Le sourire si important que ça?

[Marçenio]

Bonjour à vous tous, cachés derrière votre écran d'ordinateur!

J'aimerais que vous répondiez à ce sondage le plus sincèrement possible afin de m'aider...

Beaucoup de personnes disent que le sourire à une réelle importance dans la vie sociale, la vie de couple...j'ai lu de nombreux articles qui traitent de ce sujet.
Seulement j'ai un problème...( et pas des moindres )
Si vous voulez j'arrive à rire, à pouffer et à m'esclaffer à pleines dents mais je n'arrive pas à sourire ( vous moquez pas! )
C'est pourquoi votre avis m'intéresse car c'est vraiment un handicap, souvent on me demande pourquoi je suis triste( de visage ) alors que je me veux impassible. Et lorsque je veux sourire par sympathie, ça me demande un effort tel que je me dis c'est pas possible que les autres y arrivent si facilement, si simplement et pas moi!
Est ce pareil pour tout le monde? ( même si j'en doute )

Y a t'il des gens qui sont sujet aux mêmes difficultés?

Je pense que pour sourire si simplement il faut y avoir une pensée, une motivation plaisante derrière sauf que j'en ai pas où du moins j'en trouve rarement au bon moment!
Si vous avez aussi des idées de "motivations" ou des conseils pour faire évoluer un peu mes zygomatiques je suis vous écoute.

Merci beaucoup

[jordy]

Moi, j'ai un stickers sourire collé sur mon visage ! Je ne peux m'en empécher, c'est presque l'expression que j'ai tout le temps !
Je ne sais pourquoi, je crois que je suis heureux, et au final ça enchante la vie autour de moi.
Pas un sourire niais nan un vrai sourire, et que du coup les gens rendent.

Un peu comme une chaine, tu souris à une personne, elle sourit, du coup qq1 d'autre la voit sourire et fait de même...et si on si met tous, on fera sourire tout le monde (non non non je ne suis pas utopiste, ni en mode bisounours)

Mais c'est vrai que du coup, mes autres expressions peuvent être impressionnantes quand on me connait et qu'on a l'habitude du sourire. Et j'ai du mal à faire la gueule bien longtemps...si quelqu'un me fixe longtemps, je finis toujours par resourire !!!

Mais moi je trouve que c'est important, parce qu'un petit sourire ça vous change la vie.
Exemple tout con, les caissières (pardon...politiquement correct : les hôtes/ses de caisse) qui ne pratiquent pas le SBAM (sourire bonjour aurevoir merci) bin ça m'horripile, alors que dès qu'il y a un ptit sourire, bin ça donne envie de discuter, et ça aide à mieux faire passer la carte bleue dans la machine...enfin je trouve !!!

[Fade Out]

J'ai répondu sincèrement, le sourire me séduit beaucoup donc pour moi c'est important.
Je ne savais pas que certains avaient du mal à le faire...

[Billy]

Le sourire, pour moi, est une autre façon de respirer. Qu'il vienne de moi (satisfaction personnelle donc égoïste) ou de la personne que j'ai en face de moi. C'est une forme de politesse. Les personnes qui ont le sourire difficile m'ennuient. Ca ne coûte rien. Je sais reconnaitre le sourire sincère du sourire faux cul. Donc, souriez, vous êtes pistés. Mais souriez.
J'ai répondu que c'était très important, bien entendu.

[anonymeB]

Je souris quand je rigole, mais par contre je n'aime pas du tout sourire aux gens.

Typiquement, parce que comme Solveig, "Souriez, vous êtes pistés". Donc si je ne souris pas, les gens sont perdus, ne savent pas à quoi s'en tenir, donc c'est parfait. Et si ils me trouvent ennuyeux, c'est encore mieux, comme ça ils m'embêtent moins

[The ChaBox]

Alors, je n'ai pas répondu mais ça m'a interpellé.
"Ne pas pouvoir sourire" ça peut paraître totalement débile pour certains qui rien qu'en entrouvrant leurs lèvres, dévoilent leurs 32 dents sans effort.
Mais c'est pas si évident ! Je suis bien dans ma vie en général, j'ai envie de sourire aux gens, de partager ses petites joies que je vis au quotidien, être polie, etc. Mais je ne PEUX pas ! En forçant ça passe, mais alors ça paraît hypocrite, c'est moche en plus.
Bref ! Tout ça pour dire que si je n'arrive pas à sourire c'est à cause d'un problème de dents. Donc je voulais voir si c'était vraiment psychologique ou si ça pouvait être physique le fait que tu aie du mal à sourire.
Et je vais me coucher je crois...

[Marçenio]

"Ne pas pouvoir sourire" ça peut paraître totalement débile pour certains qui rien qu'en entrouvrant leurs lèvres, dévoilent leurs 32 dents sans effort.
Mais c'est pas si évident ! Je suis bien dans ma vie en général, j'ai envie de sourire aux gens, de partager ses petites joies que je vis au quotidien, être polie, etc. Mais je ne PEUX pas ! En forçant ça passe, mais alors ça paraît hypocrite, c'est moche en plus. Very Happy
Bref ! Tout ça pour dire que si je n'arrive pas à sourire c'est à cause d'un problème de dents. Donc je voulais voir si c'était vraiment psychologique ou si ça pouvait être physique le fait que tu aie du mal à sourire.

C'est exactement la même réaction que toi The ChaBox, dans ses situations mon sourire fait vraiment faux du genre "Hinhin c'est cool mais j'peux arrêter de sourire maintenant?!" sauf que je n'ai réellement aucunes raisons physique ou esthétique de cacher mes dents.

Ptete que jordy à raison...il doit probablement falloir être heureux ( whaou prix de conjugaison xD ) ( en même temps j'y avais pas pensé... ) J'suis heureux, j'crois.

Mais y'a surement des gens qui arrivent à sourire sans être heureux?

J'aimerais vraiment savoir qu'elles peuvent être leurs motivations si ces gens existent...

( Je crois aussi que j'vais me coucher sinon j'vais finir par dire n'importe quoi... )

[Nomade]

Pour moi aussi le sourire est extrêmement important et je pense être assez généreux avec ça. Dès que je suis avec du monde je souris, il m'arrive aussi de sourire tout seul ou quand je suis entouré mais que personne ne s'adresse à moi, juste parce que je pense à quelque chose d'agréable. Je ne pense pas être niais pour autant, simplement... souriant.
Et il y a différents sourires : je pratique avec assiduité le sourire franc, le sourire moqueur et le sourire hypocrite (qui est une variante du sourire moqueur mais qui doit réussir l'exploit de ressembler au sourire franc). Le sourire triste et le sourire vengeur ne sont pas de mon ressort, par contre.

C'est une expression tout à fait naturelle chez moi et si elle peut adoucir la vie des autres, tant mieux. Comme Jordy, c'est quand j'arrête de sourire que les gens s'inquiètent, parce que ce n'est pas mon état normal (d'autant que quand je ne souris pas c'est souvent parce que je décoche un regard meurtrier au monde qui m'entoure). Sourire, c'est bien.
J'ai eu un entraînement de compétition aussi : petit, à chaque fois que je boudais, mon père me fixait jusqu'à ce que je sourie (ce qui m'énervait prodigieusement parce que ça revenait à me pousser à nier moi-même la cause de mon exaspération), et ça fonctionnait en général en moins de 5 secondes. Du coup j'ai gardé le pli : on me regarde, je souris. Et comme la vie est belle, il n'est pas toujours nécessaire qu'on me regarde.

Pour rebondir sur ce qu'a dit The Chabox, quand j'étais plus petit j'ai eu un appareil dentaire, et tout le temps que je l'ai gardé, j'ai souri sans desserrer les lèvres, plus ou moins consciemment. Le retour du "sourire denté" s'est fait naturellement une fois que je n'ai plus eu l'appareil.

Par contre Marçenio, je n'ai pas de remède miracle à te proposer...

[Régal Délice]

C'est très important le sourire. Ca peut être juste un petit sourire, pas besoin d'en faire trop. Attention à la feuille de salade qui gâche de façon certaine les plus beaux sourires !

[Tempérance]

J'ai voté "extrêment important ...*


Mon sourire, c'est simplement l'expression de la joie de vivre intérieure pour les petites choses du quotidien, cela fait partie de mon identité, bien que je sois aussi une personne pleine de questionnement tout le temps.

Avec le temps et l'expérience de la vie, j'arrive assez bien à déterminer les attitudes forcées ou pas, gardant à l'esprit le principe que chacun a son chemin de vie et que chacun a droit à son jardin secret même quand il s'agit de son comportement en société (même si, face à une personne taciturne, il y a peu de chance que je fasses le premier pas, à cause de souvenirs encore trop vif de comportements systématique de rejet à mon égard, j'étais une toute jeune gosse, y a prescription ).

Peut-être est-ce mon passage en pension dés 10 ans et jusqu'à mes 17 ans qui m'ont donné quelques clefs pour bien vivre en groupe, quelques règles simples qui font que tu n'est pas stigmatisée comme un "problème" mais que tu est perçue comme une "solution" (on garde des automatismes j'imagine).

Faut dire que trois mouflettes d'un coup dans un groupe, cela arrange bien des péripéties d'intégration