je vois icic l'image mme e de l'homo individuum. Plutôt que s'interroger sur l'individualité et donc la liberté, ne pourrait-on pas rasionner en terme de l'homme en tant qu'invidu isolé peut-il esperer survivre... Question cruelle et d'actualité dans nos société à la fois sio populaeuse mais en même temps ou chacun est à soit même sa propre fin.Deckard2501 a écrit :Je reviens sur cette phrase : « Aimer, c'est s'attacher, ne plus pouvoir se passer de l'autre, tout partager aussi. »
Aimer, c’est s’attacher : Oui exact : sexuellement, passionnellement ou rationnellement. Voir l’ensemble.
Ne plus pouvoir se passer de l’autre : Donc une relation symbiotique. Cependant la symbiose n’est pas une association à bénéfices réciproques.
Tout partager aussi : le partage c’est la division mais je pense que tu parle plus de l’utilisation de ce que tu possèdes : biens, sentiments, savoir … mais alors partager un sentiment d’angoisse est t’il un acte d’amour ou d’égoïsme ? Tout partager c’est aussi renoncer à sa propre individualité, ce que l’autre à aimé !
Nous sommes des êtres sensoriels, j’entends par là que détaché le physique du mental n’est pas concevable. Je rougis sur un mot gentil. Ajoute de la parole à une atmosphère pesante. Les canons hétérosexuel sont des poupées, ils sont l’image idyllique de la projection humaine, ils sont inhumain, fabriqué. Etre séparé des autres est douloureux, souffrir de la multitude aussi. Etre absorber par fusion, renoncer a son individualité ne l’est pas moins.
je m'interroge donc...
L'hompme n'existe que par le conatct à l'autre certs mais n'est-il pas que la moitié de lui meme lorsuq'il ne vit que pour lui ?
On peut se poser la question...
Concevoir une vie à deux, c'est aussi pour certains un asservissementy de sa liberté mais n'est ce pas aussi une façon de partager le meilleur et ma foi le pire mais la vie est tellement plus heureuse à deux que tout seul .
