
A partir du moment, et ça ne me choque pas, où l'adjuvant est là chimiquement pour catalyser l'effet de la vaccination sur l'organisme, on est au cœur de la question bénéfice/risque. Si l'on peut s'en passer, pourquoi risquer ?
En l'occurrence ici il s'agit du squalène (il s'agit plutôt d'un surfactant favorisant l'émulsion, mébon) et des sels d'aluminium (aluns) il me semble pour celui de la grippe A.
Il n'y a rien à dire au sujet du squalène, à part peut être des allergies sans incidence pour le vacciné du fait des anticorps anti-squalène que nous avons dans le sang.
Quant aux sels d'aluminium, le lien entre eux et la myofasciite à macrophages n'a pas encore été entièrement levé. C'est aussi entre autre pourquoi il ne sont pas recommandés aux femmes enceintes.
A partir de là, chacun est libre de faire ce qu'il souhaite en l'état des connaissances actuelles. Je crois c'est le principe de précaution invoqué pour bien moins que ça ailleurs.
Le site de l'OMS est très bien documenté, et je regrette que le gouvernement se contente d'une "l'adjuvant est déjà ailleurs utilisé pour d'autres vaccins et ça ne pose de problème à personne." Sauf que le GVAC a recommandé de mener une nouvelle étude épidémiologique sur les aluns

Qui a dit que l'état était transparent sur cette affaire ? Ah oui, le gouvernement lui-même... suis-je bête. Tant je suis d'une naïveté confondante et consternante avec les humains et les relations humaines, tant je ne le suis pas du tout sur ce genre de sujet qui touche à l'intégrité des humains !