Voila un type sympa au moins, je vois que je suis pas le seul...Jojo Lyserg a écrit :Je pense aussi que les homos sont plus sencible mais je pense qu'il y a 2 raisons :
- l'histoire comme ça été dit plus haut. Les homos en bavent souvent pas mal d'abors avec la famille et les proches avec les propos homophobes etc...
- Et puis les homos rejetent plus ou moins l'éducation "classique" des garçons. Et justement on éduque le garçon à l'opposé des filles mais aimant les filles, fort et ne montrant pas ses émotions. Le gay ne se sentant pas de comme ça rejete plus ou moins cette éducation et dons il peut se montrer plus ou moins éféminé.
Dans les 2 cas c'est à cause des homophobes qui n'arrettent pas de parler de tappette que les homos éféminés éxistent...
l'homosexualité : behaviorisme contre natalisme
A propos des historiens
Bon je vais pas poursuivre sur ce thème parce que ca risque de degenerer, je n'ai pu encadrer les historiens pour cette raison trop d'assurance de leur intelligence, trop d'indifference, trop de mepris...
Trop de trop.
Desolé mais je ne suis pas de ceux la et je respecte d'habitude les convictions de chacun mais quand j'ai en face de moi des dictateurs, je réagis... Desolé c'est ainsi.
Bon je vais pas poursuivre sur ce thème parce que ca risque de degenerer, je n'ai pu encadrer les historiens pour cette raison trop d'assurance de leur intelligence, trop d'indifference, trop de mepris...
Trop de trop.
Desolé mais je ne suis pas de ceux la et je respecte d'habitude les convictions de chacun mais quand j'ai en face de moi des dictateurs, je réagis... Desolé c'est ainsi.

Tiens, j'avais pas lu cette phrase (un acvte manqué, sans doute)... Vous parlez des homos "efféminés" comme s'ils étaient une erreur. Alors, le problème serait de savoir qui est à l'origine de l'erreur, les homos eux-mêmes ou les homophobes ? Mais quel problème posent donc ces "efféminés" pour que vous les considériez de la sorte ?Jojo Lyserg a écrit :Dans les 2 cas c'est à cause des homophobes qui n'arrettent pas de parler de tappette que les homos éféminés éxistent...
Walooh --> J'arrête aussi. Les généralisations abusives et insultantes me mettent hors de moi. Si ça vous amuse de jouer la victime, grand bien vous fasse.
Attention au vocabulaire, je crois pas qu'il ai voulu dire erreur mais tout simplement difficle à assumer.Potiron a écrit :Tiens, j'avais pas lu cette phrase (un acvte manqué, sans doute)... Vous parlez des homos "efféminés" comme s'ils étaient une erreur. Alors, le problème serait de savoir qui est à l'origine de l'erreur, les homos eux-mêmes ou les homophobes ? Mais quel problème posent donc ces "efféminés" pour que vous les considériez de la sorte ?Jojo Lyserg a écrit :Dans les 2 cas c'est à cause des homophobes qui n'arrettent pas de parler de tappette que les homos éféminés éxistent...
Walooh --> J'arrête aussi. Les généralisations abusives et insultantes me mettent hors de moi. Si ça vous amuse de jouer la victime, grand bien vous fasse.
Non, il a dit "dans les deux cas, c'est à cause des homophobes que les efféminés existent". Nuance. En clair, l'argument est : parce que les homophobes veulent que les garçons soient des hommes, les homos rejettent plus ou moins inconsciemment le modèle proposé/obligé et deviennent efféminés, par réaction. Donc, s'il n'y avait pas cette dynamique, les homos ne seraient pas efféminés. Le "à cause" suggère une culpabilité. D'où considération des efféminés comme des sortes d'erreurs.
D'un côté, j'ai pu lire que les "efféminés" étaient cause d'homophobie, et ici, ce sont les homophobes qui produisent les "efféminés" à cause de la rigidité de leurs normes. Dans les deux cas, ces personnes sont perçues comme directement liées à l'homophobie, donc perçues comme un problème fondamental. Or, ce que j'aimerais bien savoir, c'est pourquoi est reportée à chaque fois sur eux la faute de l'homophobie, et pourquoi ils sont catalogués comme problématiques ? Parce que l'idée que les "efféminés" soient comme ils sont parce que ça leur convient n'est pas souvent notée. D'ailleurs, rien que reprendre le terme d'efféminé revient à adhérer plus ou moins implicitement au stigmate...
D'un côté, j'ai pu lire que les "efféminés" étaient cause d'homophobie, et ici, ce sont les homophobes qui produisent les "efféminés" à cause de la rigidité de leurs normes. Dans les deux cas, ces personnes sont perçues comme directement liées à l'homophobie, donc perçues comme un problème fondamental. Or, ce que j'aimerais bien savoir, c'est pourquoi est reportée à chaque fois sur eux la faute de l'homophobie, et pourquoi ils sont catalogués comme problématiques ? Parce que l'idée que les "efféminés" soient comme ils sont parce que ça leur convient n'est pas souvent notée. D'ailleurs, rien que reprendre le terme d'efféminé revient à adhérer plus ou moins implicitement au stigmate...
Une causalité circulaire en qq sorte...Potiron a écrit :Non, il a dit "dans les deux cas, c'est à cause des homophobes que les efféminés existent". Nuance. En clair, l'argument est : parce que les homophobes veulent que les garçons soient des hommes, les homos rejettent plus ou moins inconsciemment le modèle proposé/obligé et deviennent efféminés, par réaction. Donc, s'il n'y avait pas cette dynamique, les homos ne seraient pas efféminés. Le "à cause" suggère une culpabilité. D'où considération des efféminés comme des sortes d'erreurs.
D'un côté, j'ai pu lire que les "efféminés" étaient cause d'homophobie, et ici, ce sont les homophobes qui produisent les "efféminés" à cause de la rigidité de leurs normes. Dans les deux cas, ces personnes sont perçues comme directement liées à l'homophobie, donc perçues comme un problème fondamental. Or, ce que j'aimerais bien savoir, c'est pourquoi est reportée à chaque fois sur eux la faute de l'homophobie, et pourquoi ils sont catalogués comme problématiques ? Parce que l'idée que les "efféminés" soient comme ils sont parce que ça leur convient n'est pas souvent notée. D'ailleurs, rien que reprendre le terme d'efféminé revient à adhérer plus ou moins implicitement au stigmate...
Oui, bof, disons que le débat est inutile de toute façon, les maniérés sont ce qu'ils sont et n'y peuvent rien. c'est comme ca certains le vivent bien et d'autres moins. le pb n'est pas d'adherer ou ne pas adherer mais de comprendre que la vie est ainsi faite que nul ne peut changer les individus. Vouloir le faire est proprement dictatorial.
Ce qui compte c'est le bonheur des hommes Non madame

Je trouve que tu simplifies à 100% les choses quand même.
On ne peut pas considerer l'homo comme un violé de la vie, il faut quand même essayer de raisonner autrement et de ses dire que c'est peut être autre chose, quand même, des sentiments des emotions, bien d'autres choses encore et je trouve intolérable une attitude qui nous compare ainsi à des malades ou des deçus de la vie.
Il est dans la Nature des choses immuables et c'est ainsi, l'homoséxualité existe depuis la nuit des temps et on ne pourra pas changer cela. La psychologie comme la psychiatrie ont depuis longtemps abandonné l'idée de l'homosexualité comme d'une perversité ou d'une maladie mentale...
On ne peut pas considerer l'homo comme un violé de la vie, il faut quand même essayer de raisonner autrement et de ses dire que c'est peut être autre chose, quand même, des sentiments des emotions, bien d'autres choses encore et je trouve intolérable une attitude qui nous compare ainsi à des malades ou des deçus de la vie.
Il est dans la Nature des choses immuables et c'est ainsi, l'homoséxualité existe depuis la nuit des temps et on ne pourra pas changer cela. La psychologie comme la psychiatrie ont depuis longtemps abandonné l'idée de l'homosexualité comme d'une perversité ou d'une maladie mentale...

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La suppression de l'homosexualité de la liste des maladies mentales constituée par l'American psychiatrist Association date (seulement) de 1973... Et pour que dans la tête des psy et de tous, ne subsiste plus de trace que, quelquepart, on a des pb ou on a eu des pb petit pour être comme ça, je crois qu'il faut attendre encore...walooh a écrit : La psychologie comme la psychiatrie ont depuis longtemps abandonné l'idée de l'homosexualité comme d'une perversité ou d'une maladie mentale...
Bon, étant géographe, je me permets de réagir. La géographie connait depuis une vingtaine d'années une grande mutation en redéfinissant ses paradigmes. Abandonnant en grande partie sa branche science naturelle (principalement la géophysique, qu'elle abandonne aux géologues), elle est devenue une véritable science humaine, dont le but est d'étudier les phénomènes spaciaux provoqués par les activités humaines. Ce faisant, pour analyser et expliquer ces phénomènes, aujourd'hui, la géographie utilise toutes les sciences possibles utiles pour comprendre ces phénomènes.walooh a écrit :Pour le reste, sur la question de Science sociale, il faut voir la reaction de 90% des géographes ou des historiens (100%) à la lecture d'articles à tendance moyennement mathématique, rien d'autre à dire...
Ainsi, par exemple, pour étudier la géographie des espaces agricoles sur la Terre, le géographe va utiliser les sciences naturelles (climatologie, géologie - pour expliquer le poids du milieu sur le choix des cultures ; biologie pour comprendre la sélection des espèces, le choix des OGM, etc...), les sciences économiques (théorie distance/coût, transport, marché...), sociales et culturelles (notion de "civilisations alimentaires", choix d'aménagements, etc...).
Les sciences dures ne sont pas écartées : des théories géographiques utilisent bien au contraire des mathématiques depuis plus d'un siècle déjà (là, comme je ne suis pas chez moi, je ne peut te redonner les noms de ces lois).
Tu as en fait à l'esprit ce que l'on appelle l'ancienne géographie. La nouvelle géographie s'impose progressivement. Mais il y a toujours un décalage important entre la science universitaire et l'enseignement scolaire (20 ans de décallage en moyenne).