Végétariens et/ou végétaliens en discussions
Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
Je ne suis pas intervenu dans le débat, mais dans mon très humble avis (non je plaisante, j’énonce toujours un évangile à chacune de mes paroles !), végétariens, carnivores et autres se fourvoient tous en pensant que tel régime alimentaire apportera la paix dans le monde et de la pitance à tous (particulièrement le premier post de Manchette, édifiant). C’est incroyable d’avoir la prétention que son propre mode de vie (égoïste), que s’il était calqué à grande échelle, serait la panacée universelle.
La réponse est définitivement non. Il y aura toujours des crèves la faim. Et c’est (presque) tant mieux (du moins selon le point de vue de certains).
Et d’ailleurs, même les universités américaines planchent dessus, mais pour éradiquer au sens propre les pauvres, les paysans et ce genre de choses. Et c’est nettement plus facile que de faire l’opération inverse.
Personnellement, je bouffe n’importe quoi. Mais c’est vrai que la petite phrase sur le manque de culpabilité des carnivores est assez drôle. Personnellement, je pense souvent plus aux personnes qui meurent de faim par les causes directes de la production de nourriture dans le monde plutôt qu’au pauvre animal, que j’aime bien sanguinolent (difficile dans ces conditions de ne pas voir qu’il fut autrefois, dans un temps pas si lointain, un machin qui broutait de l’herbe ou des farines pas trop animales et gambadait dans son enclos ridicule).
Bref, nous bouffons tous de la merde et ce débat est fichtrement inutile (mais ce n’est que mon humble avis).
Et puis mon régime alimentaire, c'est le cynisme, qui se compose de viande de niais.
La réponse est définitivement non. Il y aura toujours des crèves la faim. Et c’est (presque) tant mieux (du moins selon le point de vue de certains).
Et d’ailleurs, même les universités américaines planchent dessus, mais pour éradiquer au sens propre les pauvres, les paysans et ce genre de choses. Et c’est nettement plus facile que de faire l’opération inverse.
Personnellement, je bouffe n’importe quoi. Mais c’est vrai que la petite phrase sur le manque de culpabilité des carnivores est assez drôle. Personnellement, je pense souvent plus aux personnes qui meurent de faim par les causes directes de la production de nourriture dans le monde plutôt qu’au pauvre animal, que j’aime bien sanguinolent (difficile dans ces conditions de ne pas voir qu’il fut autrefois, dans un temps pas si lointain, un machin qui broutait de l’herbe ou des farines pas trop animales et gambadait dans son enclos ridicule).
Bref, nous bouffons tous de la merde et ce débat est fichtrement inutile (mais ce n’est que mon humble avis).
Et puis mon régime alimentaire, c'est le cynisme, qui se compose de viande de niais.
Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
c'est fou quand même pasque vous ( les végétariens ) avez dit qu'il ne fallait plus manger de la viande qu'il faut passer les autres pour des cons , des abrutis , des assassinsNon, on pourra écrire 10 000 pages et pas avancer d'un iota tant que tu te refuseras à un tout petit peu entendre les arguments de la partie adverse.
En l’occurrence, ça SUFFIT : il y a un consensus scientifique CLAIR pour dire que l'être humain n'a pas BESOIN de manger de la viande. Prétendre le contraire, c'est tout simplement se foutre la tête dans le sable et faire preuve d'une mauvaise foi délirante.
sortez un peut de votre monde vous verrez que la vie n'est pas toute rose ou toute noire
s'il y a un " consensus scientifique " ( comme tu le dis ) qui prouve ca je serais honorer de le lire mais évite les trucs pro végétarisme pour moi ca n'a aucun sens
C'est donc grotèsque de t'amuser à tenter de caricaturer la partie végétarienne en suggérant qu'elle propose de manger de l'herbe ou de l'herbe, et que c'est donc déséquilibré, et qu'on tente en prime de t'ôter ton apport carné qui te serait précisément indispensable. C'est vraiment vexant et désespérant de te voir faire ça après 8 pages de topic. On se DEMANDE si tu sais lire !
oui c'est vexant et c'est surement fait pour
c'est tout aussi vexant pour moi de lire ( et d'entendre ) quand arrêtant de manger de la viande on sauverait le monde de la faim a croire que certain on besoin de cette argument pour justifier leur végétarisme
oui j'ai vraiment l'impression qu'on veut me faire passer pour un vilain petit canard pasque je mange de la viande même si c'est peut être pas le but premier
si j'ai pas changé de discourt c'est peut être que rien n'a fait pour nan? tu sais du végétarisme pour moi ce n'est pas la solution et encore rien ne m'a prouvé le contraire. je suis borné ou tous se que tu voudras mais voila c'est mon avis tu as le tien ( que je respect) on ne va pas se détester pour si peu
edit : Laharl tout a fait d'accords avec toi d'ailleurs je vais laisser les pro végétarien entre eux
Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
(Je précise tout de suite que je ne viserai personne en particulier dans les lignes qui vont suivre sauf précision contraire, inutile de chercher des attaques ad hominem là où il n'y en a pas)
Débat intéressant, mais je trouve que son intensité quasi-théologique est peut-être un poil disproportionnée par rapport à l'enjeu. Je pense que l'intervention de Caleb est l'une des plus pertinentes des 8 pages que j'ai lu intégralement :
Un changement important des modes vie, notamment occidentaux, est inévitable. Mais je refuse en revanche le discours moralisateur et culpabilisant de certains rangs de l'écologie politique et de la communication officielle faisant reposer sur les consommateurs-trices la responsabilité de la catastrophe écologique en cours. Parce que je considère que c'est une confortable forfaiture. Quoi, la situation actuelle ne viendrait donc pas de politiques publiques délibérées de promotion de l'industrie agro-alimentaire ? De soutien à la surproduction ? De déréglementation des échanges économiques et de suppression des barrières douanières ? Non, bien sûr, ce sont certainement les consommateurs-trices qui ont exigé ces dispositions.
Visiblement, c'est devenu le summum de l'audace pour nos dirigeant-e-s d'exiger un comportement responsable des citoyen-ne-s, mais à quand le courage de regarder en face la vérité un peu plus dérangeante de la responsabilité des politiques publiques dans la catastrophe environnementale actuelle ? On aimerait entendre les Verts, Arthus-Bertrand, Hulot sur ce sujet, au lieu de, par exemple, soutenir aveuglément une politique de taxation environnementale qui va d'abord pénaliser les classes populaires au lieu des vrais pollueurs. On aimerait voir une remise à plat du modèle agricole français qui enferme les agriculteurs-trices dans un cercle vicieux de production et d'endettement qui les pousse à faire appel, année après année, à l'aide de l'État. On aimerait voir ce même État faire respecter les lois environnementales en cours, rien que ça ça serait déjà bien et ça réglerait quelques problèmes écologiques basiques.
Bref, je respecte les végétarien-ne-s (et les admire quelque part, en ce qui me concerne je ne pourrais pas me passer de viande, sauf nécessité absolue
), mais je trouve que leur message se trouve trop souvent réduit à une énumération de faits et d'arguments certes intéressants, mais à qui il manque une articulation plus "globale" de la question.
Bref, la prise de conscience c'est nécessaire, mais pour paraphraser Caleb, si elle n'impacte que les comportements individuels sans déboucher sur des revendications politiques, sans se tourner trop clairement vers l'industrie et les lobbys agro-alimentaires, vers leurs liens avec les pouvoirs publics, j'ai bien peur que ça ne change pas grand chose. Tant que les nations et les Gouvernements ne passeront pas à une perspective plus globale et plus évoluée que "bouh nous détruisons la planète dans notre vie quotidienne changons nos habitudes imbéciles que nous sommes", les pontifes de Monsanto et de la FNSEA pourront dormir tranquilles.
Débat intéressant, mais je trouve que son intensité quasi-théologique est peut-être un poil disproportionnée par rapport à l'enjeu. Je pense que l'intervention de Caleb est l'une des plus pertinentes des 8 pages que j'ai lu intégralement :
Tout est dit. Une atmosphère de concile pour des comportements individuels qui n'auront qu'une conséquence limitée sur un problème global : comment faire vivre 6 milliards d'êtres humains sur une planète aux ressources limitées et allègrement gaspillées sans recourir à une inenvisageable réduction drastique et violente de leur nombre ?Dans la pratique je pense que cesser de manger de la viande doit avant tout être un choix personnel. Je n'encourage pas les gens à devenir végétariens (soyons réalistes, c'est pas parce que 2 ou 3% de la population décident de boycotter la viande que Charal va fermer boutique)
Un changement important des modes vie, notamment occidentaux, est inévitable. Mais je refuse en revanche le discours moralisateur et culpabilisant de certains rangs de l'écologie politique et de la communication officielle faisant reposer sur les consommateurs-trices la responsabilité de la catastrophe écologique en cours. Parce que je considère que c'est une confortable forfaiture. Quoi, la situation actuelle ne viendrait donc pas de politiques publiques délibérées de promotion de l'industrie agro-alimentaire ? De soutien à la surproduction ? De déréglementation des échanges économiques et de suppression des barrières douanières ? Non, bien sûr, ce sont certainement les consommateurs-trices qui ont exigé ces dispositions.
Visiblement, c'est devenu le summum de l'audace pour nos dirigeant-e-s d'exiger un comportement responsable des citoyen-ne-s, mais à quand le courage de regarder en face la vérité un peu plus dérangeante de la responsabilité des politiques publiques dans la catastrophe environnementale actuelle ? On aimerait entendre les Verts, Arthus-Bertrand, Hulot sur ce sujet, au lieu de, par exemple, soutenir aveuglément une politique de taxation environnementale qui va d'abord pénaliser les classes populaires au lieu des vrais pollueurs. On aimerait voir une remise à plat du modèle agricole français qui enferme les agriculteurs-trices dans un cercle vicieux de production et d'endettement qui les pousse à faire appel, année après année, à l'aide de l'État. On aimerait voir ce même État faire respecter les lois environnementales en cours, rien que ça ça serait déjà bien et ça réglerait quelques problèmes écologiques basiques.
Bref, je respecte les végétarien-ne-s (et les admire quelque part, en ce qui me concerne je ne pourrais pas me passer de viande, sauf nécessité absolue

Bref, la prise de conscience c'est nécessaire, mais pour paraphraser Caleb, si elle n'impacte que les comportements individuels sans déboucher sur des revendications politiques, sans se tourner trop clairement vers l'industrie et les lobbys agro-alimentaires, vers leurs liens avec les pouvoirs publics, j'ai bien peur que ça ne change pas grand chose. Tant que les nations et les Gouvernements ne passeront pas à une perspective plus globale et plus évoluée que "bouh nous détruisons la planète dans notre vie quotidienne changons nos habitudes imbéciles que nous sommes", les pontifes de Monsanto et de la FNSEA pourront dormir tranquilles.
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Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
@ zigomio : http://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9g%C3%A9tarisme
Si c'est pas trop long pour toi, essaie d'arriver jusque là : Le végétarisme est un régime alimentaire qui ne comporte pas plus de risque de carence qu'un régime alimentaire omnivore s'il est suffisamment diversifié. Cette diversification doit concerner principalement les sources de protéines.
Au passage, même si je doute que tu l'ais remarqué, cette assertion n'est ni-pro, ni anti-végétarisme en soi. Elle se contente de dire que le végétarisme n'est pas un régime carencé si on y fait attention, donc qu'il peut être entrepris aussi bien qu'un régime carné omnivore.
Sur ce je m'arrête parce-que tu deviens désespérant et que ça ne sert plus à rien d'argumenter avec toi. Tu mélanges absolument tous les arguments de la partie adverse, modérés ou non, et tu en chies un maelström imbitable pour ensuite te regorger de prouver que c'est une argumentation tirée par les cheveux. Soit, soit. Avec des stratégèmes rhétoriques aussi grossiers, on arrive en insistant un peu à convaincre les débiles profonds, et encore. Pour ma part, n'étant pas débile profond, ça ne marche pas sur moi.
Dans mon message précédent, je n'ai strictement rien dit sur les potentialités contenues dans le végétarisme pour résoudre la faim dans le monde. J'ai d'ailleurs écris plus haut, mais manifestement tu ne te donnes que très superficiellement la peine de lire ce que les autres te répondent, que pour ma part j'étais sceptique sur les capacités du végétarisme à résoudre les problèmes de répartition des ressources de nourriture mondiales, d'autant plus que suffisamment de bouffe est déjà produite à l'heure actuelle pour nourrir tout le monde, mais que dans les faits un quart de l'humanité crève encore de faim. Les problèmes de répartition des richesses ne vont donc pas se résoudre avec le soja et le tofu, on est bien d'accord.
Je te reprenais uniquement au sujet de ton entêtement invraisemblable sur le caractère soit-disant indispensable de la présence de viande ou de poisson ou autre dans un régime alimentaire humain pour être équilibré et physiologiquement satisfaisant pour un adulte. C'est faux, et tu dois être à peu près le seul participant de ce topic à prétendre l'inverse. Tu es donc paradoxalement le pro-viande le plus sincèrement convaincu puisque tu t'imagines que c'est en fait vital d'en consommer, et par ailleurs celui qui fournit les argumentations que je trouve les moins convaincantes et les plus tirées par les cheveux... beau travail.
Je persiste : si tu n'as pas été fichu de faire évoluer ta perception des choses quant à cette question (je n'ai pas dit changer d'avis), c'est uniquement de ton fait, puisque tu n'es parvenu à aucun moment à intégrer les arguments de la partie adverse. Que ça soit par manque de facultés cognitives ou par mauvaise foi, ça n'est pas tant la question ni mes affaires. Je constate que huit pages après tu continues à débiter des énormités (prétendre qu'ingérer de la viande régulièrement pour ne pas souffrir de carence alimentaire en est une), et à être à côté de la plaque. Je pense donc que je vais cesser de te répondre, non pas que la toute-puissance de ton argumentation m'aurait convaincue, mais parce-que j'ai perçu que c'était totalement et radicalement vain. Tu te plains de passer pour un "vilain petit canard" parce-que tu persistes à vouloir consommer de la viande. Pour ma part ça n'est pas du tout le cas, mais en revanche tu te débrouilles à merveille pour passer tout seul comme un grand pour un mec incapable de débattre en s'appropriant l'argumentation adverse et sans se braquer. A toi de voir si c'est pire.
Je précise à toute fin utile que par ailleurs, plusieurs arguments émis par d'autres sur l'enthropocentrisme et la condition animale, qui vont dans le sens d'une liberté de consommer de la viande, m'ont interpellé, et amené à réfléchir.
Si c'est pas trop long pour toi, essaie d'arriver jusque là : Le végétarisme est un régime alimentaire qui ne comporte pas plus de risque de carence qu'un régime alimentaire omnivore s'il est suffisamment diversifié. Cette diversification doit concerner principalement les sources de protéines.
Au passage, même si je doute que tu l'ais remarqué, cette assertion n'est ni-pro, ni anti-végétarisme en soi. Elle se contente de dire que le végétarisme n'est pas un régime carencé si on y fait attention, donc qu'il peut être entrepris aussi bien qu'un régime carné omnivore.
Sur ce je m'arrête parce-que tu deviens désespérant et que ça ne sert plus à rien d'argumenter avec toi. Tu mélanges absolument tous les arguments de la partie adverse, modérés ou non, et tu en chies un maelström imbitable pour ensuite te regorger de prouver que c'est une argumentation tirée par les cheveux. Soit, soit. Avec des stratégèmes rhétoriques aussi grossiers, on arrive en insistant un peu à convaincre les débiles profonds, et encore. Pour ma part, n'étant pas débile profond, ça ne marche pas sur moi.
Dans mon message précédent, je n'ai strictement rien dit sur les potentialités contenues dans le végétarisme pour résoudre la faim dans le monde. J'ai d'ailleurs écris plus haut, mais manifestement tu ne te donnes que très superficiellement la peine de lire ce que les autres te répondent, que pour ma part j'étais sceptique sur les capacités du végétarisme à résoudre les problèmes de répartition des ressources de nourriture mondiales, d'autant plus que suffisamment de bouffe est déjà produite à l'heure actuelle pour nourrir tout le monde, mais que dans les faits un quart de l'humanité crève encore de faim. Les problèmes de répartition des richesses ne vont donc pas se résoudre avec le soja et le tofu, on est bien d'accord.
Je te reprenais uniquement au sujet de ton entêtement invraisemblable sur le caractère soit-disant indispensable de la présence de viande ou de poisson ou autre dans un régime alimentaire humain pour être équilibré et physiologiquement satisfaisant pour un adulte. C'est faux, et tu dois être à peu près le seul participant de ce topic à prétendre l'inverse. Tu es donc paradoxalement le pro-viande le plus sincèrement convaincu puisque tu t'imagines que c'est en fait vital d'en consommer, et par ailleurs celui qui fournit les argumentations que je trouve les moins convaincantes et les plus tirées par les cheveux... beau travail.
Je persiste : si tu n'as pas été fichu de faire évoluer ta perception des choses quant à cette question (je n'ai pas dit changer d'avis), c'est uniquement de ton fait, puisque tu n'es parvenu à aucun moment à intégrer les arguments de la partie adverse. Que ça soit par manque de facultés cognitives ou par mauvaise foi, ça n'est pas tant la question ni mes affaires. Je constate que huit pages après tu continues à débiter des énormités (prétendre qu'ingérer de la viande régulièrement pour ne pas souffrir de carence alimentaire en est une), et à être à côté de la plaque. Je pense donc que je vais cesser de te répondre, non pas que la toute-puissance de ton argumentation m'aurait convaincue, mais parce-que j'ai perçu que c'était totalement et radicalement vain. Tu te plains de passer pour un "vilain petit canard" parce-que tu persistes à vouloir consommer de la viande. Pour ma part ça n'est pas du tout le cas, mais en revanche tu te débrouilles à merveille pour passer tout seul comme un grand pour un mec incapable de débattre en s'appropriant l'argumentation adverse et sans se braquer. A toi de voir si c'est pire.
Je précise à toute fin utile que par ailleurs, plusieurs arguments émis par d'autres sur l'enthropocentrisme et la condition animale, qui vont dans le sens d'une liberté de consommer de la viande, m'ont interpellé, et amené à réfléchir.
Dernière modification par Crown Prinz le lun. juil. 11, 2011 7:04 am, modifié 1 fois.
Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
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Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
Je me dirige pour ma part tout doucement vers un régime végétarien depuis quelques temps.
J'en suis à bouffer de la viande mais pas trop, entre 2 et 3 fois par semaine, et pas en quantité excessive. D'ailleurs je ne sais pas si j'arriverai un jour à être 100% végétarien, parce que j'aime trop certains plats contenant de la viande pour ne plus en manger du tout.
Cela dit, ça me plait quand même bien. J'aime bien la sensation d'avoir le ventre rempli mais sans avoir le poids que l'on ressent après avoir mangé un plat très riche. C'est une façon de manger qui convient bien à ma physiologie, je crois. Et ça m'oblige à réfléchir sur ce que je bouffe, c'est pas mal. Et ça va bien avec mes opinions éthique et politique (droits des animaux, etc..). Certains pensent que si on devait soit-même tuer les animaux qu'on mange, il y aurait beaucoup plus de végétariens: c'est totalement vrai pour moi. Le fait qu'ils soient tués par une main autre que la mienne m'"aide" grandement à manger de la viande. Bref, une petite hypocrisie de ma part, dont je me suis rendu compte il n'y a pas si longtemps que ça finalement, d'où ma motivation à me diriger vers ce régime. Plus les dernières corrélations entre espérance de vie et végétarisme, et autres trucs.
De la même façon, j'essaie de faire un (petit) effort végan, genre arrêter d'acheter des trucs en cuir et tout ça. Pour terminer, je suis totalement incapable de me passer des produits laitiers (surtout le fromage) donc le végétalisme, c'est pas possible pour moi. Enfin, pour l'instant.
J'en suis à bouffer de la viande mais pas trop, entre 2 et 3 fois par semaine, et pas en quantité excessive. D'ailleurs je ne sais pas si j'arriverai un jour à être 100% végétarien, parce que j'aime trop certains plats contenant de la viande pour ne plus en manger du tout.
Cela dit, ça me plait quand même bien. J'aime bien la sensation d'avoir le ventre rempli mais sans avoir le poids que l'on ressent après avoir mangé un plat très riche. C'est une façon de manger qui convient bien à ma physiologie, je crois. Et ça m'oblige à réfléchir sur ce que je bouffe, c'est pas mal. Et ça va bien avec mes opinions éthique et politique (droits des animaux, etc..). Certains pensent que si on devait soit-même tuer les animaux qu'on mange, il y aurait beaucoup plus de végétariens: c'est totalement vrai pour moi. Le fait qu'ils soient tués par une main autre que la mienne m'"aide" grandement à manger de la viande. Bref, une petite hypocrisie de ma part, dont je me suis rendu compte il n'y a pas si longtemps que ça finalement, d'où ma motivation à me diriger vers ce régime. Plus les dernières corrélations entre espérance de vie et végétarisme, et autres trucs.
De la même façon, j'essaie de faire un (petit) effort végan, genre arrêter d'acheter des trucs en cuir et tout ça. Pour terminer, je suis totalement incapable de me passer des produits laitiers (surtout le fromage) donc le végétalisme, c'est pas possible pour moi. Enfin, pour l'instant.
Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
@ zigomio : http://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9g%C3%A9tarisme
Si c'est pas trop long pour toi, essaie d'arriver jusque là : Le végétarisme est un régime alimentaire qui ne comporte pas plus de risque de carence qu'un régime alimentaire omnivore s'il est suffisamment diversifié. Cette diversification doit concerner principalement les sources de protéines.
c'est vrai que wiki c'est la bible du savoir humain

mais le problème pour mois et je ne me suis surement pas fait comprendre c'est pas le fait d'être végétarien que je condamne bien au contraire c'est le comportement qu'on beaucoup pour se justifier qui disent qu'on pourrait sauver le monde si on ne mangeais pas de viande qu'on est nous les omnivores les vilain méchant qui tuons le monde a petit feu alors qu'on est pas plus pas moins tueurs qu'un végétarien
et d'ailleurs une question : puisqu'on est mauvais nous les omnivore je serais curieux de savoir combien produisent 100% de ce qu'il mange
Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
J'en suis au même point que Brutaldeath ; je suis tenté par le régime végétarien depuis quelques temps, je reste carnivore mais pas trop, de moins en moins, avec de temps en temps des périodes de dégoût complet pour la viande qui durent entre une semaine et deux mois, où je deviens temporairement végétarien (mais j'ai beaucoup de mal à équilibrer mon régime et ça me fait en général perdre beaucoup de poids). Il y a des considérations à propos de la souffrance animale et à propos de l'environnement dans cette démarche, mais ce n'est pas au centre, c'est vraiment un dégoût.Brutaldeath a écrit :Je me dirige pour ma part tout doucement vers un régime végétarien depuis quelques temps.
...... Pour terminer, je suis totalement incapable de me passer des produits laitiers (surtout le fromage) donc le végétalisme, c'est pas possible pour moi. Enfin, pour l'instant.
Certaines viandes me répugnent vraiment de façon permanente, notamment le lapin et le porc (sauf en charcuterie). J'aime le poisson et les fruits de mer, je n'envisage pas d'y renoncer.
Il ne me semble pas possible de vivre sans fromage et sans yaourt.
Je pense que je vais à terme, dans quelques années, passer à un régime sans viande, du moins quand j'aurai réussi à gérer le manque de protéines correctement, mais je sais que certaines tentations me feront toujours céder : l'osso bucco par exemple...
Re: Végétariens et/ou végétaliens en discussions
tu sais tu n'est pas obligé d'être végétarien strict si des fois le manque de viande se fait sentir 
