Le nominalisme.
Publié : jeu. déc. 16, 2010 8:02 am
Je voulais poster dans la rubrique animaux de compagnie mais bizarrement j'ai l'impression que cette rubrique a disparue.
Je suis d'accord avec les métaphysiciens qui soutiennent qu'il n'y a que des individus sur terre et pas d'éspèce. Et l'argument des biologistes consistant à dire que si car certains groupes d'individus se reproduisent entre eux est un peu facile au fond, ça peut ne pas être vrai.
Dans Ainsi parlait Zarathoustra, Nietzsche fait l'apologie des animaux, contrairement aux existentialistes qui ne parlent que de l'homme.
Dans le topic cité ci dessus, un membre (un mathématicien en plus) disait qu'il ne comprennait pas qu'on puisse préférer la compagnie d'animaux à la compagnies d'êtres humains mais je trouve que quand on dit ça, c'est vraiment intolérant au fond, ça veut dire qu'on considère qu'il y a une différence entre l'homme et l'animal, qu'il y a une éspèce homme et une éspèce animal, moi je suis pas d'accord, il n'y a que des étants et on peut préférer la compagnie d'un individu qui n'a pas le même physique ni le même langage que nous.
Je vais même aller plus loin, je trouve que les gens qui disent qu'ils ne comprennent pas qu'on puisse avoir de l'attachement pour un animal plutôt que pour un "homme" (un autre animal pourtant) c'est une forme de racisme.
L'animal nous renvoie justement par son regard à ce que nous croyons être notre humanité mais au fond c'est toujours une interpretation.
En vertu de quoi, attribuer davantage d'importance à ce que nous appelons l'homme qu'à l'animal? Sinon une dénomination arbitraire?
Je suis d'accord avec les métaphysiciens qui soutiennent qu'il n'y a que des individus sur terre et pas d'éspèce. Et l'argument des biologistes consistant à dire que si car certains groupes d'individus se reproduisent entre eux est un peu facile au fond, ça peut ne pas être vrai.
Dans Ainsi parlait Zarathoustra, Nietzsche fait l'apologie des animaux, contrairement aux existentialistes qui ne parlent que de l'homme.
Dans le topic cité ci dessus, un membre (un mathématicien en plus) disait qu'il ne comprennait pas qu'on puisse préférer la compagnie d'animaux à la compagnies d'êtres humains mais je trouve que quand on dit ça, c'est vraiment intolérant au fond, ça veut dire qu'on considère qu'il y a une différence entre l'homme et l'animal, qu'il y a une éspèce homme et une éspèce animal, moi je suis pas d'accord, il n'y a que des étants et on peut préférer la compagnie d'un individu qui n'a pas le même physique ni le même langage que nous.
Je vais même aller plus loin, je trouve que les gens qui disent qu'ils ne comprennent pas qu'on puisse avoir de l'attachement pour un animal plutôt que pour un "homme" (un autre animal pourtant) c'est une forme de racisme.
L'animal nous renvoie justement par son regard à ce que nous croyons être notre humanité mais au fond c'est toujours une interpretation.
En vertu de quoi, attribuer davantage d'importance à ce que nous appelons l'homme qu'à l'animal? Sinon une dénomination arbitraire?