
Bon, après faut trouver des récompenses pour après le régime mais ça fonctionne quelques fois.
Hey c'est marrant c'est ce que je fais!Norma a écrit :Méthode plus douce :
Tu fais des listes précise avec un horaire et un chronomètre pour chaque chose que tu barres au fur et à mesure.
Moi bizarrement j'ai plus de facilité à rédiger en Anglais, que ce soit pour des mails persos, des exposés, des articles sur un sujet... alors qu'en Français, je galère toujours des masses à exprimer une idée un peu tortueuse.Œil-de-nuit a écrit :Cool un topic ou on peut expliquer ses penchants sado-maso!
Bon comme vous j'ai tout essayé ou presque:
-la méthode douce avec la liste journalière (sur des post it). Efficace une fois sur deux on va dire, quand j'arrive quand même à suffisamment me motiver. Je n'arrive presque jamais a tenir les horaires des tâches quand je les écris.
-la méthode dure quand mon niveau de motivation initial est très bas. Cela m'est arrivé d'attendre 23h pour le 1er repas de la journée (à part un petit dej) juste parce que je m'étais autoriser à le faire qu'une fois une lettre de motivation en anglais terminée. Les langues étrangères multiplient la nuisance de la procrastination par 1000, c'est terrible.
Depuis deux mois je suis tellement calé sur l'actualité et mon appart est tellement bien rangé...
C'est encourageantTout ça pour dire que c'est une maladie dont les probabilités de rémission sont plutôt dérisoires.
C'est à peu près ça. Perso j'en suis arrivée à ne pas valider mon master 2, alors que j'avais réussi tous mes partiels, simplement parce que je n'ai jamais terminé mon mémoire qui était pourtant en partie rédigé...Wilhelm a écrit :
L'unique façon de me pousser un peu le derche, c'est de m'imaginer la catastrophe à laquelle je cours si je ne finis pas par me bouger... et, de temps en temps, le petit coup de stress qui en résulte suffit à déverrouiller la situation sans trop de dégâts. Bref, ce cas de figure demeure rare, je me retrouve la plupart du temps dans la merde, quoiqu'il en soit !
Tout ça pour dire que c'est une maladie dont les probabilités de rémission sont plutôt dérisoires.