patatas a écrit :Intéressant ça ... Par contre est ce que l'étude stipule à partir de quand elle considère que quelqu'un est consommateur de cannabis ? Enfin quel type de consommateur a été ciblé pour l'enquête !
Quand il en consomme.
Bon ok... Ces études sont menées sur des consommateurs chroniques. Ce qui doit signifier qu'elle cible soit de véritables toxicomanes, soit des personnes dont la dépendance n'est pas avérée mais dont la consommation est relativement régulière. ( Différence tenue dit comme ça. )
Ok c'est ce que je pensais. Parce que si un mec qui fume un joint toutes les deux semaines risquait de devenir schyzo, je crois que les gouvernements lutteraient plus contre les spliffs =)
Mais enfin ça n'enlève rien à l'intérêt de l'enquête. C'est possible d'avoir le lien ? J'aimerais bien le montrer à quelqu'un !
Je me drogue pas,je n'est jamais toucher a une cigarette mais comme presque tout le monde un verre d'alcool une fois de temps en temps.
-Coktail
-Malibu
-Champagne
Pas mal de cuites étant ados à boire à m'en rendre malade, quelques rares fois jusqu'à vomir.
Un peu de shit, un peu de beuh, sans trop d'excès.
Des gros gros excès niveau gateaux industriels, bonbons et autres saloperies vers l'âge de 13 17 ans j'en avalais des paquets entiers d'un coup je me rends compte à quel point c'était mauvais maintenant.
Je bois du café, beaucoup.
Par contre je considère avoir gagné au change niveau alcool et joints: il y a bien deux ans pour moi ça se résumait à se déchirer la gueule avec un pack de Kro et un pote déjanté au fin fond de la cambrousse en fumant du shit en même temps. Première cuite à 14 ans le but étant d'être le plus déchirée possible bien entendue! Des joints qui foutent le flip et mal au crâne.
Des mauvaises expériences réitérées plusieures fois, certes, mais jamais été accro.
Aujourd'hui je fais plus de conneries de ce genre, j'ai gagné en maturité, ce qui fait que j'apprécie d'autant plus un petit verre en terrasse avec ma nana, une soirée un peu alcoolisée ou un petit pétard par mois. Question de mesure. Rien avoir avec avant.
J'ai voulu fumer; une clope est mal passée, du coup, je n'ai pas continué.. Je supporte pas le goût, ni l'odeur (quoique, l'odeur, ça va, je suis habituée aux fumeurs)..
Les joints, j'ai testé récemment, trois ou quatre fois.. Je n'en ferai pas une addiction, ne comptant pas en acheter moi-même, et n'en fumant qu'avec G. en qui j'ai confiance
L'alcool, hum, seulement en soirée avec les gens appropriés, et seulement si je peux faire mon whisky-limo (je n'aime pas la bière, et j'ai jamais testé d'autres alcools forts, hormis champagne, vins, etc qui ne passent qu'en petite quantité -sauf le rouge que je n'aime pas)..
Et sinon, on peut dire que je suis addict à la scarification (même si je fais de mon mieux pour éviter, et même si je m'étais calmée pendant plus d'un an).. Je pense d'ailleurs que les joints ou l'alcool ou tout ce qui est considéré comme nocif pour la santé (et qui peuvent créer des addictions) rejoint l'envie de se faire du mal qu'est la scarification..
Quoi, moi, aller chez un psy ? oui, oui, je sais, un jour peut-être...
Je sais, c'est le mal, mais je n'ai pas lu les 7 pages précédentes avant de répondre. Ce que je vais dire a probablement été dit, mais bon...
Le cannabis n'est pas addictif physiquement!
Peut-être que ça devient une habitude, mais tu ne peux pas devenir accro, comme pour la nicotine, la cafféine, ect... (par contre, evidemment, si l'on fume mélangé avec du tabac, comme très souvent en France, on devient accro au tabac, c'est logique...). Il vaut mieux fumer pur, dans une pipe en verre, par exemple.
Une certaine substance hallucinogène (L*S*D pour ne pas la nommer) a radicalement changé la perspective de gens sur beaucoup de choses, mais aussi, au niveau artistique, elle permet de stimuler grandement l'imagination. Elle a, comme dirait Aldous Huxley (auteur du grand classique 'Le meilleur des mondes' qui d'ailleurs était grand adept de cette drogue) 'ouvert les voies de la perception'. Je vous invite à faire de la recherche au sujet du L*S*D : Timothy Leary, experiences sur soldats pendant la 2nde guerre mondiale, Aldous Huxley, et sa mort, Ken Kesey, Doc Ellis..........
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Quelques consignes essentielles à respecter !!
Consommer avec modération et ne pas surestimer ses limites, jamais! Ça peut être une question de vie ou de mort.
Se renseigner extensivement sur tout ce que l'on pourrait prendre.
Toujours savoir d'où vient la marchandise, et s'assurer de la qualité. (on coupe très très souvent avec du grand n'importe quoi hautement toxique, qui endomage à vie, donc c'est quelque chose de trèèès important à faire.)
Quand l'on prend quelque chose, c'est dans un but précis, on sait pourquoi on est en train de faire ça. Si c'est pour s'ammuser, connaître ses limites, et ne surtout pas essayer de les pousser!
Il ne fait surtout pas mélanger les drogues!! Ça peut très vite avoir des conséquences mortelles! (ne pas mélanger avec de l'alcool ou certains médicaments non plus, ce sont des drogues aussi, hein)
Être dans un lieu sûr.
Un trip de L*S*D dure 12 heures. Pour avoir une bonne experience, il faut absolment être dans un endroit ou l'on sera serein, et surtout avec quelqu'un qui n'es PAS sous l'influences de drogues pour être là si jamais il y aurait un problème, mais aussi pour s'occuper de vos besoins.
Le D*M*T, c'est beaucoup plus intense, compressant une experience en 25 minutes d'une extrème intensité psychique! Pareil, il faut surtout une personne pour vous guider!! Je déconseille vivement le D*M*T aux personnes qui n'ont pas eu 2 ou 3 experiences hallucinogènes avant (et il faut qu'elles aient étés positives).
Le peyotl a beaucoup d'effets secondaires instantanés, comme la nausée, l'évanouissement, et, selon les façons dont il a été administré, une douleur intense^^ (je suis pas fan, quoi, mais j'dis ça, j'dis rien...)
Quelques précisions sur les drogues hallucinogènes :
1 Absolument ne jamais en faire si on a des problèmes mentaux, des troubles émotionnels, maniaco-dépréssifs, schizophrènes, dépressif, ou même sensible (rupture, mort d'un proche, ect...). Liste non exhaustive.
2 Toujours avoir quelqu'un qui n'est pas sous l'influence avec soi, qui sait les conduites à suivre, nottament comment vous rassurer si vous faites un 'bad trip'.
Les 'bad trip' arrivent en grande majorité quand un des points ci-dessus n'est pas respecté. Et c'est vraiment une experience qui peut être extrêmement traumatisante pour certaines personnes.
Pour l'ex*ta*sy : toujours penser à boire, boire, boire! (de l'eau, hein) Si on y pense pas activement, on oublie et on se déshydrate complètement. Ne pas en prendre trop, sinon, on devient hyperexcité, et c'est assez horrible...et pas glamour non plus^^
Pour la c*o*ke, le sp*e*ed et l'h*é*roï*ne... franchement, ne JAMAIS en faire. C'est HAUTEMENT addictif, et complètment destructeur pour votre corps, comme pour le cerveau! Mais si jamais la tentation est trop forte, essayez qu'une fois, et une fois seulement. Et encore. Vraiment à éviter à tout prix.
Si jamas vous en faites malgré tout, ne jamais partager sa paille, ou sa seringue avec une autre personne. C'est comme ça qu'on attrape l'hépatite C (je crois que c'est C mais je confond toujours entre B et C...), le sida, les MST ect...
J'ai fait un sommaire de quelques drogues, il y en a bien d'autres, mais celles-ci sont les plus 'classiques'.
Et l'essentiel : on a mesuré les conséquences de ses actions.
Toutes ces drogues sont très illégales. Elles sont punies sévèrement par la loi. Ce que vous décidez de faire n'est pas anodin, loin de là. Ça doit être votre choix, et ne doit pas être fait sous la pression de quelqu'un d'autre. Vous devez être pleinement conscient de vos actions, et surtout, renseignez-vous!
Ce que j'ai dit n'est qu'une liste de conseils non exhaustive. Je n'ai pas focalisé sur l'aspect moralisateur, je m'adresse plus à des gens qui veulent le faire malgré tout pour essayer, pour faire en sorte que leur experience se passe le mieux possible. Si jamais il y a des erreures ou des ommissions, ça serait sympa de compléter cette 'liste de conseils'. Je suis désolée d'avoir utilisé autant de superlatifs, je veux seulement insister sur certaines choses.
Je n'ai pas focalisé non plus sur les effets secondaires de la prise des drogues que j'ai nommé ici, mais encore une fois, renseignez-vous de votre côté!
( Différence tenue dit comme ça. )