Peut-être que le calcul des cours d'appels était que dans ce cas ,unetribiout a écrit :Et jamais vous pensez au bien etre de l'enfant?
Comment un juge peut accepter l'adoption d'un enfant à la compagne de sa mere....![]()
On croirait rêver...![]()
Imaginons que le juge dise "oui"... le lendemain là compagne et la mere s'engueulent, la compagne se barre.... elle peut embarquer le gosse sans devoir de compte à personne... brisant la mere et l'enfant!
Dans ce procès il n'a pas été question de partage de l'autorité... mais d'adoption!
action en justice pourrait avoir lieu pour demander le partage de l'autorité parentale.C'était d'ailleurs la possibilité qu'elles laissaient (plus ou moins implicitement )dans un deuxième temps .En fait ,dans ce procès ,il s'agit d'une adoption en vue du partage futur de l'autorité parentale.
[On peut noter que pour un couple marié,l'adoption de l'enfant biologique du conjoint aboutit au partage de l'autorité parentale.]
En l'absence de toute procédure ,imaginons que la mère biologique s'en aille...L'autre mère n'a quasiment aucun droit ,l'enfant n'a pas non plus le droit de voir son lien avec elle maintenu.
Que la décision de la cour de cassation soit conforme ou non,on peut légitimement se demander dans laquelle des deux situations l'intérêt de l'enfant est respecté,non?
J'espère vraiment que quelque soit la position du prochain gouvernement sur l'homoparentalité ,il sache faire passer la sécurité affective de l'enfant avant ses considérations sur sa "vision de la famille"et le contexte dans lequel il a été conçu et/ou accueilli,dont il n'est en aucun cas responsable.
Apparement ,c'est pas gagné.