alors elle ne s'y opposerait plus. La semaine suivante, ma copine est venue 1 semaine en vacances chez mes parents !
Cette histoire, elle a 6 ans. Maintenant, ma copine et moi vivons ensemble, mes beaux-parents viennent manger chez nous de temps en temps, j'y suis aussi invitée, et on se fait même des cadeaux à Noël !
Tout ça pour dire qu'il ne faut pas que vous perdiez espoir, et que parfois, les mensonges et les cachotteries permettent d'attendre d'être un peu plus solides pour supporter tout ça...!
Bon courage en tout cas !
Il y a quelques années, j'étais dans une position assez similaire à la tienne. La mère -puis les parents- de ma copine n'acceptait pas du tout notre relation... Ses propos n'étaient sûrement pas aussi durs que ceux de la mère de ta copine (il n'a jamais été question de regretter de l'avoir pour fille), mais ils étaient très forts et très durs quand même, et ma copine le vivait plus que mal... Elle avait 16 ans à l'époque, on fréquentait le même lycée, mais c'était très dur de se voir en dehors... Il n'était pas non plus question de déménager (avec quel argent ?), et elle ne souhaitait pas rompre avec sa famille, aussi dur que cela fut.
Je la voyais complètement déprimée, elle redoutait de rentrer chez elle tant la pression, les mots et les regards avaient une grande influence sur elle. Alors un jour, elle a dit à sa mère qu'on avait rompu, qu'elle avait gagné, elle qui voulait à tout prix nous séparer. C'était faux bien sûr, mais c'était le seul moyen qu'elle avait trouvé pour avoir la paix, pour respirer un peu... Sa mère est revenue "normale" avec elle, le climat familial s'est un peu apaisé. Nous, on a continué notre histoire, en se cachant un petit peu plus, mais ma copine semblait mieux dans sa peau !
Seulement l'avenir était incertain pour nous, j'allais quitter le lycée avant elle, l'été s'approchait et ça allait être difficile de se voir en cachette... Alors la pression est revenue, et un jour elle a été trop forte : ma copine est allée voir sa mère, en larmes, en lui disant qu'elle ne pouvait pas vivre sans moi, qu'elle n'allait pas pouvoir rester plus de temps loin de moi... Sa mère a fait semblant de comprendre et lui a dit, chose extraordinaire venant de sa part à l'époque, que si c'était ce qui la rendrait heureuse, alors elle ne s'y opposerait plus. La semaine suivante, ma copine est venue 1 semaine en vacances chez mes parents !
Cette histoire, elle a 6 ans. Maintenant, ma copine et moi vivons ensemble, mes beaux-parents viennent manger chez nous de temps en temps, j'y suis aussi invitée, et on se fait même des cadeaux à Noël !
Tout ça pour dire qu'il ne faut pas que vous perdiez espoir, et que parfois, les mensonges et les cachotteries permettent d'attendre d'être un peu plus solides pour supporter tout ça...!
Bon courage en tout cas !