automutilation
Re: automutilation
Très bien, très vrai et dit avec beaucoup d'humour. 
Re: automutilation
Pinkfish4 a écrit :Très bien, très vrai et dit avec beaucoup d'humour.
Re: automutilation
Pinkfish4: Merci beaucoup pour ta réponse ! Pour les mp, c'est écrit à coté du nom de la personne il me semble =).
Mais
Pour ce qui est de voir quelqu'un, l'année dernière je voyais une psy, ça me faisait beaucoup de bien, mais une fois que je suis sortie avec ma copine, j'ai tout arrêté... Au final j'ai voulut recommencer cette année, mais elle n'y était plus. Mais là je vois pour reprendre avec une autre psy.
Donc voilà, j'espère que ça ira. Comment tu as fais toi pour réussir à te focaliser sur toi ? (en fait je pense que c'est personnelle à chacun, mais sait-on jamais)
Mais
Ce que tu as dis là m'a interpelé. Car en fait, je fais exactement ce que tu faisait avant... en fait, je ne peux pas arrêter pour moi. Je n'y arrive que pour une personne que j'aime vraiment, pour ne pas la faire souffrir elle. Et comme j'arrive toujours à le cacher en général, ce n'est que lorsque réellement je ne peux pas faire autrement que d'arrêter pour ne pas qu'on le voit que j'arrête. c'est à dire quand je sors avec quelqu'un en fait. Donc au final je n'arrive pas à stoper vraiment.le truc tu vois c'est pas de le faire "pour quelqu'un", même si c'est très beaux comme attention... Il faut le faire pour toi. Et ça ça va avec le pocéssus qui veut qu'il faut que t'apprenne à t'aimer toi avant d'aimer éperduemment les autres (je dis ça parce que c'est ce que je faisais).
Pour ce qui est de voir quelqu'un, l'année dernière je voyais une psy, ça me faisait beaucoup de bien, mais une fois que je suis sortie avec ma copine, j'ai tout arrêté... Au final j'ai voulut recommencer cette année, mais elle n'y était plus. Mais là je vois pour reprendre avec une autre psy.
Donc voilà, j'espère que ça ira. Comment tu as fais toi pour réussir à te focaliser sur toi ? (en fait je pense que c'est personnelle à chacun, mais sait-on jamais)
Re: automutilation
Bin c'est un plaisir si je peux donner des conseil aussi insignifiant soit ils sur le sujet.
Mais honnêtement si tu me demandes comment j'ai fait pour me focaliser sur moi, je peux pas trop répondre, je crois que c'est difficile de nommer le "déclic" qui te fait comprendre que tu t'en sortira pas si tu continue de lutter au nom de quelqu'un d'autre.
Lorsque je faisais ça la manière dont j'essayais de m'en sortir était très instable. Parce que tout reposait sur la relation que j'avais avec la personne pour qui je faisais des efforts, c'était hors de mon contrôle et donc encore plus difficile à gérer. Parce que cela fait entrer un facteur de plus potentiellement cause de l'envie de se faire mal. Tu vois ce que je veux dire?
Si je tenais 3 jours sans rien faire ce n'était pas parce que je voulais aller mieux au fond, mais parce que je voulais que telle personne soit fière de moi et me montre de l'intérêt, et si cette personne me faisait souffrir j'étais beaucoup plus tentée de replonger, etc
Je crois qu'un jour j'en ai tellement eu assez d'être déçue (mais attention ici tout est très personnel) par les gens qui m'aimaient et que j'aimais que j'ai compris que je ne devais rien à personne et j'ai laissé tomber l'idée du "je DOIS arrêter" j'ai compris que ça n'avait pas de sens.
Alors comme je l'ai déjà dit je me suis donné un objectif de vie assez fort, simplement j'ai rêvé de ma vie telle qu'elle me serait supportable et je me suis dit qu'au bout de la route il y aurait ça qui m'attendrait, une vie qui enfin me correspondrait. Et surtout j'ai appris à tout relativiser, mes amis, ma vie, mes amours... Je me suit dit que le seul but dans la vie c'était qu'on l'apprécie et que les histoires qui nous font souffrir, les problèmes qu'on se crée entre nous n'ont aucune espèce de signifiance par rapport à toute une vie, encore moins face à l'Univers (je sais ça paraît très stupide et simpliste mais c'est vrai j'ai appris à penser de cette manière en tout cas pour tout ce qui me concernait).
J'ai décidé de prendre le temps qu'il faudrait pour que ça aille mieux en étant consciente que j'allais continuer à morfler pour quelque temps.
Et j'ai avancé, j'ai "éloigné" tout ceux qui éssayaient de "contrôler" ce que je faisais d'une manière ou d'une autre, tous ceux qui étaient des "facteurs" à ma souffrance et j'ai changé de fréquentation (ce qui ne veux pas nécéssairement dire couper les ponds avec les autre mais juste mettre une distance) et ça m'a permis de respirer et de me sentir plus à ma place et d'évoluer pour moi même.
J'ai rencontré quelqu'un qui m'a apporté un équilibre intérieur et affectif. Je suis retombée amoureuse mais je n'ai jamais souffert avec elle, peut-être parce que j'avais appris à vivre pour moi même, mais je crois plutôt que c'est parce qu'elle et moi on se complétait totalement dès le premier jour où on s'est vue et c'était très fusionnel mais en même temps très paisible, sans tension, sans prise de tête, sans attente de quoi que ce soit de l'une ou de l'autre.
Je crois que c'est ça la clef, ne rien attendre des autres et que les autres n'attendent rien de nous.
Si la personne qu'on a en face de nous nous fait du chantage par rapport à ce qu'on fait alors cette personne ne nous comprends pas et si elle/il nous aime elle/il se doit d'essayer de comprendre et de nous aimer telle qu'on est à cet instant, savoir qu'un jour ça s'arrêtera mais là maintenant on est pas prête.
ça ne veux pas dire qu'il ne faut pas essayer de résister et le faire le moins possible, je pense que c'est ce exactement ça qu'il faut faire, mais le plus important c'est de ne pas s'en vouloir si on craque. "Oui aujourd'hui je me suis mutilée mais ça ne fait pas de moi une personne moins aimable ou une mauvaise personne."
J'ai l'impression d'écrire beaucoup pour ne rien dire, je ne sais pas si quoi que ce soit de ce que je dis là t'aidera en quoi que ce soit, c'est vrai qu'on est tous diffférent...
Mais si tu me permets, est ce que je peux te demander quelque chose?
Est-ce que tu t'aimes?
Tu n'es vraiment pas obligée de répondre à cette question c'est assez intrusif de ma part, mais je crois que c'est ça le point de départ. Tu accepte de te concentrer sur toi et d'apprendre à t'aimer... et c'est un long chemin. Mais c'est la clef.
Mais honnêtement si tu me demandes comment j'ai fait pour me focaliser sur moi, je peux pas trop répondre, je crois que c'est difficile de nommer le "déclic" qui te fait comprendre que tu t'en sortira pas si tu continue de lutter au nom de quelqu'un d'autre.
Lorsque je faisais ça la manière dont j'essayais de m'en sortir était très instable. Parce que tout reposait sur la relation que j'avais avec la personne pour qui je faisais des efforts, c'était hors de mon contrôle et donc encore plus difficile à gérer. Parce que cela fait entrer un facteur de plus potentiellement cause de l'envie de se faire mal. Tu vois ce que je veux dire?
Si je tenais 3 jours sans rien faire ce n'était pas parce que je voulais aller mieux au fond, mais parce que je voulais que telle personne soit fière de moi et me montre de l'intérêt, et si cette personne me faisait souffrir j'étais beaucoup plus tentée de replonger, etc
Je crois qu'un jour j'en ai tellement eu assez d'être déçue (mais attention ici tout est très personnel) par les gens qui m'aimaient et que j'aimais que j'ai compris que je ne devais rien à personne et j'ai laissé tomber l'idée du "je DOIS arrêter" j'ai compris que ça n'avait pas de sens.
Alors comme je l'ai déjà dit je me suis donné un objectif de vie assez fort, simplement j'ai rêvé de ma vie telle qu'elle me serait supportable et je me suis dit qu'au bout de la route il y aurait ça qui m'attendrait, une vie qui enfin me correspondrait. Et surtout j'ai appris à tout relativiser, mes amis, ma vie, mes amours... Je me suit dit que le seul but dans la vie c'était qu'on l'apprécie et que les histoires qui nous font souffrir, les problèmes qu'on se crée entre nous n'ont aucune espèce de signifiance par rapport à toute une vie, encore moins face à l'Univers (je sais ça paraît très stupide et simpliste mais c'est vrai j'ai appris à penser de cette manière en tout cas pour tout ce qui me concernait).
J'ai décidé de prendre le temps qu'il faudrait pour que ça aille mieux en étant consciente que j'allais continuer à morfler pour quelque temps.
Et j'ai avancé, j'ai "éloigné" tout ceux qui éssayaient de "contrôler" ce que je faisais d'une manière ou d'une autre, tous ceux qui étaient des "facteurs" à ma souffrance et j'ai changé de fréquentation (ce qui ne veux pas nécéssairement dire couper les ponds avec les autre mais juste mettre une distance) et ça m'a permis de respirer et de me sentir plus à ma place et d'évoluer pour moi même.
J'ai rencontré quelqu'un qui m'a apporté un équilibre intérieur et affectif. Je suis retombée amoureuse mais je n'ai jamais souffert avec elle, peut-être parce que j'avais appris à vivre pour moi même, mais je crois plutôt que c'est parce qu'elle et moi on se complétait totalement dès le premier jour où on s'est vue et c'était très fusionnel mais en même temps très paisible, sans tension, sans prise de tête, sans attente de quoi que ce soit de l'une ou de l'autre.
Je crois que c'est ça la clef, ne rien attendre des autres et que les autres n'attendent rien de nous.
Si la personne qu'on a en face de nous nous fait du chantage par rapport à ce qu'on fait alors cette personne ne nous comprends pas et si elle/il nous aime elle/il se doit d'essayer de comprendre et de nous aimer telle qu'on est à cet instant, savoir qu'un jour ça s'arrêtera mais là maintenant on est pas prête.
ça ne veux pas dire qu'il ne faut pas essayer de résister et le faire le moins possible, je pense que c'est ce exactement ça qu'il faut faire, mais le plus important c'est de ne pas s'en vouloir si on craque. "Oui aujourd'hui je me suis mutilée mais ça ne fait pas de moi une personne moins aimable ou une mauvaise personne."
J'ai l'impression d'écrire beaucoup pour ne rien dire, je ne sais pas si quoi que ce soit de ce que je dis là t'aidera en quoi que ce soit, c'est vrai qu'on est tous diffférent...
Mais si tu me permets, est ce que je peux te demander quelque chose?
Est-ce que tu t'aimes?
Tu n'es vraiment pas obligée de répondre à cette question c'est assez intrusif de ma part, mais je crois que c'est ça le point de départ. Tu accepte de te concentrer sur toi et d'apprendre à t'aimer... et c'est un long chemin. Mais c'est la clef.
Re: automutilation
Merci beaucoup pour ta réponse.
Tu parles beaucoup, mais ce n'est pas pour rien, vraiment ce que tu dis m'aide beaucoup.
Tu as du avoir beaucoup de volonté pour réussir à t'éloigner des personnes te faisant du mal. Moi je n'y suis arrivée que... partiellement. Ma copine pour qui j'essaye d'arrêter, elle je ne peux pas me défaire d'elle, même si c'est très instable avec elle.
Alors je garde tous tes conseils de côté, ils me seront surement très utiles. Mais pour l'instant ça va, cela fais 5 mois que j'arrive à contrôler et que je n'ai rien fais, même si je sens que ce n'est pas encore totalement partie.
Et tu demande si je m'aime. Et bien, oui, je pense que je m'aime, en tout cas je ne me déteste pas. Après je ne sais pas ce que tu entends réellement par là.
Je pense m'aimer, je ne veux pas foutre ma vie en l'aire ou me détruire, je ne me sens pas inférieur aux autre, et lorsque je fais mes "conneries" c'est toujours en réfléchissant un minimum aux conséquences. Je ne pense pas que mon besoin de me faire du mal fasse que je ne m'aime pas. Juste j'ai eu du mal jusqu'ici à trouver une raison pour moi même qui fasse que je ne fasse pas ça. Mais j'y travail, et je commence à en avoir marre d'être dépendante, et ces derniers temps j'essaye de plus me concentrer sur moi, et je vais voir une psy. Après, je ne sais pas encore où ça me mènera.
Tu parles beaucoup, mais ce n'est pas pour rien, vraiment ce que tu dis m'aide beaucoup.
Tu as du avoir beaucoup de volonté pour réussir à t'éloigner des personnes te faisant du mal. Moi je n'y suis arrivée que... partiellement. Ma copine pour qui j'essaye d'arrêter, elle je ne peux pas me défaire d'elle, même si c'est très instable avec elle.
Alors je garde tous tes conseils de côté, ils me seront surement très utiles. Mais pour l'instant ça va, cela fais 5 mois que j'arrive à contrôler et que je n'ai rien fais, même si je sens que ce n'est pas encore totalement partie.
Et tu demande si je m'aime. Et bien, oui, je pense que je m'aime, en tout cas je ne me déteste pas. Après je ne sais pas ce que tu entends réellement par là.
Je pense m'aimer, je ne veux pas foutre ma vie en l'aire ou me détruire, je ne me sens pas inférieur aux autre, et lorsque je fais mes "conneries" c'est toujours en réfléchissant un minimum aux conséquences. Je ne pense pas que mon besoin de me faire du mal fasse que je ne m'aime pas. Juste j'ai eu du mal jusqu'ici à trouver une raison pour moi même qui fasse que je ne fasse pas ça. Mais j'y travail, et je commence à en avoir marre d'être dépendante, et ces derniers temps j'essaye de plus me concentrer sur moi, et je vais voir une psy. Après, je ne sais pas encore où ça me mènera.
Re: automutilation
ça m'ait déjà arrivé, c'est un acte trés triste. il ne faut jamais commencé car on peut si habitué et cela peut empirer, il est toutefois possible de s'en sortir evidemment avec de la volonté, une motivation. comme sortir le maillot de bain cette été par exemple 
Re: automutilation
Courage pour le maillot de bain !
Moi ça fait un petit moment que j'ai réussi à ne plus y cacher (en même tant c'est pas si monstrueux que ça mais bon, dur dur) ! C'est ma copine qui avait réussi à m'y faire accepter, alors depuis les manches courtes et séances baignade ne me fond plus peur ! (Tant que c'est au stade de cicatrices hein).
C'est une question d'acceptation de la chose aussi je pense, une fois débloqué c'est une bonne étape pour passer à autre chose. je l'ai franchie, reste les autres !
Mais c'est pas toujours aussi facile, j'ai un pote qui ne met jamais de manche courte, ne veux jamais se baigner... il veut attendre de se faire opérer pour ça.
D'ailleurs, certaines personnes ici ont-elles déjà eu recours à une opération pour masquer des cicatrices ?
Moi ça fait un petit moment que j'ai réussi à ne plus y cacher (en même tant c'est pas si monstrueux que ça mais bon, dur dur) ! C'est ma copine qui avait réussi à m'y faire accepter, alors depuis les manches courtes et séances baignade ne me fond plus peur ! (Tant que c'est au stade de cicatrices hein).
C'est une question d'acceptation de la chose aussi je pense, une fois débloqué c'est une bonne étape pour passer à autre chose. je l'ai franchie, reste les autres !
Mais c'est pas toujours aussi facile, j'ai un pote qui ne met jamais de manche courte, ne veux jamais se baigner... il veut attendre de se faire opérer pour ça.
D'ailleurs, certaines personnes ici ont-elles déjà eu recours à une opération pour masquer des cicatrices ?
Re: automutilation
Salut,
Je suis désolée, je n'ai pas le courage de lire les 11 pages de discussion, mais je voudrais donner ma contribution.
pour ta question du début, je ne trouve pas que les gens qui s'auto-mutilent soient fous.
Maintenant, il y a différentes raisons qui poussent à cela, elles se valent pratiquement toutes, mais, je ne suis pas vraiment du genre à encourager l'auto-mutilation en soi.
Contrairement à ce que j'ai saisi comme étant l'opinion générale, par contre, moi, je trouve que quelqu'un qui en fait une question d'esthétique (tel le branding, par exemple), c'est un bon moyen d'exploiter ce besoin de douleur que l'on a, pour en faire de l'art
. Et là, c'est beaucoup plus constructif!
Pour finir, je vais me permettre de te donner un conseil, parce que moi aussi je m'auto-mutilais quand j'étais ado, et ça m'arrive parfois encore maintenant (mais très rarement), mais, pour des raisons complètement différentes.
Mon seul conseil, c'est celui-là; regarde le film "La Secrétaire" de Steven Shainberg, sorti en 2002, avec Maggie Gyllenhaal et James Spader. Un film très subtil et humouristique sur l'auto-mutilation et comment utiliser le besoin de douleur et/ou de marques à des fins plus... constructives et plaisantes, dirons-nous
. (Alors, certes, c'est un film hétéro, mais, on ne peut pas tout avoir non plus!
) Mon meilleur ami me l'a fait regarder à mes 14 ans, et je ne me suis pas mutilée pendant les 5 ans à venir... Alors, réfléchis bien à ce que tu vois, observe bien, regarde-le une deuxième fois si tu ne comprends ou ne vois pas tout, pense à ce qui te plait, et ce dont tu as besoin, ce film pourrait te donner quelques idées
.
Je suis désolée, je n'ai pas le courage de lire les 11 pages de discussion, mais je voudrais donner ma contribution.
pour ta question du début, je ne trouve pas que les gens qui s'auto-mutilent soient fous.
Maintenant, il y a différentes raisons qui poussent à cela, elles se valent pratiquement toutes, mais, je ne suis pas vraiment du genre à encourager l'auto-mutilation en soi.
Contrairement à ce que j'ai saisi comme étant l'opinion générale, par contre, moi, je trouve que quelqu'un qui en fait une question d'esthétique (tel le branding, par exemple), c'est un bon moyen d'exploiter ce besoin de douleur que l'on a, pour en faire de l'art
Pour finir, je vais me permettre de te donner un conseil, parce que moi aussi je m'auto-mutilais quand j'étais ado, et ça m'arrive parfois encore maintenant (mais très rarement), mais, pour des raisons complètement différentes.
Mon seul conseil, c'est celui-là; regarde le film "La Secrétaire" de Steven Shainberg, sorti en 2002, avec Maggie Gyllenhaal et James Spader. Un film très subtil et humouristique sur l'auto-mutilation et comment utiliser le besoin de douleur et/ou de marques à des fins plus... constructives et plaisantes, dirons-nous
Re: automutilation
je ne sais pas trop quoi en penser, je pense qu'en général, l'auto-mutilation est induite par une souffrance.
après je ne suis pas dans la tête de chacun, mais ce que je pense aussi, est que chacun fait ce qu'il veut de son propre corps.
en tout cas, j'apporte mon soutien virtuel par ce message à ceux qui souffre.
bon courage
après je ne suis pas dans la tête de chacun, mais ce que je pense aussi, est que chacun fait ce qu'il veut de son propre corps.
en tout cas, j'apporte mon soutien virtuel par ce message à ceux qui souffre.
bon courage
Re: automutilation
Merci pour vos soutiens/conseils.
Bob91, merci pour le film, je vais le télécharger je pense !
Là tout de suite j'aurais besoin de vos conseils/avis...
Aujourd'hui j'ai (re)découvert que ma petite sœur se mutilais. Je l'avais déjà su il y a de cela un an, mais ce n'était que très léger et puis censé être exceptionnel, comme ça pour voir. Je croyais qu'elle n'avait pas recommencé. Sauf quand réalité elle avait repris au début de cette année scolaire.
Et là je culpabilise. Elle est au courant que je le faisait, et j'ai peur que si elle n'avait jamais su elle ne l'aurait jamais fait. Ma mère vient de découvrir que ces deux premières filles se mutilaient, désormais elle craint pour la troisième... elle aussi a pensait que je n'y était peut-être pas étrangère (elle ne voulait pas me culpabiliser, elle n'a fait qu'aller dans mon sens vis à vis de cette crainte).
Donc je me sens mal, ne sais pas trop quoi penser et quoi faire...
Besoin de votre aide.
Bob91, merci pour le film, je vais le télécharger je pense !
Là tout de suite j'aurais besoin de vos conseils/avis...
Aujourd'hui j'ai (re)découvert que ma petite sœur se mutilais. Je l'avais déjà su il y a de cela un an, mais ce n'était que très léger et puis censé être exceptionnel, comme ça pour voir. Je croyais qu'elle n'avait pas recommencé. Sauf quand réalité elle avait repris au début de cette année scolaire.
Et là je culpabilise. Elle est au courant que je le faisait, et j'ai peur que si elle n'avait jamais su elle ne l'aurait jamais fait. Ma mère vient de découvrir que ces deux premières filles se mutilaient, désormais elle craint pour la troisième... elle aussi a pensait que je n'y était peut-être pas étrangère (elle ne voulait pas me culpabiliser, elle n'a fait qu'aller dans mon sens vis à vis de cette crainte).
Donc je me sens mal, ne sais pas trop quoi penser et quoi faire...
Besoin de votre aide.