hanachan a écrit :c'est un sujet pour lequel les feministes se battent: le droit de ne pas avoir evie d'être mère.
je n'ai pas encore d'enfants mais j'hésite a en avoir car il faut aussi differencier, l'envie d'd'être maman et l'envie de porter la vie et c'est totalement different!
deplus quand on voit les gosses de mainteant c'est sur que ça donne pas envie....
norma deja y'a pas besoin de s'enerver pour si peu j'émets une opinion (qui n'est pas la tienne on aura compris) mais j'ai tout de même le droit d'exprimer un avis sans qu'on le considère direct comme une "connerie" (je te cite)
respecter les opinion des uns et des autres même si on est totalement opposé a cette opinion fait partie du fonvtionnement d'un froum.
je n'ai pas dis ensuite que la generation d'un tel etait la mielleur ou moins bonne que l'autre, j'emets MON ressentie . et je faisais reference a l'evolution soxciétale qui forcement influence de près ou de loin l'education et l'evolution d'un peuple (mais pas le temps de rentrer dans le debat)
pour le sujet du feminisme je ne parlais pas non plus de toute les branche mais il y en a certaine oui qui se battent autant pour les droit des femmes a être mère au foyer que d'autres a être epanouie et l'egale de l'homme dans le milieu du travail ou encore le droit a ne pas être mère sans qu'on soit regarder de travers.
Pour les féminismes, non, tu n’émets pas une opinion, tu cites un fait. Or le fait est faux. Ce n'est pas la même chose.
Pour les "jeunes d'aujourd'hui", certes, tu émets ton opinion, mais elle est infondée et réactionnaire, et, au passage, offensive pour toute personne de moins de 25 ans qui se retrouverait sans autre forme de procès dans ce grand sac de "la jeunesse d'aujourd'hui" sur qui il fait bon cracher.
Nan mais tout ira mieux quand on aura brûler en place publique le toxique "instinct maternel"
Sinon je trouve pertinent la distinction de Norma entre être mère ou père et parent. Moi je voulais être parent à tout prix. C'est la transmission qui me galvanise !
Norma a écrit :Pour les féminismes, non, tu n’émets pas une opinion, tu cites un fait. Or le fait est faux. Ce n'est pas la même chose.
Pour les "jeunes d'aujourd'hui", certes, tu émets ton opinion, mais elle est infondée et réactionnaire, et, au passage, offensive pour toute personne de moins de 25 ans qui se retrouverait sans autre forme de procès dans ce grand sac de "la jeunesse d'aujourd'hui" sur qui il fait bon cracher.
Je suis désolée mais quitte à être réactionnaire, je suis d'accord avec lui.
Une jeunesse pour laquelle le symbole de réussite est de faire de la télé réalité et avoir un compte facebook bien garni, désolé mais j'adhère pas.
Des parents qui n'ont plus d'autorités sur leurs enfants il y'en a de plus en plus.
Okay c'est une généralité, tous les jeunes ne sont pas concernés, mais une grosse part est quand même en manque de repères et de limites...
T'as pas à le prendre pour toi Norma, toi t'es vieille, t'es née avant la télé réalité et avant facebook !
Je ne suis pas là, vous ne me voyez pas, ce n'est qu'une illusion. Rendormez-vous.
Norma a écrit :Pour les féminismes, non, tu n’émets pas une opinion, tu cites un fait. Or le fait est faux. Ce n'est pas la même chose.
Pour les "jeunes d'aujourd'hui", certes, tu émets ton opinion, mais elle est infondée et réactionnaire, et, au passage, offensive pour toute personne de moins de 25 ans qui se retrouverait sans autre forme de procès dans ce grand sac de "la jeunesse d'aujourd'hui" sur qui il fait bon cracher.
Je suis désolée mais quitte à être réactionnaire, je suis d'accord avec lui.
Une jeunesse pour laquelle le symbole de réussite est de faire de la télé réalité et avoir un compte facebook bien garni, désolé mais j'adhère pas.
Des parents qui n'ont plus d'autorités sur leurs enfants il y'en a de plus en plus.
Okay c'est une généralité, tous les jeunes ne sont pas concernés, mais une grosse part est quand même en manque de repères et de limites...
T'as pas à le prendre pour toi Norma, toi t'es vieille, t'es née avant la télé réalité et avant facebook !
Et tu peux garantir objectivement que ce n'était pas le cas avant ?
Je me répete un peu, mais je trouve ça extrêmement parlant :
"Lorsque les pères s'habituent à laisser faire leurs enfants,
Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne,
Alors, c'est là, le début de la tyrannie."
Platon 400 av. JC.
"Les jeunes d'aujourd'hui aiment le luxe, ils sont mal élevés, méprisent l'autorité, n'ont aucun respect pour leurs aînés et bavardent au lieu de travailler."
Socrate 470-399 av. JC.
"Cette jeunesse est pourrie depuis le fond du cœur. Les jeunes sont malfaisants et paresseux. Ils ne seront jamais comme la jeunesse d' autrefois. Ceux d'aujourd'hui ne seront pas capables de maintenir notre culture."
Inscription babylonienne. Plus de 3000 av. JC.
"Notre monde a atteint un stade critique. Les enfants n'écoutent plus leurs parents. La fin du monde ne peut être très loin."
Prêtre égyptien. 2000 av. JC.
[quote="Norma"][quote="yellowthing"][quote="Norma"]Pour les féminismes, non, tu n’émets pas une opinion, tu cites un fait. Or le fait est faux. Ce n'est pas la même chose.
Pour les "jeunes d'aujourd'hui", certes, tu émets ton opinion, mais elle est infondée et réactionnaire, et, au passage, offensive pour toute personne de moins de 25 ans qui se retrouverait sans autre forme de procès dans ce grand sac de "la jeunesse d'aujourd'hui" sur qui il fait bon cracher.[/quote]
Je suis désolée mais quitte à être réactionnaire, je suis d'accord avec lui.
Une jeunesse pour laquelle le symbole de réussite est de faire de la télé réalité et avoir un compte facebook bien garni, désolé mais j'adhère pas.
Des parents qui n'ont plus d'autorités sur leurs enfants il y'en a de plus en plus.
Okay c'est une généralité, tous les jeunes ne sont pas concernés, mais une grosse part est quand même en manque de repères et de limites...
T'as pas à le prendre pour toi Norma, toi t'es vieille, t'es née avant la télé réalité et avant facebook ! [/quote]
Et tu peux garantir objectivement que ce n'était pas le cas avant ?
Je me répete un peu, mais je trouve ça extrêmement parlant :
[quote]"Lorsque les pères s'habituent à laisser faire leurs enfants,
Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne,
Alors, c'est là, le début de la tyrannie."
Platon 400 av. JC.
"Les jeunes d'aujourd'hui aiment le luxe, ils sont mal élevés, méprisent l'autorité, n'ont aucun respect pour leurs aînés et bavardent au lieu de travailler."
Socrate 470-399 av. JC.
"Cette jeunesse est pourrie depuis le fond du cœur. Les jeunes sont malfaisants et paresseux. Ils ne seront jamais comme la jeunesse d' autrefois. Ceux d'aujourd'hui ne seront pas capables de maintenir notre culture."
Inscription babylonienne. Plus de 3000 av. JC.
"Notre monde a atteint un stade critique. Les enfants n'écoutent plus leurs parents. La fin du monde ne peut être très loin."
Prêtre égyptien. 2000 av. JC.[/quote][/quote]
Ce que tu cites là n'est en rien contradictoire avec ce que j'ai dit précédemment. Il peut très bien y avoir eu dans l'antiquité des périodes où "la jeunesse" n'était pas plus enviable que celle d'aujourd'hui.
Peut être que je me trompe mais il me semble que dans ma jeunesse, les jeunes était beaucoup moins superficiels plus respectueux, et semblaient avoir d'autres valeurs que celles qui pourront tomber au fond de leur porte-monnaie.
Peut être que je me trompe, que j'étais particulièrement conne et innocente étant jeune, qu'en grandissant je me suis pris plein de parpaings dans la gueule et que je suis très vite passé de trop bon trop con à vieux con... ou alors j'ai un peu raison : les jeunes manquent de limites et de valeurs morale.
Je dis pas que les jeunes étaient parfaits à mon époque, loin de là, mais il y'avait alors un semblant de valeur morale dans nôtre société.
Je ne suis pas là, vous ne me voyez pas, ce n'est qu'une illusion. Rendormez-vous.
De toute façon c'est pas le débat. La supposée décadence des "jeunes d'aujourd'hui" qui ne sont effectivement pas tous pareils en dépit de ce qu'on peut penser en observant très superficiellement les effets de mode adolescents qu'on a tous plus ou moins suivis à cet âge (et même, ils sont suffisamment diversifiés maintenant pour faire émerger les individualités plutôt qu'autre chose, les individualités sont justement ultra marquées aujourd'hui donc une formule comme "les jeunes de nos jours" n'a pas grand sens) n'a rien à voir avec le désir d'avoir ou non des nains. Enfin, c'est pas une raison souvent formulée quoi. Quelqu'un qui ne veut vraiment pas d'enfants n'aura à mon avis pas comme argument principal "de toute façon c'est la merde avec les jeunes d'aujourd'hui". C'est quand même un peu plus profond que ce genre de lieux communs le désir ou le non-désir d'enfants.
Pour en revenir au sujet, moi j'en veux 0,5. Ce qui signifie qu'avoir un enfant n'est pas dans mes priorités de vie, que je pourrais tout à fait accepter le fait de ne jamais en avoir si les circonstances de la vie font que je ne peux pas/veux pas en avoir, mais que dans une situation éventuellement optimale, avec une compagne stable, un moyen acceptable pour moi (donneur inconnu c'est juste hors de question pour ma part) une législation plus claire que maintenant et un grand nombre d'autres objectifs beaucoup plus prioritaires réalisés auparavant, oui, je pourrais envisager de tenter le coup. Et je dirais même que je préférerais le porter. Je crois que je me sentirais vraiment complètement confuse et inutile à vivre avec une femme enceinte, je préfère l'être moi même. Mais j'en suis clairement pas là, et vu que je ne me pense pas faite pour la vie de couple traditionnelle, ça n'arrivera probablement jamais, ou alors quand il sera trop tard biologiquement. Mais on ne sait jamais.
Donc je me situe à mi chemin entre les "un enfant moi jamais, autre chose à foutre" et les "peut-être un jour". Ce qui semble situé quelque part entre Norma et Sarablue mais plus proches de Norma que de Sarablue quand même car je n'ai jamais du tout rêvé de famille nombreuse, si je remonte à mes souvenirs avant que l'homosexualité ne casse tout et me force à me dire que je n'en aurais jamais je me voyais curieusement avec un enfant, oui, un. Pas "deux, car un c'est triste, il faut lui faire un petit frère ou une petite soeur", pas de "marié, deux enfants", pas de, "c'est quand le deuxième". Non, 1. Pas deux, pas trois, pas trente, 1 dans l'idéal, si je ne trouvais pas ce monde complètement fou pour élever des gamins, si la législation était meilleure (hors de question pour ma part d'une famille homoparentale dans l'état actuelle des choses), si je n'avais pas trente-six autres priorités, si on pouvait faire des enfants entre femmes et qu'il fallait pas faire tout un tas de trucs que j'ai pas envie de faire pour en avoir, bref... Beaucoup de choses rentrent en compte. Ce sera 0,5 pour moi, et plus vraisemblablement 0 que virgule 5, je pense.
Donc je soutiens la cause. Et je plains particulièrement les femmes hétéros qui n'ont pas d'enfants, qui s'en foutent, et dont l'entourage ne s'en fout pas. Ca c'est peut être aussi dur que les lesbiennes et les couples hétéros stériles qui en veulent, et qui peuvent pas. Aucune raison de les opposer, c'est juste mal foutu. Mais les gens qui disent que ne pas vouloir d'enfant est égoiste sont de gros hypocrites car ils veulent un enfant pour eux mêmes, incapables qu'ils sont de se réaliser autrement ou de combler leurs manques affectifs ailleurs. Pour moi c'est ça le véritable égoïsme. Avoir des enfants sans assumer de les élever pour autre chose que "pour soi", en les brimant, comme font beaucoup de parents, si ce n'est la majorité.
dulcinée a écrit :sérieux j'aime les enfants, mais je trouve c'est un boulot monstre
c'est non stop un enfant 24 heures sur 24 365 j etc..;
et en plus en général qu'elle ingratitude,
je le sais parce que moi j'étais un enfant quasi ingrat
mais je vois, que l'ingratitude c'est choses courante
quand ils ont dépassés les 20 ans
enfin bref, je m'en félicite tous les jours ...
quel tracas, les enfants
De son côté, le monde se félicite de savoir que tous les enfants ne sont pas ingrats, tout du moins pas toute leur vie.
Oui, ils ne sont pas tous ingrats (heureusement), certains sont même reconnaissant. Merci papa, merci maman de payer mon loyer
Sinon, pour être dans le sujet : Avoir des enfants, c'est culturel. Dans certaines sociétés ne pas avoir d'enfant est très, très mal perçu. C'est juste pour dire que, avoir des enfants est un fait de culture.
Personnellement, je ne veux pas d'enfant. J'ai jamais eu ce désir de vouloir être mère. Peut-être qu'un jour ça viendra... ou pas. Mais j'en doute. En plus, je ne pense pas que je pourrais faire une bonne mère.