N'oublie pas d'aller te présenter à la sectin accueil, pour que nous puissions te saluer comme il se doit!
Un premier coming-out au goût amer...
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ExMembre L
Et bien… qu’elle histoire. Je pense comme Mady, elle doit juste faire le deuil de son amour et après, sa passera je pense. Cependant, sa réaction envers toi je la trouve trop excessive, ce n’est pas parce que l’on aime quelqu’un homo qu’on doit se permettre tout ce cinéma !
A toi de voir si elle vaut le coup que tu la garde, sinon attend qu’elle fasse le 1er pas (si 1er pas il y aura …)
Sinon : félicitation et courage bonhomme
Willou
A toi de voir si elle vaut le coup que tu la garde, sinon attend qu’elle fasse le 1er pas (si 1er pas il y aura …)
Sinon : félicitation et courage bonhomme
Willou
A nouveau, je vous remercie pour vos messages de soutien, vos conseils et vos avis. Et, à nouveau, je viens vous raconter les suites de mon coming-out. Je me suis accordé beaucoup de temps avant de faire ce post, et, les évènements récents m’ont donné raison.
Pour faire bref, j’ai reçu un appel de mon amie vendredi dernier. Nous sommes restés au téléphone près de deux heures. Evidemment, d’un point de vue purement formel, il y a du progrès, en comparaison avec son appel précédent, qui n’avait duré que quelques minutes. Mais, sur le fond, les propos échangés furent encore plus douloureux et vifs. Ainsi, elle agrémenta cette longue communication de reproches et de cris à mon égard, le tout noyé sous un flot de larmes. De mon côté, j’encaissais, tant bien que mal, ses attaques, qui faisaient de moi un salaud et un égoïste… Je ne trouvais pas les mots pour m’expliquer ou m’excuser (…mais de quoi ?). Sans voix, j’attendais la fin, groggy et abasourdi. Avant de raccrocher, je lui demandais quel était l’intérêt d’un tel appel. En larmes, elle me répondit : « j’avais besoin d’entendre ta voix. ». Ces mots prononcés, elle mit fin à la conversation, me laissant à ma culpabilité et à mes propres questions.
Une semaine plus tard, je reçus un nouvel appel téléphonique de sa part. Les quelques minutes de notre discussion me semblèrent surréaliste, tant par la nature de son propos que par la sérénité de sa voix. Elle voulait me voir, dès son retour sur Paris, après les fêtes de Noël. Surpris par cette sollicitation, je lui demandais comment elle allait. Rapidement et avant de mettre fin à notre échange, elle m’expliqua se sentir mieux et vouloir me revoir très vite.
Voilà, je suis encore aujourd’hui étonné de ce revirement de comportement et j’ai un peu de mal à suivre son cheminement personnel. Mais, ce que je sais, c’est que son dernier appel m’a fait beaucoup de bien. J’ai hâte de la voir à nouveau et, en même temps, j’appréhende cette rencontre. Concrètement, je ne crains pas son nouveau regard sur moi. Mais, je m’interroge sur la nouvelle nature de notre relation… Allons-nous retrouver ce degré de complicité qui faisait d’elle ma meilleure amie ? Comment vais-je aborder certains sujets personnels ? Tant de questions qui me hantent, à quelques jours de notre rendez-vous…
Pour faire bref, j’ai reçu un appel de mon amie vendredi dernier. Nous sommes restés au téléphone près de deux heures. Evidemment, d’un point de vue purement formel, il y a du progrès, en comparaison avec son appel précédent, qui n’avait duré que quelques minutes. Mais, sur le fond, les propos échangés furent encore plus douloureux et vifs. Ainsi, elle agrémenta cette longue communication de reproches et de cris à mon égard, le tout noyé sous un flot de larmes. De mon côté, j’encaissais, tant bien que mal, ses attaques, qui faisaient de moi un salaud et un égoïste… Je ne trouvais pas les mots pour m’expliquer ou m’excuser (…mais de quoi ?). Sans voix, j’attendais la fin, groggy et abasourdi. Avant de raccrocher, je lui demandais quel était l’intérêt d’un tel appel. En larmes, elle me répondit : « j’avais besoin d’entendre ta voix. ». Ces mots prononcés, elle mit fin à la conversation, me laissant à ma culpabilité et à mes propres questions.
Une semaine plus tard, je reçus un nouvel appel téléphonique de sa part. Les quelques minutes de notre discussion me semblèrent surréaliste, tant par la nature de son propos que par la sérénité de sa voix. Elle voulait me voir, dès son retour sur Paris, après les fêtes de Noël. Surpris par cette sollicitation, je lui demandais comment elle allait. Rapidement et avant de mettre fin à notre échange, elle m’expliqua se sentir mieux et vouloir me revoir très vite.
Voilà, je suis encore aujourd’hui étonné de ce revirement de comportement et j’ai un peu de mal à suivre son cheminement personnel. Mais, ce que je sais, c’est que son dernier appel m’a fait beaucoup de bien. J’ai hâte de la voir à nouveau et, en même temps, j’appréhende cette rencontre. Concrètement, je ne crains pas son nouveau regard sur moi. Mais, je m’interroge sur la nouvelle nature de notre relation… Allons-nous retrouver ce degré de complicité qui faisait d’elle ma meilleure amie ? Comment vais-je aborder certains sujets personnels ? Tant de questions qui me hantent, à quelques jours de notre rendez-vous…
Je crois que si la phrase : "ce qui ne tue pas nous rend plus fort" s'applique bel et bien alors tu es sur le chemin pour devenir très costaud
Je suis désolé de lire ce que tu as dû subir à nouveau mais malgré tout, aussi dur que cela puisse paraître, c'est une bonne nouvelle.
Suite à ton CO ton amie souffrait et gardait tout ça pour elle. Ce qu'elle a fait avec le coup de téléphone de deux heures c'est laisser échapper toute cette souffrance. Et, bien que les propos t'étaient destinés, tu n'as pas raccroché et tu as fait l'effort de l'écouter jusqu'au bout, comme un véritable ami.
Le fait de dire tout ce qu'elle avait sur le coeur plus le fait de voir que, finalement tu n'avais pas changer vis-à-vis d'elle et qu'elle pouvait toujours compter sur toi dans les moments les plus difficiles a dû la faire réfléchir et l'aider à passer le cap.
Son dernier appel indique qu'elle commence à tourner la page. Il ne faut pas oublier qu'il n'est pas facile de demander à nos proches d'accepter ce que nous sommes alors que nous même avons mis beaucoup de temps à l'accepter.
Concernant votre relation, il faudra là encore que tu prennes ton mal en patience et que tu laisses les choses évoluées à son rythme. Mais je suis convaincu que vous redeviendrez aussi complice qu'avant voir même plus puisque l'ambiguïté qu'il pouvait y avoir pour ton amie dans votre relation aura disparue.
Je te souhaite bon courage pour traverser cette épreuve et n'oublie pas qu'on est là pour te soutenir !
Je suis désolé de lire ce que tu as dû subir à nouveau mais malgré tout, aussi dur que cela puisse paraître, c'est une bonne nouvelle.
Suite à ton CO ton amie souffrait et gardait tout ça pour elle. Ce qu'elle a fait avec le coup de téléphone de deux heures c'est laisser échapper toute cette souffrance. Et, bien que les propos t'étaient destinés, tu n'as pas raccroché et tu as fait l'effort de l'écouter jusqu'au bout, comme un véritable ami.
Le fait de dire tout ce qu'elle avait sur le coeur plus le fait de voir que, finalement tu n'avais pas changer vis-à-vis d'elle et qu'elle pouvait toujours compter sur toi dans les moments les plus difficiles a dû la faire réfléchir et l'aider à passer le cap.
Son dernier appel indique qu'elle commence à tourner la page. Il ne faut pas oublier qu'il n'est pas facile de demander à nos proches d'accepter ce que nous sommes alors que nous même avons mis beaucoup de temps à l'accepter.
Concernant votre relation, il faudra là encore que tu prennes ton mal en patience et que tu laisses les choses évoluées à son rythme. Mais je suis convaincu que vous redeviendrez aussi complice qu'avant voir même plus puisque l'ambiguïté qu'il pouvait y avoir pour ton amie dans votre relation aura disparue.
Je te souhaite bon courage pour traverser cette épreuve et n'oublie pas qu'on est là pour te soutenir !
Tu as raison, Vasaed. Mais, c'est un peu dur à admettre car je me suis tourné vers elle en pensant y trouver un soutien... Et, ce n'est trop ce que j'ai obtenu.Il ne faut pas oublier qu'il n'est pas facile de demander à nos proches d'accepter ce que nous sommes alors que nous même avons mis beaucoup de temps à l'accepter.
Je ne sais pas, Gé. De mon point de vue, il n'y a jamais eu d'ambiguïté. Je n'ai pas fait de promesses et je n'ai pas eu de comportements susceptibles de laisser entrevoir autre chose qu'une amitié sincère. D'ailleurs, le reproche récurrent qu'elle me fait, concerne surtout le temps que j'ai mis à lui avouer mon homosexualité. Elle me répète sans cesse qu'elle aurait voulu savoir plus tôt. Or, je n'arrivais même pas à l'admettre il y a quelques mois...A croire que tu lui avais laissé espérer un peu trop de choses qu'une simple amitié..
J'aimerais pouvoir t'être d'une plus grande aide mais je ne peux malheureusement pas faire grand chose à part te donner mon soutien... C'est sur que ce n'est pas simple comme situation, j'espère que tu ne te lances pas la faute (par ce que je pense que c'est ce que je ferais ^^)
Je pense qu'il ne faut pas chercher à savoir si oui ou non elle a mal réagie, si sa réaction a été disproportionnée ou etc...
Comme l'a déjà dit certaines personnes, le mieux c'est de laisser le temps faire, et après tu pourras agir en fonction de la situation :
-Elle recommence à parler avec toi petit à petit (c'est un bon début ^^)
-Elle te saute dans les bras en implorant ton pardon (ben quoi?:roll: )
-Elle ne change pas, et la (désole) mais rien ne vaut un bon coup de pied aux fesses... (je veux dire avoir une bonne discussion sérieuse ou tu ne joues pas la victime, mais plutôt ou tu lui mets les pendules a l'heure, par ce que, en fin de compte, tu n'as rien fait de mal! Et puis mettre les pendules à l'heure n'a jamais tué personne :p)
Enfin vala quoi... de toute façon je ne suis pas de bons conseils alors tu peux oublier tout ce que je viens d'écrire.
Garde le moral!
Je pense qu'il ne faut pas chercher à savoir si oui ou non elle a mal réagie, si sa réaction a été disproportionnée ou etc...
Comme l'a déjà dit certaines personnes, le mieux c'est de laisser le temps faire, et après tu pourras agir en fonction de la situation :
-Elle recommence à parler avec toi petit à petit (c'est un bon début ^^)
-Elle te saute dans les bras en implorant ton pardon (ben quoi?:roll: )
-Elle ne change pas, et la (désole) mais rien ne vaut un bon coup de pied aux fesses... (je veux dire avoir une bonne discussion sérieuse ou tu ne joues pas la victime, mais plutôt ou tu lui mets les pendules a l'heure, par ce que, en fin de compte, tu n'as rien fait de mal! Et puis mettre les pendules à l'heure n'a jamais tué personne :p)
Enfin vala quoi... de toute façon je ne suis pas de bons conseils alors tu peux oublier tout ce que je viens d'écrire.
Garde le moral!