En même temps, le Japon n'a pas attendu 45 pour s'ouvrir à l'Occident (mais c'est sûr une bombe atomique, ça aide). Quant à l'art local il trouve la plupart du temps racine en Chine. Tu peux toujours chercher le typique, mais… le typique par rapport à quoi ?luluth a écrit : J'ai déjà du mal à lire la Bible alors je vais éviter.
Les auteurs japonais contemporains m'intéressent aussi, mais j'aimerais mieux d'abord me plonger dans les racines profondes de cette culture. Après 45, il y a l'ouverture à l'occident, l'américanisation,, donc une influence extérieure importante qui commence à imprégner l'art local (enfin, j'imagine).
Autre chose (et c'est une question en fait) la littérature froncièrement japonaise a-t-elle réellement trouvé des traductions françaises ? J'ai entendu dire de spécialistes en histoire de l'art du Japon, que les textes traduits en français étaient un peu l'équivalent du sushi en cuisine. Soit une minuscule part (mais très satisfaisante pour les européens) de la littérature japonaise.
(En même temps, le Sushi c'est bon et Murakami aussi)
(je ne parle même pas de Mizoguchi)
(qui est tout sauf un japonais traditionaliste, si je ne me trompe)