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J'ai répondu une acquisition inconsciente.
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L'erreur serait justement de confondre psychiatre et psychanalyste.Indigo a écrit :
OFF-Topic :
Juste comme ça - tu vas voir un psychiatre quand tu as une gastro ? C'est assez original.
La génétique étant une discipline récente (et la génétique des comportements ont en parle même pas), le fait que les scientifiques les plus brillants se heurtent à la question ne me paraît pas être la bonne voie pour réfuter l'intervention de la génétique dans l'homosexualité. Si dans 50 ans, on en est toujours au même point sur le sujet, ça pourra peut être être un indice mais là, je ne suis pas sûre qu'il soit valable. :sPacô a écrit :Je ne crois pas en la génétique pour ce qui est de l'homosexualité.
Les plus brillants scientifiques se heurtent à la question (et ont aussi peut être de meilleurs problèmes à solutionner avant celui-ci ?).
En fait, il me semble surtout que les plus brillants scientifiques réfutent en bloc l'hypothèse de la génétique.Zünisch a écrit : La génétique étant une discipline récente (et la génétique des comportements ont en parle même pas), le fait que les scientifiques les plus brillants se heurtent à la question ne me paraît pas être la bonne voie pour réfuter l'intervention de la génétique dans l'homosexualité. Si dans 50 ans, on en est toujours au même point sur le sujet, ça pourra peut être être un indice mais là, je ne suis pas sûre qu'il soit valable. :s
Si ça c'est pas de la contradictionPacô a écrit :Car oui, Indogo, tu me parles de gènes qui s'expriment au niveau cellulaire... incompréhension biologique ? Les gènes ne s'expriment qu'au niveau moléculaire, et c'est ce qui a des répercussions sur le niveau cellulaire puis macroscopique.
Toutefois, on ne peut pas dire : "En effet, tous les gènes ne s'expriment pas partout ni tout le temps. Que ce soit au niveau purement cellulaire, ou au niveau de l'individu."
Le gène s'exprime au niveau cellulaire, point barre.
Moui. Et depuis quand l'homosexualité d'un individu le caractérise dans sa totalité? Tu n'es pas sans savoir qu'il suffit d'une variation allèlique pour modifier un phénotype particulier. Dans la mesure où l'attirance sexuelle se réduirait donc à cela, un phénotype isolé, on peut supposer qu'elle dérive d'un seul gène, non?Un seul gène en lui-même, on s'en est rendu compte plus tard, ne peut pas être la cause immédiate de l'individu entier.
Oui, enfin, dans la mesure où, de l'inné ou de l'acquis, les deux ont de grands avantages et de grands inconvénients (thérapie gènique pour exterrrrrminer l'espèce/diabolisation de celui qui "choisit" d'être """""contre-nature"""")... je reste persuadée pour ma part qu'invoquer un savant mélange génome/environnement est la meilleure façon d'aborder la problèmatique. Comme le disait Kefka, la schizophrènie et autres pathologies psychiques ont une influence génètique, pourquoi n'en serait-il pas de même pour les affinités, dans la mesure où à peu près tous les phénotypes établis par nos chromosomes sont modifiables via intervention extérieure.Pacô a écrit :Mais moi ce qui me chagrine, encore une fois, c'est qu'on risque de tomber sur l'os : c'est une anomalie qui s'est formée par altération du code génétique au cours des générations.
Et ça ne va pas arranger l'image de l'homosexuel...
Vulgarisation, à vrai dire. Je pourrai aussi parler de phénotype associé à l'expression d'un allèle d'un gène, mais ça n'apporterait pas grand chose.Pacô a écrit :Car oui, Indogo, tu me parles de gènes qui s'expriment au niveau cellulaire... incompréhension biologique ? Les gènes ne s'expriment qu'au niveau moléculaire, et c'est ce qui a des répercussions sur le niveau cellulaire puis macroscopique.
Toutefois, on ne peut pas dire : "En effet, tous les gènes ne s'expriment pas partout ni tout le temps. Que ce soit au niveau purement cellulaire, ou au niveau de l'individu."
Le gène s'exprime au niveau cellulaire, point barre.
Sauf que l'hypothèse "du gène gay" n'est pas celle considérée actuellement. C'est une hypothèse épigénétique : interaction entre génome et environnement.Bref, plus ça va et plus l'hypothèse de la génétique tourne au ridicule. du moins du gène "gay".
Encore une question de vocabulaire : toute variation n'est pas une anomalie. Mais c'est vrai que cette question de vocabulaire est très épineuse. Une variation n'est pas considérée comme une mutation, ou une anomalie, que si elle n'est pas très répandue dans la population. Donc, entre un blond et un brun, aucun des deux n'est un mutant. Mais après on a le problème avec la large population hétérozygote pour l'allèle morbide du gène dont l'expression (récessive par rapport à l'expression de l'allèle non morbide du gène) est responsable du phénotype de la drépanocytose, qui confère à sa population une résistance au palu. Parce que bon, ça reste un allèle morbide.Mais moi ce qui me chagrine, encore une fois, c'est qu'on risque de tomber sur l'os : c'est une anomalie qui s'est formée par altération du code génétique au cours des générations.
Et ça ne va pas arranger l'image de l'homosexuel...