voila, dans ta liste, je n'ai lu que Génération Arc-en-ciel et je n'ai pas aimé. Du moins, j'ai été déçue, je m'attendais à quelque chose de plus prenant...ninero67 a écrit :ça devient lourd tout ces bouquins que je traine et personne qui les connait![]()
alors dernière tentative :
- PRELUDE A UNE VIE HEUREUSE d'Alexandre Delmar
- LE GARÇON QUI PLEURAIT DES LARMES D'AMOUR du même auteur
- UNE HISTOIRE SIMPLE, EN FAIT ! de Roger Vhere
- UN QUEBECOIS A NEW YORK de Roland Michel Tremblay
- Bébé requin de Nicolas Robin
- GENERATION ARC-EN-CIEL (BRUN) - Episode 1 de Cécile Bailly, Grib Borremans
Si quelqu'un en a lu ne serait ce qu'un, faite moi signe
Les livres homos qui vous ont marqués
On peut meme dire que c'est relativement mauvais.fanfan a écrit :voila, dans ta liste, je n'ai lu que Génération Arc-en-ciel et je n'ai pas aimé. Du moins, j'ai été déçue, je m'attendais à quelque chose de plus prenant...
Mal écrit, maladroit ... je voulais dire que c'est un roman de gare,
mais y'en a des bien meilleurs...
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- Inscription : jeu. févr. 22, 2007 11:56 pm
Le livre qui parle subtilement d'homosexualité (bien que ça ne soit pas le seul intérêt du bouquin) et qui m'a marqué c'est Les faux-monnayeurs d'André Gide. Tout est dans le non dit.
Ensuite, je pourrais évoquer Le portrait de Dorian Gray de Wilde ou encore Les lois de l'attraction d'Ellis ou encore Dorian, une adaptation de Dorian Gray mais le nom de l'auteur m'a échappé (Will Self ou un truc dans le genre) ... mais bon, je m'imagine mal lire un livre parce qu'il parle d'homosexualité.
Ensuite, je pourrais évoquer Le portrait de Dorian Gray de Wilde ou encore Les lois de l'attraction d'Ellis ou encore Dorian, une adaptation de Dorian Gray mais le nom de l'auteur m'a échappé (Will Self ou un truc dans le genre) ... mais bon, je m'imagine mal lire un livre parce qu'il parle d'homosexualité.
je suis tombé plusieurs fois, sans le faire expres, sur des romans parlant d'homosexualité.
d'abord le superbe "la maison du bout du monde" de michael cunningham, a l'ecriture subtile et delicate, une belle histoire d'amour, de famille de partage, donc un film a été tiré recemment, avec collin farrel.
ensuite sur "le livre de joe", premier roman de jonathan tropper, abordant les themes de l'amitié gay/hetero, du sida...
et bien sur (mais la ce n'etai pas par hazard) les chroniques de san fransisco, j'en suis au tome 4 (en cours de lecture), je ne sais pas si c'est de la grande litterature, mais ça a le merite d'être tres divertissant, tres amusant, pas prise de tête... j'adore!!
à noter aussi "déboire" d'augusten burroughs, sur un homo alcoolique en cure de désintox (plus axé sur l'alcoolisme que sur l'homosexualité du protagoniste) je n'ai pas encore lu son 1er roman "courir avec des ciseaux" mais j'ai vu son adaptation cinématographique.
et encore un dernier: "bléssés" de percival everett, sur des crimes homophobes et racistes dans la campagne americaine (un comble, c'est ma mere qui me l'a passé, sans l'avoir lu...)
d'abord le superbe "la maison du bout du monde" de michael cunningham, a l'ecriture subtile et delicate, une belle histoire d'amour, de famille de partage, donc un film a été tiré recemment, avec collin farrel.
ensuite sur "le livre de joe", premier roman de jonathan tropper, abordant les themes de l'amitié gay/hetero, du sida...
et bien sur (mais la ce n'etai pas par hazard) les chroniques de san fransisco, j'en suis au tome 4 (en cours de lecture), je ne sais pas si c'est de la grande litterature, mais ça a le merite d'être tres divertissant, tres amusant, pas prise de tête... j'adore!!
à noter aussi "déboire" d'augusten burroughs, sur un homo alcoolique en cure de désintox (plus axé sur l'alcoolisme que sur l'homosexualité du protagoniste) je n'ai pas encore lu son 1er roman "courir avec des ciseaux" mais j'ai vu son adaptation cinématographique.
et encore un dernier: "bléssés" de percival everett, sur des crimes homophobes et racistes dans la campagne americaine (un comble, c'est ma mere qui me l'a passé, sans l'avoir lu...)
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- Inscription : mar. déc. 18, 2007 3:43 pm
AAhhhh les Chroniques de San Francisco...dadalr a écrit : et bien sur (mais la ce n'etai pas par hazard) les chroniques de san fransisco, j'en suis au tome 4 (en cours de lecture), je ne sais pas si c'est de la grande litterature, mais ça a le merite d'être tres divertissant, tres amusant, pas prise de tête... j'adore!!
Découvertes via la prof de français de 4ème ,commencées en cours d'histoire,et finies un peu partout.Que du bonheur!
.C'est le genre de livres ,quand tu les fermes ,tu as envie de les oublier pour les (re)découvrir à nouveau ,et rire à nouveau aux mêmes passages (ce que je ne me gêne pas de faire de temps en temps).
C'est un des premiers livres parlant d'homosexualité que j'aie lus.
En littérature jeunesse ,j'avais lu (beaucoup) plus tôt La nuit du concert ,de M.E. Kerr.
Les thèmes évoqués sont plutôt l'homophobie ,le sida et le conformisme dans les années Reagan,autant que la solitude du passage à l'âge adulte-loin de l'euphorie des premiers tomes des Chroniques en fait

Sûrement un des meilleurs livres dans la catégories "jeunesse".
Il manque juste le petit frère ou la petite soeur à qui le conseiller .
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- Inscription : dim. juil. 03, 2005 7:27 pm
Carambole a écrit :AAhhhh les Chroniques de San Francisco...dadalr a écrit : et bien sur (mais la ce n'etai pas par hazard) les chroniques de san fransisco, j'en suis au tome 4 (en cours de lecture), je ne sais pas si c'est de la grande litterature, mais ça a le merite d'être tres divertissant, tres amusant, pas prise de tête... j'adore!!
[...].

... mais +1,
je les aient découverts il y'a pas si longtemps... me manque encore certains tomes !
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- Inscription : ven. déc. 21, 2007 7:36 pm
De mon côté c'est (probable qu'ils aient été cités mais ils méritent le doublon
) :
"Comment te le dire"
de Mikko Ranskanlainen ( pas sur de l'orthographe
) : l'histoire vrai d'un ado sensible qui se découvre, un trésor de sensibilité .
"La confusion des sentiments"
de Stefan Zweig, beaucoup plus classique et tout en finesse et non-dit.

"Comment te le dire"
de Mikko Ranskanlainen ( pas sur de l'orthographe

"La confusion des sentiments"
de Stefan Zweig, beaucoup plus classique et tout en finesse et non-dit.