L'ombre d'un frère
Ben j'ai travailler (avec des astrologues et des psychologues, en Belgique ils sont plus au fait de ces choses car très pro en études prénatales) sur des cas où il y avait vraiment un jumeau perdu donc je me disais que tu étais peut-être dans ce cas ? Perte de Jumeau in-utéro exemple... Sachant que une grossesse sur 2 voire sur 8 dans le monde et selon les pays et populations est gémélaire... ça ne serait donc pas complètement "nul" de penser que tu as ressenti réellement ce manque !
J'ai exactement eu le meme probleme mais moi c'est non pas un grand frere, une grande soeur, un petit frere ou une petite soeur mais...un frere de mon age que je voulais.
Moi ca s'explique au fait que je suis le petit dernier(7 ans de moins que ma soeur et 9 par rapport à mon frere) et que du coup je me suis toujours senti "à part".
Je pense aussi que le fait que je sois tres solitaire au primaire à du jouer sur ce sentiment d'avoir envie d'un frere de meme age...
Moi ca s'explique au fait que je suis le petit dernier(7 ans de moins que ma soeur et 9 par rapport à mon frere) et que du coup je me suis toujours senti "à part".
Je pense aussi que le fait que je sois tres solitaire au primaire à du jouer sur ce sentiment d'avoir envie d'un frere de meme age...
Ben d'après le recueille de témoignages assez important chez les psychologues ou autres "...logues" à l'écoute des gens en général, il apparait que ce phénomène est bien plus fréquent que l'on croit et cela va donc dans le sens des généticiens et professionnels de la néonatalité belges, allemands ou même australiens qui ont planché sur le sujet...
Dès 93 des travaux commencerent à voir le jour et ce n'est que vers 94 que personnellement, astrologiquement ou autres, je me suis intéressée de prêt à la question car ma fille encore toute petite me réclamait sa sœur ??? En effet, elle me demandait régulièrement une sœur jumelle, l'idée aurait pu lui échapper mais non elle a perduré à un age avancé, alors comme j'aime bien comprendre... on s'est mise en recherche de savoir, si elle pouvait avoir eu une intuition sur la chose... et s'il existait une explication via la médecine prénatale ? Or oui, et depuis 2004 le sujet commence à se développer dans le milieu psycho-obstétrique... Il est néanmoins de grandes chances que si vous parlez de ça à votre gynéco ou obstétricien, il ouvre de grands yeux !
Cependant au 4 coins du monde certains reconnaissent le phénomène, vivre la mort d'un frère ou d'une sœur avec lequel on a partagé des heures de jeux ou de bagarre n'est déjà pas une partie de plaisir mais vivre cette mort dans l'utérus de notre mère à des conséquences non des moindres pour les personnes concernées et selon les analyses échographiques récentes cela arriverait à une personne sur dix voire moins selon les cas (régions du monde et hérédité maternelle) d'avoir vécu ce drame...
Evidemment, avant d'avoir entendu parler de cette probabilité, tout un chacun était en droit de ne pouvoir l'imaginer... patient, futurs parents, corps médical habituel; les échographies différenciées pendant la grossesse ont vu leur jour en Belgique pays à la pointe en médecine prénatale, or comment voir un embryon jumeau et à quel moment le distinguer... Eh bien, la possibilité de voir un jumeau se situe à partir de la 5e semaine de gestation selon les calculs gynécologiques or en général et donc en France le plus souvent on calcule à partir du premier jour des dernières menstruations, ce qui veut dire qu'on peut voir les jumeaux trois semaines après leur fécondation, mais il arrive que "comme un train peut en cacher un autre " un embryon puisse cacher son jumeau... en Allemagne la première écho à lieu vers la 9e semaine de gestation à ce moment la plupart des jumeaux ont mis les voiles En Belgique le contrôle est souvent plus précoce 7e semaine d'où une détection améliorée et la mise en lumière de ces cas. La plupart des jumeaux meurent dans le premier tiers de la grossesse...
Lorsque le jumeau meurt, l’autre capte l'interruption de circulation sanguine ou de battement cardiaque, ainsi que ses mouvements, si le décès survient au 2e tiers de la grossesse la taille est grande, il le ressent d'office, dans ce cas on a observé qu'il se retire dans "un coin" de l'utérus, et ne bouge presque plus pendant le reste de la grossesse; un net changement de la composition du liquide amniotique lors du décès survient également et comme les bourgeons du gout se développent très tôt (10 semaines) le survivant perçoit le changement également de cette façon. Jusqu'a 20 semaines le fœtus décédé est complètement absorbé par le placenta et donc passe si on y est pas particulièrement attentif complément inaperçu mais il est arrivé qu'on cache aussi aux mères leur présence pour diverses raisons... L'oreille se formant avant le cœur ou le cerveau l'un entend-il l'autre, selon les spécialistes oui, le cœur commençant à battre vers la 6e semaine, l'un peut percevoir la circulation sanguine de son jumeau (ou jumelle) avant même les battements du futur cœur de ce dernier. Les jumeaux peuvent également s'enlacer la membrane étant très fine, il arrive que pour des fœtus plus grands de voir le bras de l'un autour de l'autre à l'écho. Ils bougent énormément bien avant que la mère ne s'en aperçoivent...il en va de même quand l'un des deux meurt, la mère l'ignore, le taux hormonal reste stable même à un stade parfois avancé de la grossesse, si toutefois elle le capte c'est lors d'un rêve ou d'une intuition mais absolument pas du point de vue organique selon les spécialistes...
On a longtemps cru qu'une femme n'avait qu'une ovulation avec un ovocyte, mais deux ovocytes c'est possible, on le sait aujourd'hui. Donc les ovocytes peuvent être fécondés mais pas systématiquement lors du même rapport donc (comme dit l’expression anglo-saxonne « les bébés des mamans et les « peut-être » du papa ! ») car effectivement deux jumeaux hétérozygotes peuvent ne pas avoir le même père...à plusieurs jours près… Ceci reste le plus souvent un secret familial mais peut grandement perturber les deux « jumeaux »; la fréquence des jumeaux est héréditaire et on suppose bien qu'on en soit quasiment sûr que cela soit du fait des facteurs maternels, l’âge aussi intervient, approchant de 35 ans on a 4 fois plus de chance d’avoir des jumeaux que plus jeune et cette probabilité baisse à nouveau plus on vieillit l’interruption de pilule favorise la chose aussi, on aurait aussi signaler que parfois des hétérozygotes peuvent être issus de deux cycles consécutifs… en Belgique une femme de 50 ans à un jumeau de moins de trois mois qu’elle, elle est née et il est sorti trois mois après grâce à un second utérus chez sa mère encore un des joyeux mystères de la chimie associée à la nature...
Les hétérozygotes s’implantent dans des endroits différents de l’utérus ils font "appart" à part chacun son "loyer" !
Les homozygotes sont dans le même appart « colocation » mais chambre à part ! Ils flottent dans des eaux différentes… chacun son bocal !
Les monozygotes sont dans le même bocal ! (les risques sont plus élevés lors de la sortie surtout si y’a bousculade au portillon… )
De là s'explique en partie la manière différente de chacun de ressentir la perte de son jumeau connu ou non et aussi de le vivre car bien-sur et heureusement de nombreux jumeaux survivent ensembles…
Dès 93 des travaux commencerent à voir le jour et ce n'est que vers 94 que personnellement, astrologiquement ou autres, je me suis intéressée de prêt à la question car ma fille encore toute petite me réclamait sa sœur ??? En effet, elle me demandait régulièrement une sœur jumelle, l'idée aurait pu lui échapper mais non elle a perduré à un age avancé, alors comme j'aime bien comprendre... on s'est mise en recherche de savoir, si elle pouvait avoir eu une intuition sur la chose... et s'il existait une explication via la médecine prénatale ? Or oui, et depuis 2004 le sujet commence à se développer dans le milieu psycho-obstétrique... Il est néanmoins de grandes chances que si vous parlez de ça à votre gynéco ou obstétricien, il ouvre de grands yeux !
Cependant au 4 coins du monde certains reconnaissent le phénomène, vivre la mort d'un frère ou d'une sœur avec lequel on a partagé des heures de jeux ou de bagarre n'est déjà pas une partie de plaisir mais vivre cette mort dans l'utérus de notre mère à des conséquences non des moindres pour les personnes concernées et selon les analyses échographiques récentes cela arriverait à une personne sur dix voire moins selon les cas (régions du monde et hérédité maternelle) d'avoir vécu ce drame...
Evidemment, avant d'avoir entendu parler de cette probabilité, tout un chacun était en droit de ne pouvoir l'imaginer... patient, futurs parents, corps médical habituel; les échographies différenciées pendant la grossesse ont vu leur jour en Belgique pays à la pointe en médecine prénatale, or comment voir un embryon jumeau et à quel moment le distinguer... Eh bien, la possibilité de voir un jumeau se situe à partir de la 5e semaine de gestation selon les calculs gynécologiques or en général et donc en France le plus souvent on calcule à partir du premier jour des dernières menstruations, ce qui veut dire qu'on peut voir les jumeaux trois semaines après leur fécondation, mais il arrive que "comme un train peut en cacher un autre " un embryon puisse cacher son jumeau... en Allemagne la première écho à lieu vers la 9e semaine de gestation à ce moment la plupart des jumeaux ont mis les voiles En Belgique le contrôle est souvent plus précoce 7e semaine d'où une détection améliorée et la mise en lumière de ces cas. La plupart des jumeaux meurent dans le premier tiers de la grossesse...
Lorsque le jumeau meurt, l’autre capte l'interruption de circulation sanguine ou de battement cardiaque, ainsi que ses mouvements, si le décès survient au 2e tiers de la grossesse la taille est grande, il le ressent d'office, dans ce cas on a observé qu'il se retire dans "un coin" de l'utérus, et ne bouge presque plus pendant le reste de la grossesse; un net changement de la composition du liquide amniotique lors du décès survient également et comme les bourgeons du gout se développent très tôt (10 semaines) le survivant perçoit le changement également de cette façon. Jusqu'a 20 semaines le fœtus décédé est complètement absorbé par le placenta et donc passe si on y est pas particulièrement attentif complément inaperçu mais il est arrivé qu'on cache aussi aux mères leur présence pour diverses raisons... L'oreille se formant avant le cœur ou le cerveau l'un entend-il l'autre, selon les spécialistes oui, le cœur commençant à battre vers la 6e semaine, l'un peut percevoir la circulation sanguine de son jumeau (ou jumelle) avant même les battements du futur cœur de ce dernier. Les jumeaux peuvent également s'enlacer la membrane étant très fine, il arrive que pour des fœtus plus grands de voir le bras de l'un autour de l'autre à l'écho. Ils bougent énormément bien avant que la mère ne s'en aperçoivent...il en va de même quand l'un des deux meurt, la mère l'ignore, le taux hormonal reste stable même à un stade parfois avancé de la grossesse, si toutefois elle le capte c'est lors d'un rêve ou d'une intuition mais absolument pas du point de vue organique selon les spécialistes...
On a longtemps cru qu'une femme n'avait qu'une ovulation avec un ovocyte, mais deux ovocytes c'est possible, on le sait aujourd'hui. Donc les ovocytes peuvent être fécondés mais pas systématiquement lors du même rapport donc (comme dit l’expression anglo-saxonne « les bébés des mamans et les « peut-être » du papa ! ») car effectivement deux jumeaux hétérozygotes peuvent ne pas avoir le même père...à plusieurs jours près… Ceci reste le plus souvent un secret familial mais peut grandement perturber les deux « jumeaux »; la fréquence des jumeaux est héréditaire et on suppose bien qu'on en soit quasiment sûr que cela soit du fait des facteurs maternels, l’âge aussi intervient, approchant de 35 ans on a 4 fois plus de chance d’avoir des jumeaux que plus jeune et cette probabilité baisse à nouveau plus on vieillit l’interruption de pilule favorise la chose aussi, on aurait aussi signaler que parfois des hétérozygotes peuvent être issus de deux cycles consécutifs… en Belgique une femme de 50 ans à un jumeau de moins de trois mois qu’elle, elle est née et il est sorti trois mois après grâce à un second utérus chez sa mère encore un des joyeux mystères de la chimie associée à la nature...
Les hétérozygotes s’implantent dans des endroits différents de l’utérus ils font "appart" à part chacun son "loyer" !
Les homozygotes sont dans le même appart « colocation » mais chambre à part ! Ils flottent dans des eaux différentes… chacun son bocal !
Les monozygotes sont dans le même bocal ! (les risques sont plus élevés lors de la sortie surtout si y’a bousculade au portillon… )
De là s'explique en partie la manière différente de chacun de ressentir la perte de son jumeau connu ou non et aussi de le vivre car bien-sur et heureusement de nombreux jumeaux survivent ensembles…
Je suis carrément fils unique et je regrette totalement de ne pas avoir de grand frere qui serait passé avant moi dans la maison. J'ai personne a qui me confier hormis quelque amis mais il y a des fois des chose que je voudrais pouvoir confier a un frere qui comprendrais plutot que mes parents.pieuvre a écrit :une présence plus vieille m'a toujours manquée, en plus je suis la plus vieille de tous les petits-enfants dans ma famille.
Pareil. Parfois.Suez a écrit :Je suis carrément fils unique et je regrette totalement de ne pas avoir de grand frere qui serait passé avant moi dans la maison. J'ai personne a qui me confier hormis quelque amis mais il y a des fois des chose que je voudrais pouvoir confier a un frere qui comprendrais plutot que mes parents.pieuvre a écrit :une présence plus vieille m'a toujours manquée, en plus je suis la plus vieille de tous les petits-enfants dans ma famille.
Il est des "amis" bien plus fidèles, aimants et sincères que les parents ou la fratrie propre parfois... 
"On choisit ses amis, pas sa famille" dit-on je ne suis pas complètement d'accord... néanmoins la famille si pénible soit-elle est une marche sur laquelle on s'appuit pour devenir plus fort et trouver l'équilibre auquel on a droit... et surtout prendre le recul nécessaire, avec les amis, à la compréhension des parents quitte à "fuir" le comportement de ceux ci pour mieux vivre...
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pitchounou06
- Messages : 233
- Inscription : mar. déc. 18, 2007 10:21 am
Moi c'est l'inverse, j'ai toujours révé d'avoir un petit frère ou une petite
soeur étant le cadet de ma famille. Mais bon c'est pas pareil, c'est pas une
envie aussi forte que toi. Je pense que la crise que tu as eu quand tu été petit
doit signifier quelque chose de beaucoup plus grave, un choc quand tu été
petit, ou quelque chose d'autre d'inconscient. Enfin c'est ce que j'ai ressenti
en lisant ton témoignage, je ne suis pas expert la dedans ...
soeur étant le cadet de ma famille. Mais bon c'est pas pareil, c'est pas une
envie aussi forte que toi. Je pense que la crise que tu as eu quand tu été petit
doit signifier quelque chose de beaucoup plus grave, un choc quand tu été
petit, ou quelque chose d'autre d'inconscient. Enfin c'est ce que j'ai ressenti
en lisant ton témoignage, je ne suis pas expert la dedans ...
Moi aussi j'aurais aime je n'ai helas eu la chance que d'avoir 3 soeurs !Suez a écrit :Je suis carrément fils unique et je regrette totalement de ne pas avoir de grand frere qui serait passé avant moi dans la maison. J'ai personne a qui me confier hormis quelque amis mais il y a des fois des chose que je voudrais pouvoir confier a un frere qui comprendrais plutot que mes parents.pieuvre a écrit :une présence plus vieille m'a toujours manquée, en plus je suis la plus vieille de tous les petits-enfants dans ma famille.