
La musique que vous écoutez avec vos oreilles là maintenant
"Still Born Alive", premier album de Sand, que j'ai découvert récemment. Sand produit une sorte de dub industriel assez lourd et malsain, quelques strates de guitares (un peu trop à mon goût) se mélangent avec, entre autres, une trompette lointaine et divers bruitages. C'est très intéressant mais ça ne tient pas complètement toutes ses promesses :


Plan B que j'avais découvert à la Cigale... A l'affiche, y'avait plusieurs artistes et j'étais pas venue pour voir ledit Plan B, jeune rapper londonien mais je dois reconnaître que c'était pas mal et je me souviens entre autres de ça : http://www.youtube.com/watch?v=csu--aidt2k qu'il avait donc également chanté à Paris... Le son est pourri comme du chiffon mais je trouve la p'tite réappropriation de Pyramid Song assez chouette...
j'acoute ma cass-dédi pour l'abbé pierre
Les elles - les pauvres
Je suis pauvre et je sens mauvais
Y'a mon litron qui m'a torchée
Même pas d'enfant pour faire pitié
Franchement qu'est-ce qu'on pourrait tirer
d'un vieux tas de linge sale comme moi
d'une citerne à trois étoiles.
J'vis comme un rat sous la terre,
moins crasseuse dans la crasse,
je ne veux plus voir la lumière.
Je suis pauvre et je pue d'la gueule
J'ai l'air un peu charbée d'la tête
C'est la manque d'amour qui rend fou
La braguette ouverte sur le monde,
et même que je lui pisse dessus,
moi quand je pleure c'est pas même pas beau.
Ca s'mélange avec la morve,
et j'ai pas de mouchoir,
c'est rien que des larmes de poivrot.
Un jour j'vais en attraper une,
une de ces pétasses qui passent,
une belle qui transpire le savon,
la braguette ouverte sur le monde,
et même que je lui pisse dessus,
moi quand je pleure c'est même pas beau.
Ca s'mélange avec la morve,
et j'ai pas de mouchoir,
c'est rien que des larmes de poivrot.
Je suis pauvre et je sens mauvais
Y'a mon litron qui m'a torché
Même pas d'enfants pour faire pitié
Franch'ment qu'est-ce qu'on pourrait tirer
d'un vieux tas de linge sale comme moi
d'une citerne a trois étoiles,
J'vis comme un rat sous la terre,
moins crasseuse dans la crasse,
je ne veux pas voir la lumière.
P'têt même que j'me suis fait violer,
forcement quand on dort dehors
pas l'droit de choisir son bonhomme
Un jour j'aurai un pistolet
je me mettrai bien au milieu
et pan ! j'vous crach'rai mon sale sang à la gueule ...
Les elles - les pauvres
Je suis pauvre et je sens mauvais
Y'a mon litron qui m'a torchée
Même pas d'enfant pour faire pitié
Franchement qu'est-ce qu'on pourrait tirer
d'un vieux tas de linge sale comme moi
d'une citerne à trois étoiles.
J'vis comme un rat sous la terre,
moins crasseuse dans la crasse,
je ne veux plus voir la lumière.
Je suis pauvre et je pue d'la gueule
J'ai l'air un peu charbée d'la tête
C'est la manque d'amour qui rend fou
La braguette ouverte sur le monde,
et même que je lui pisse dessus,
moi quand je pleure c'est pas même pas beau.
Ca s'mélange avec la morve,
et j'ai pas de mouchoir,
c'est rien que des larmes de poivrot.
Un jour j'vais en attraper une,
une de ces pétasses qui passent,
une belle qui transpire le savon,
la braguette ouverte sur le monde,
et même que je lui pisse dessus,
moi quand je pleure c'est même pas beau.
Ca s'mélange avec la morve,
et j'ai pas de mouchoir,
c'est rien que des larmes de poivrot.
Je suis pauvre et je sens mauvais
Y'a mon litron qui m'a torché
Même pas d'enfants pour faire pitié
Franch'ment qu'est-ce qu'on pourrait tirer
d'un vieux tas de linge sale comme moi
d'une citerne a trois étoiles,
J'vis comme un rat sous la terre,
moins crasseuse dans la crasse,
je ne veux pas voir la lumière.
P'têt même que j'me suis fait violer,
forcement quand on dort dehors
pas l'droit de choisir son bonhomme
Un jour j'aurai un pistolet
je me mettrai bien au milieu
et pan ! j'vous crach'rai mon sale sang à la gueule ...
Cass-dédi à toutes mes futures-ex !
Infidèle - claire diterzi
Si la fleur de l’âge me trahissait
Que ma source de jouvence tarissait
Si les liens de tes envies se délaçaient
Que les flammes de nos transes
Etouffaient en silence, serais-tu en silence
En silence serais-tu
Infidèle
Prenant ses jambes à ton cou
Infidèle
Happé par le chant des sirènes...
Infidèle - claire diterzi
Si la fleur de l’âge me trahissait
Que ma source de jouvence tarissait
Si les liens de tes envies se délaçaient
Que les flammes de nos transes
Etouffaient en silence, serais-tu en silence
En silence serais-tu
Infidèle
Prenant ses jambes à ton cou
Infidèle
Happé par le chant des sirènes...
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