
Elle a fait un bébé toute seule
Je pense que c'est pas trop du côté de l'enfant que ça bloquerait (et encore pour une famille monoparentale, ça va encore, les gens vont toujours trouver une excuse au parent 'restant' sur le pourquoi il est tout seul) mais c'est plutôt du côté des camarades de classe voire des parents d'élèves (on a beau dire, l'homosexualité n'est toujours pas acceptée dans notre 'si belle' société)
A la maternelle, les enfants sont plutôt méchant gratuitement, le fait qu'un de leur camarade ai 2 mamans ou 2 papas les fera rire et là, faudra s'attendre à un: 'pourquoi j'ai pas un papa et une maman comme Léo?' ou un truc dans le genre. Et puis les messes basses sur votre dos. Et encore vous pourrez l'accepter mais quand l'enfant sera plus grand, ça risque de lui 'retomber' dessus et là, surtout si c'est en pleine crise d'adolescence, il risque de vous en vouloir... Parce qu'à cette âge là, on supporte mal les critique...
enfin voilà. J'avoue que j'aimerais avoir un enfant un jour... Mais je voudrais que les mentalité changent d'abord... Donc c'est pas demain la veille..
A la maternelle, les enfants sont plutôt méchant gratuitement, le fait qu'un de leur camarade ai 2 mamans ou 2 papas les fera rire et là, faudra s'attendre à un: 'pourquoi j'ai pas un papa et une maman comme Léo?' ou un truc dans le genre. Et puis les messes basses sur votre dos. Et encore vous pourrez l'accepter mais quand l'enfant sera plus grand, ça risque de lui 'retomber' dessus et là, surtout si c'est en pleine crise d'adolescence, il risque de vous en vouloir... Parce qu'à cette âge là, on supporte mal les critique...
enfin voilà. J'avoue que j'aimerais avoir un enfant un jour... Mais je voudrais que les mentalité changent d'abord... Donc c'est pas demain la veille..
si on prend en compte les moqueries sottes, les "pas blancs" doivent aussi éviter d'avoir des gosses... perso, je ne compte pas les insultes gratuites que j'ai eu étant en CP à Paris (en banlieue avant cela la majorité était "colorée" et le directeur de l'école franchement noir donc pas de souci de ce coté là), puis les délires qd mes parents ont divorcé... car ils étaient parmis les 1ers ! ado une amie m'a raconté que sa mère lui a fait tout un speech sur la persécution envers les juifs pour la dissuader d'avoir un petit copain juif et donc, peut être un jour, des enfants persécutés...
maintenant des amis dont le couple va moyennement se font demander par leurs gosses qd est ce qu'ils divorcent qu'ils aient la paix et qu'ils soient séparés comme tous le monde... et il est passible de prison d'insulter qqun au motif de sa race etc.
invoquer les moqueries envers les supposés déviants pour leur refuser un droit humain, n'est souvent qu'une forme larvée de racisme, d'homophohie et autres "ismes", le serpent qui se mord la queue et rien d'autre... et en prendre compte, qd on ne l'est pas, c'est faire le jeu des intolérants et des haineux
bref, la transparence et l'absence de rancune par rapport son enfant me parait essentielle, qu'on soit homo avec insé ou coparentalité, hétéros séparés, noir, arabe, juif, jaune, etc... on est ce qu'on est, c'est comme ça et si les autres n'aiment pas c tant pis, même si il faut les prendre en compte car "les cons ça ose tout, c'est d'ailleurs à cela qu'on les reconnait" mais "sans peur et sans reproche"
et j'ajouterais qqchose que m'a répondu une de mes connaissance espagnoles, qd je lui ai demandé son opinion sur l'ouverture du mariage et de la parentalité aux homos dans son pays qd c'est arrivé...
la réponse fut: tu sais il n'y a plus que les homos à vouloir se marier et avoir des gosses alors qu'on leur foute la paix et qu'ils le fassent
maintenant des amis dont le couple va moyennement se font demander par leurs gosses qd est ce qu'ils divorcent qu'ils aient la paix et qu'ils soient séparés comme tous le monde... et il est passible de prison d'insulter qqun au motif de sa race etc.
invoquer les moqueries envers les supposés déviants pour leur refuser un droit humain, n'est souvent qu'une forme larvée de racisme, d'homophohie et autres "ismes", le serpent qui se mord la queue et rien d'autre... et en prendre compte, qd on ne l'est pas, c'est faire le jeu des intolérants et des haineux
bref, la transparence et l'absence de rancune par rapport son enfant me parait essentielle, qu'on soit homo avec insé ou coparentalité, hétéros séparés, noir, arabe, juif, jaune, etc... on est ce qu'on est, c'est comme ça et si les autres n'aiment pas c tant pis, même si il faut les prendre en compte car "les cons ça ose tout, c'est d'ailleurs à cela qu'on les reconnait" mais "sans peur et sans reproche"

et j'ajouterais qqchose que m'a répondu une de mes connaissance espagnoles, qd je lui ai demandé son opinion sur l'ouverture du mariage et de la parentalité aux homos dans son pays qd c'est arrivé...
la réponse fut: tu sais il n'y a plus que les homos à vouloir se marier et avoir des gosses alors qu'on leur foute la paix et qu'ils le fassent

+ 10 et ....tu sais il n'y a plus que les homos à vouloir se marier et avoir des gosses alors qu'on leur foute la paix et qu'ils le fassent !
Excellent...
Je rencontre parfois des gens d'une hypocrisie folle, (nous le sommes tous quelques fois dans notre vie, mais y'en a qui en ont fait une activité à plein temps...
) on sait pertinemment qu'une quantité énorme d'homosexuel(le)s (et non comptabilisée volontairement dans les statistiques
) sont unis ou mariés et même pour certains à l'église, certes, ils ne le sont pas toujours selon leur possibilités, leur gout du moment et pays avec un autre homo...
et ils ont des enfants parfois même de nombreux enfants, ils ont un travail et même une religion...
hallucinant non, pourtant ils sont là tous... comme les autres ! Or ces gens sont "homo" sur le fond...c'est indéniable, certains les diront "bi" ou je ne sais de quelle autre "espèce rare" car ces personnes si "vertueuses ou s'estimant plus blanc que blanc" comme disait Coluche; plus homo que le voisin, tout comme certains osent s'estimer plus hétéro, plus juif ou catholique, plus père ou mère, meilleurs éducateurs ou plus aimants que d'autres....; visiblement ces gens concourent toute leur vie pour la meilleure place...? La meilleure place de quoi au fait ???
mystère...?
Nous sommes tous un jour le "persécuté" ou la "victime" de quelqu'un et le "pas net" d'un autre... doit-on s'empêcher de vivre pour cela... Je ne le crois pas... Néanmoins cela ne nous donne pas tous les droits... celui de vivre en accord avec soi-même surement, celui de trouver l'accord avec d'autres aussi... Plaire à l'autre je pense que c'est d'abord et avant tout rechercher une communion avec soi-même et pourquoi pas inversement...?
Nos enfants qu'ils soient conçus comme la nature là proposée ou pas pourront toujours nous reprocher un jour nos choix, même si on déploie des montagnes de dévouement et d'amour nous sommes succeptibles toujours d'être à côté de ce qu'ils ont réellement besoin car nous ne sommes pas dans leurs baskets; ils peuvent ne pas les comprendre comme moi, je n'ai pas forcément toutes les raisons de mes parents et ma mère est incapable de comprendre les miennes...
Il nous est parfois arrivé de penser mais pourquoi m'ont-ils projeté et conçu...
? Néanmoins si on se sent aimer et reconnus par eux c'est déjà ENORME... et je pense que pour beaucoup consciemment ou non cet amour comme cette reconnaissance n'a pas forcément besoin d'être affichée tout comme elle n'a pas à être placardée...pour d'autres oui, mais simplement émise et reçue...c'est un minimum vital... Une mère ou un père peut rester seul(e) ou non à nous élever, le monde est plein de gens qui nous reconnaitrons comme leur, parent, ami, amant, collègue,... et bien qu'issue d'une famille dites "de sang" très relative, on peut parfaitement créer une famille autre dans laquelle on se reconnaitra et se prolongera quelqu'en soit la manière... l'amour ça s'imprime partout et je crois même que c'est indélébile...
mais ça peut pour autant ne pas suffire à tous... 
En outre si certaines personnes ne veulent pas s'unir ou avoir d'enfant c'est aussi leur droit... tout comme de changer d'avis en court de vie... ou jamais; rien n'est réellement statique en cette univers... on peut créer et se prolonger de bien des façons...

Je rencontre parfois des gens d'une hypocrisie folle, (nous le sommes tous quelques fois dans notre vie, mais y'en a qui en ont fait une activité à plein temps...





Nous sommes tous un jour le "persécuté" ou la "victime" de quelqu'un et le "pas net" d'un autre... doit-on s'empêcher de vivre pour cela... Je ne le crois pas... Néanmoins cela ne nous donne pas tous les droits... celui de vivre en accord avec soi-même surement, celui de trouver l'accord avec d'autres aussi... Plaire à l'autre je pense que c'est d'abord et avant tout rechercher une communion avec soi-même et pourquoi pas inversement...?
Nos enfants qu'ils soient conçus comme la nature là proposée ou pas pourront toujours nous reprocher un jour nos choix, même si on déploie des montagnes de dévouement et d'amour nous sommes succeptibles toujours d'être à côté de ce qu'ils ont réellement besoin car nous ne sommes pas dans leurs baskets; ils peuvent ne pas les comprendre comme moi, je n'ai pas forcément toutes les raisons de mes parents et ma mère est incapable de comprendre les miennes...
Il nous est parfois arrivé de penser mais pourquoi m'ont-ils projeté et conçu...



En outre si certaines personnes ne veulent pas s'unir ou avoir d'enfant c'est aussi leur droit... tout comme de changer d'avis en court de vie... ou jamais; rien n'est réellement statique en cette univers... on peut créer et se prolonger de bien des façons...

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L'essentiel c'est l'amour et surtout surtout ne pas mentir comme vous l'avez assez bien dit
Moi j'ai fait un enfant "toute seule" à l'âge de 16 ans. Un enfant que j'ai désiré. Ensuite elle a eu un autre père que le père biologique (qui ne s'en est jamais occupé et qu'elle a rencontré 2 ou 3 fois mais qu'elle ne veut pas revoir pour le moment), puis nous nous sommes séparés, vu que je me suis découverte homo. Elle considère cet homme là comme son père. Elle connait toute son histoire, la mienne donc, et est très équilibrée cette jeune fille de presque 15 ans... évidemment, comme toutes les adoléchiantes elle a son lot de mal être (cheveux qui frisent, t'as vu mes fesses, on mprend pour une intéllo blablabla)
Vivre seule avec sa mère, ne pas connaître son père, avoir des parents séparés, c'est monnaie courante dans les cours d'école, et parfois dans certains secteurs c'est la norme... Alors voilà, avoir un enfant toute seule, ou avec un homme, ou avec une autre femme, et bien ma foi!!! Ce n'est pas un drame!
Moi j'ai fait un enfant "toute seule" à l'âge de 16 ans. Un enfant que j'ai désiré. Ensuite elle a eu un autre père que le père biologique (qui ne s'en est jamais occupé et qu'elle a rencontré 2 ou 3 fois mais qu'elle ne veut pas revoir pour le moment), puis nous nous sommes séparés, vu que je me suis découverte homo. Elle considère cet homme là comme son père. Elle connait toute son histoire, la mienne donc, et est très équilibrée cette jeune fille de presque 15 ans... évidemment, comme toutes les adoléchiantes elle a son lot de mal être (cheveux qui frisent, t'as vu mes fesses, on mprend pour une intéllo blablabla)
Vivre seule avec sa mère, ne pas connaître son père, avoir des parents séparés, c'est monnaie courante dans les cours d'école, et parfois dans certains secteurs c'est la norme... Alors voilà, avoir un enfant toute seule, ou avec un homme, ou avec une autre femme, et bien ma foi!!! Ce n'est pas un drame!
Tout ce qui est dit dans ce topic me paraît judicieux. Peu importe pour moi les géniteurs, ce sont LES PARENTS, ceux qui prennent en charge l'enfant, qui l'accompagnent, lui donnent de quoi se construire qui est important ! Qu'ils soient homos hétéros bi, la belle affaire !
Mais je dirais qu'il faut quand-même éviter le "tout seul". L'enfant a besoin de référents, si il a à sa disposition plusieurs référents, il n'en devient pas l'esclave : il peut mettre en balance des comportements ou des avis différents et se construire avec. Que les référents soient de personnes du même sexe par contre n'appauvrit pas forcément l'éducation. (Et puis, il y a d'autres configurations : La mère et la grand-mère qui s'occupent de l'enfant, le frère et l'oncle.....)
Mais je dirais qu'il faut quand-même éviter le "tout seul". L'enfant a besoin de référents, si il a à sa disposition plusieurs référents, il n'en devient pas l'esclave : il peut mettre en balance des comportements ou des avis différents et se construire avec. Que les référents soient de personnes du même sexe par contre n'appauvrit pas forcément l'éducation. (Et puis, il y a d'autres configurations : La mère et la grand-mère qui s'occupent de l'enfant, le frère et l'oncle.....)
J'aimerais revenir sur le sujet de l'insémination qui s'il arrange les futurs parents, il n'arrange, bien souvent, pas, les enfants... en effet ceux qui ne connaissent pas leur ou un des parents savent de quoi je parle quand j'évoque le vide indescriptible j'ai personnellement beaucoup travaillé avec mes consultants astro sur ce problème... et je me permet de vous proposé reflexion... sur la quête de quelque chose qu'on ignore. Vécu comme un vide, comme un manque, il est une insatisfaction, un désir inassouvi. Elle est attirance mais également comme un puits sans fond car inaccessible. Elle comporte une énergie qui réveille l'obscur ou la violence. Ressentie comme un manque tant que l'être n'a pas compris ce qu'il doit dépasser ou le deuil qu'il doit effectuer. Il peut demeurer « le point noir » de toute une vie. Dans ce cas, il engendre des souffrances infernales car seule la personne peut dépasser cela. Il arrive également que l'on bute sur ce problème toute la vie sans réussir à le résoudre.
Ce point noir s’est imposé à moi comme un manque et non une absence, car l’absence suppose que la chose momentanément non perceptible est eue une réalité aisée à imaginer ! Or là... rien !
Ils sont nés sous insémination artificielle et se battent aujourd'hui pour le droit à connaître leurs origines. Plusieurs enfants, parents et donneurs se sont regroupés dans une association appelée Procréation Médicalement Anonyme (PMA) pour réclamer la levée de l'anonymat qui entoure les dons de sperme.
C'est le cas d'Arthur Kermalvezen, 24 ans, né après une insémination artificielle avec sperme de donneur. Cet étudiant en psychologie publie aujourd'hui le livre "Né de spermatazoïde inconnu" aux éditions Presses de la Renaissance. Il y raconte les troubles des enfants nés grâce à des dons de gamètes (sperme et ovocytes). Il milite pour une révision de la loi bioéthique et demande qu'à partir de l'âge de 18 ans, les enfants aient le choix de consulter ou non leur dossier. En effet, s'il y a « du bon dans l'anonymat », il ne faut pas qu'il devienne un « anonymat à perpétuité ».
Lire la suite
Il faut donc bien réflechir avant de jouer avec la nature, et la vie; je pense qu'il est de nombreux couples garçons qui pourraient vraiment s'arranger confortablement avec de nombreux couples filles et qu'ils ne feraient guère pire que les parents dits normaux même en cas de possibles conflits d'intérets... peut-être y'a t-il une voie en ce sens ?
Ce point noir s’est imposé à moi comme un manque et non une absence, car l’absence suppose que la chose momentanément non perceptible est eue une réalité aisée à imaginer ! Or là... rien !

Ils sont nés sous insémination artificielle et se battent aujourd'hui pour le droit à connaître leurs origines. Plusieurs enfants, parents et donneurs se sont regroupés dans une association appelée Procréation Médicalement Anonyme (PMA) pour réclamer la levée de l'anonymat qui entoure les dons de sperme.
C'est le cas d'Arthur Kermalvezen, 24 ans, né après une insémination artificielle avec sperme de donneur. Cet étudiant en psychologie publie aujourd'hui le livre "Né de spermatazoïde inconnu" aux éditions Presses de la Renaissance. Il y raconte les troubles des enfants nés grâce à des dons de gamètes (sperme et ovocytes). Il milite pour une révision de la loi bioéthique et demande qu'à partir de l'âge de 18 ans, les enfants aient le choix de consulter ou non leur dossier. En effet, s'il y a « du bon dans l'anonymat », il ne faut pas qu'il devienne un « anonymat à perpétuité ».
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Il faut donc bien réflechir avant de jouer avec la nature, et la vie; je pense qu'il est de nombreux couples garçons qui pourraient vraiment s'arranger confortablement avec de nombreux couples filles et qu'ils ne feraient guère pire que les parents dits normaux même en cas de possibles conflits d'intérets... peut-être y'a t-il une voie en ce sens ?
