...et vos défauts? (en reponse à Guillaume86 :p)
J'aime avoir raison et j'affirme souvent des choses, je suis toujours sur de moi dans ces moments là, mais si jamais je réalise que je me suis effectivement trompé j'ai vraiment honte de mon entêtement
Autre défaut ; je ne finit jamais mes phrases, je lance des paroles, des bouts de mots comme cela, croyant que les autres sont dans le même trip que moi et rien ne m'énnerve plus que d'avoir à me répéter ou complété ce que j'essayé de dire lol.
Je suis aussi bien trop naïf, je fait confiance très facilement, dans le même genre je suis aussi beaucoup trop gentil. J'ai du mal à m'affirmé, à m'imposé aux autres pensant qu'ils n'ont pas a "me subir, moi et mes humeurs".
Ma grande hantise, c'est que quelqu'un ne m'aime pas ou me veuille du "mal", alors j'ai tendance a dire oui à tout, a laissé passé un tas de choses... quand j'y pense sa me désespère -__-
Je suis aussi un raleur professionnel, marre du boulot, marre de la pluie, marre des gens, etc etc toujours quelque chose à redire.
Feneant, j'essait toujours d'optimisé une tache, de manière a ne fournir un effort qu'en une seule fois, j'attend le dernier moment, ce genre de choses. Pourtant je suis capable d'avoir mes coups de speed, et quand je suis lancé on ne m'arrête plus.
Je suis un peu maniaque, du rangement et de la propreté (surtout tout ce qui touche la nourriture !) mais la c'est encore pareil, il faut que je me lance.
J'aime que les choses soient faite à ma manière, sinon c'est mal fait ou sa ne me convient pas. Si c'est un travail qui me tien à coeur, je préfère tout me tapé plutot que de laissé les autres en faire une petite partie à leur façon...
Je parle aussi beaucoup trop, je ne sais pas toujours gardé les choses pour moi, alors que parfois il faudrait ! XD
Enfin pour complété ce joli tableau, j'ai tendance à plané un peu, je suis souvent dans les nuages, en train de revasser, pour finalement retombé lourdement sur terre !

Autre défaut ; je ne finit jamais mes phrases, je lance des paroles, des bouts de mots comme cela, croyant que les autres sont dans le même trip que moi et rien ne m'énnerve plus que d'avoir à me répéter ou complété ce que j'essayé de dire lol.
Je suis aussi bien trop naïf, je fait confiance très facilement, dans le même genre je suis aussi beaucoup trop gentil. J'ai du mal à m'affirmé, à m'imposé aux autres pensant qu'ils n'ont pas a "me subir, moi et mes humeurs".
Ma grande hantise, c'est que quelqu'un ne m'aime pas ou me veuille du "mal", alors j'ai tendance a dire oui à tout, a laissé passé un tas de choses... quand j'y pense sa me désespère -__-
Je suis aussi un raleur professionnel, marre du boulot, marre de la pluie, marre des gens, etc etc toujours quelque chose à redire.
Feneant, j'essait toujours d'optimisé une tache, de manière a ne fournir un effort qu'en une seule fois, j'attend le dernier moment, ce genre de choses. Pourtant je suis capable d'avoir mes coups de speed, et quand je suis lancé on ne m'arrête plus.
Je suis un peu maniaque, du rangement et de la propreté (surtout tout ce qui touche la nourriture !) mais la c'est encore pareil, il faut que je me lance.
J'aime que les choses soient faite à ma manière, sinon c'est mal fait ou sa ne me convient pas. Si c'est un travail qui me tien à coeur, je préfère tout me tapé plutot que de laissé les autres en faire une petite partie à leur façon...
Je parle aussi beaucoup trop, je ne sais pas toujours gardé les choses pour moi, alors que parfois il faudrait ! XD
Enfin pour complété ce joli tableau, j'ai tendance à plané un peu, je suis souvent dans les nuages, en train de revasser, pour finalement retombé lourdement sur terre !
A moi, à moi !
Aloreuh...
Distrait : je suis incapable de rester concentré longtemps sur une chose. Ca se ressent au boulot, mais aussi quand je parle aux gens : même si la personne me raconte un truc qui m'intéresse au plus haut point, le moindre son inattendu accapare une partie de mon attention de manière totalement inconsciente. Du coup, je demande souvent aux gens de répéter et je passe pour un sourd
Casanier : Quand j'ai mon confort, j'aime pas en sortir. Du coup, je suis très peu curieux et j'ai jamais vraiment envie de nouveauté. Je me force mais c'est dur
Humour foireux : Supain c'est déjà chargé de cette dénonciation-ci
Manque de confiance : aucune confiance en moi. Mais alors aucune. Enfin c'est moins pire maintenant, mais ça pourrait être mieux. Du coup, je fais de la timidité inversée : je parle fort et je dis des conneries en espérant que ça passe.
Tendance à faire les choses à moitié : je suis un demi-geek, un mini-musicien, un pseudo-dessinateur, un écrivain flemmard, un historien amateur et un ancien science-potard mal payé :p
Aloreuh...
Distrait : je suis incapable de rester concentré longtemps sur une chose. Ca se ressent au boulot, mais aussi quand je parle aux gens : même si la personne me raconte un truc qui m'intéresse au plus haut point, le moindre son inattendu accapare une partie de mon attention de manière totalement inconsciente. Du coup, je demande souvent aux gens de répéter et je passe pour un sourd

Casanier : Quand j'ai mon confort, j'aime pas en sortir. Du coup, je suis très peu curieux et j'ai jamais vraiment envie de nouveauté. Je me force mais c'est dur

Humour foireux : Supain c'est déjà chargé de cette dénonciation-ci

Manque de confiance : aucune confiance en moi. Mais alors aucune. Enfin c'est moins pire maintenant, mais ça pourrait être mieux. Du coup, je fais de la timidité inversée : je parle fort et je dis des conneries en espérant que ça passe.
Tendance à faire les choses à moitié : je suis un demi-geek, un mini-musicien, un pseudo-dessinateur, un écrivain flemmard, un historien amateur et un ancien science-potard mal payé :p
Oui oui. Mais de toute façon, peu me chaut ! Je porte fièrement la flamme de l'humour bidesque qui fait honteSupain a écrit :J'ai fait ca moi?Balthazar a écrit :A moi, à moi !
Humour foireux : Supain c'est déjà chargé de cette dénonciation-ci![]()

Dernière modification par Balthazar le jeu. juin 12, 2008 1:51 pm, modifié 1 fois.
-Timide. Oui gros, énorme défaut qui me bloque en général pour des bêtises. Je n'ai plus envie de me soigner pour cela.
-Susceptible. Alors là c'est le must, je déteste les remarques en général même les petites blagues.
D'où la résultante...
-Râleur, bougonneur...
-Un peu nombriliste j'avoue....Du à mon manque de confiance en moi, j'ai sans cesse besoin de savoir que je suis aimé ^^...
Je sais pas si c'est une bonne idée d'énumérer ses défauts
-Susceptible. Alors là c'est le must, je déteste les remarques en général même les petites blagues.
D'où la résultante...
-Râleur, bougonneur...

-Un peu nombriliste j'avoue....Du à mon manque de confiance en moi, j'ai sans cesse besoin de savoir que je suis aimé ^^...
Je sais pas si c'est une bonne idée d'énumérer ses défauts

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- Messages : 169
- Inscription : sam. janv. 19, 2008 12:27 pm
Je me lance par solidarité
- Exigeant : bon c'est vrai, principalement avec moi mais ca déborde parfois sur les autres.
- Têtu : comme un pitbull, je ne lache pas forcément le morceau quand j'ai une idée en tête...sauf que quand on me démontre par A+B que j'ai tord, je repars la queue entre les jambes (et il n'y a rien de sexuel là dedans)
- Naïf : il m'arrive encore de vivre au pays des bisounours, mais pour ca aussi, je me soigne (enfin, la vie se charge de me livrer mon traitement à domicile)
- Romantique : je pense que c'est une excroissance de ma naïveté, malgré tout, c'est un défaut dont je me séparerais avec regret, mais c'est parce que je suis encore bien atteind par la maladie de la fleur bleue
Encore que chialer devant les films, ca peut parfois poser pb au cinoch (genre, tu fais semblant d'avoir une poussière dans les yeux quoi)
- Maniaque : je suis le killer de la poussière et du désordre, sauf que quand le killer il ne fait que sortir, il commence à se faire un peu déborder...
- Rancunnier : Eric, il est bien gentil, ouvert, patient, mais faut pas pousser le bouchon trop loin parce que après, bon courage pour que j'oublie
- Susceptible : ca réveille mon envie de mordre quand on remet ma petite personne en cause.
- Sans volonté : j'arrive pas à me sevrer du pot de Nutella, c'est un signe non?

- Exigeant : bon c'est vrai, principalement avec moi mais ca déborde parfois sur les autres.
- Têtu : comme un pitbull, je ne lache pas forcément le morceau quand j'ai une idée en tête...sauf que quand on me démontre par A+B que j'ai tord, je repars la queue entre les jambes (et il n'y a rien de sexuel là dedans)
- Naïf : il m'arrive encore de vivre au pays des bisounours, mais pour ca aussi, je me soigne (enfin, la vie se charge de me livrer mon traitement à domicile)
- Romantique : je pense que c'est une excroissance de ma naïveté, malgré tout, c'est un défaut dont je me séparerais avec regret, mais c'est parce que je suis encore bien atteind par la maladie de la fleur bleue

- Maniaque : je suis le killer de la poussière et du désordre, sauf que quand le killer il ne fait que sortir, il commence à se faire un peu déborder...
- Rancunnier : Eric, il est bien gentil, ouvert, patient, mais faut pas pousser le bouchon trop loin parce que après, bon courage pour que j'oublie

- Susceptible : ca réveille mon envie de mordre quand on remet ma petite personne en cause.
- Sans volonté : j'arrive pas à me sevrer du pot de Nutella, c'est un signe non?
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Ouuhhhh... on va s'amuser !
Pfou, il y en a une flopée ! Vais-je tous me les remettre en mémoire ? Essayons.
Je suis :
impulsif : j'agis beaucoup sur des coups de tête, sur des sentiments du moment, sans prendre forcément la peine de réfléchir aux conséquences. Je me lance tête baissée, sûr que mes convictions sont les bonnes, et je me rends compte plus tard que j'aurais dû soupeser le pour et le contre, ou faire les choses différemment quand je conserve le même avis.
Pas diplomate : autre problème important. En plus de foncer dans le mur, je manque cruellement de tact, ce qui m'amène à quelques menus problèmes avec les gens qui m'entourent lorsque je leur annonce sans prendre de gants que ma relation avec eux me gonfle par leur faute et bien d'autres gentillesses (comme, à un pote musicien qui me disais que je jouais faux : "Je joue peut-être faux, mais moi au moins, je fais de la musique!").
En réalité, ce manque de tact, c'est aussi de la maladresse, qui est également physique. Je ne suis pas doué de mes mains, de mes pieds, je suis complètement perdu lorsqu'il s'agit de parler, de lire un texte, d'expliquer un truc, de taper dans une balle,... La peur du ridicule, sans doute.
colérique : (avec les proches seulement) je suis calme en société, sympatique, je n'aime pas froisser les gens. Mais lorsque je les connais beaucoup, ils souffrent. Quand ils m'énervent, ils le savent car je le montre, dans une attitude assez désagréable et pesante. Je me ferme, et j'éclate parfois quand ça ne peut pas durer. Les gens qui ont subi sont peu malgré tout : ma famille, mon copain et ma meillleure amie.
Froid : il me faut du temps avant de me "dégeler". Je suis sympathique mais pas bavard, distant, et adpete des réponses laconiques voire carrément inexistantes. Lorsqu'on fait une réflexion inutile ou qui ne m'intéresse guère, je réponds "mh" pour être poli, mais ça ne va pas plus loin. J'aime bien montrer que l'attitude de quelqu'un m'est égale, voire que je la méprise complètement. Cela se traduit par un regard ou un haussement de sourcils délicieusement dédaigneux. J'avoue, c'est un de mes défauts préférés, ça tient les gens à l'écart et ça me réhausse dans mon estime de moi-même.
Hypocrite : dans mon souci de ne froisser ni de ne me brouiller avec personne, je ne dis pas ce que je pense, quitte à l'exprimer à quelqu'un d'autre (ce qui fait commère), voire à la personne concernée, bien plus tard, et de façon peu diplomate, donc... (voir plus haut)
Mais ceci résulte en fait d'une certaine pleutrerie, et d'une manque cruel de confiance en soi.
Timide : je suis facilement mal à l'aise avec des gens que je ne connais pas. je n'ose pas aller parler, faire des blagues (moi qui suis si drôle !), entamer une conversation. J'aime qu'on ne m'expose pas, je déteste me retrouver au centre de la conversation ou de l'intérêt quand je suis là. J'apprécie qu'on m'oublie quelquefois. Et je ne sais donc pas dire les choses aux gens et pousser une gueulante dans un univers qui ne m'est pas familier. A vrai dire, j'ai pas de couilles.
Orgueilleux : c'est le paradoxe gigantesque de ma personne. Un manque de confiance en soi notoire doublé d'un amour-propore assez envahissant : j'aime être meilleur que les autres (mais sans me faire remarquer, juste de la satisfaction personnelle), connaître plus de choses qu'eux, avoir raison (sans jamais m'en vanter toutefois). J'ai une opinion de moi assez haute, et je vis comme une tragédie (j'exagère !) lorsqu'un proche me dépasse. Ce qui a donné lieu à de sévères moments de déprime ces derniers mois, car sur des tonnes de points, une certaine personne me dépassait tout le temps (c'est sans doute faux, mais je le percevais comme ça, et ça a été et c'est toujours dur).
Radin : je me soigne, mais j'ai un passé assez peu généreux sur le plan pécunier. J'aime pas partager, j'aime pas faire plein de cadeaux sans raison, j'aime pas dépenser quand c'est pas pour moi. Les seules personnes pour qui j'achète presque sans compter son mon copain et... moi. En même temps, j'appelle ça aussi être économe, et c'est pratique de se retrouver avec un excédent budgétaire à la fin du mois.
Provocant : je suis un adepte de l'humour noir, de l'humour qui déprécie, j'adore glisser des petites piques pernicieuses et forcément désagréables au bout d'un moment.
Impatient : comme Guillaume, je n'aime pas les gens mous. Je suis quelqu'un de nerveux, agité, pressé. Les gens qui marchent lentement, qui ne comprennent pas un argument limpidement exposé, j'ai envie de les pousser violemment par terre ou de leur gueuler dessus. Je ne suis pas vraiment capable de faire quelque chose qui nécessite un travail méticuleux. C'est toujours de l'à-peu-près qui passe souvent, mais ce n'est jamais parfait. La méticulosité me gonfle rapidement.
Vite démotivé : Quand je dois travailler, j'affiche parfois un enthousiasme certain, et une résolution indestructible. Las ! ils s'émoussent bien vite, et la motivation que j'affichais disparaît aussi fièrement qu'elle est apparue.
Et le pire pour la fin : je suis dogmatique. Je considère souvent que ma façon de penser est la meilleure, la seule valable, la seule digne d'être appliquée et existante, même. Je me sens hautement supérieur à ces pauvres gens qui prennent l'ecalator ou l'ascenseur alors que l'escalier est juste à côté. Lorsqu'une personne laisse de côté un peu d'une banane parce qu'elle a bruni, ou jette un morceau de fromage parce qu'il est un peu moisi ou pire, qu'une couche de sel s'est déposée (alors qu'on peut le gratter, voire le manger tel quel), je me sens incroyablement plus intelligent. Les gens qui trouve quelque chose dégueulasse par l'aspect et pas moi, ça me gonfle et je considère que ce sont des simagrées (forcément, puisque je suis capable de manger des fruits de mer, des champignons ou du roquefort et pas eux !).
Bref, comme je mange de tout, que je supporte beaucoup de choses, que je tolère pas mal de trucs, que je suis assez ouverts sur plein de sujets, que je tente d'être au maximum objectif, et par conséquent que je suis capable d'admettre l'existence de bonnes choses qui ne correspondent pas pour autant à ma façon de penser (ouf !), ceux qui ne mangent pas autant de choses que moi, qui ne sont pas aussi tolérants et objectifs ont tort à mes yeux, et j'ai du mal à admettre qu'ils aient simplement des goûts ou des avis différents des miens.
Et je suis désolé, mais quand on me dit qu'on aime pas le roquefort parce qu'il y a du moisi à l'intérieur, ce n'est pas un argument recevable. Point.
La vache, y'en a trop !

Pfou, il y en a une flopée ! Vais-je tous me les remettre en mémoire ? Essayons.
Je suis :
impulsif : j'agis beaucoup sur des coups de tête, sur des sentiments du moment, sans prendre forcément la peine de réfléchir aux conséquences. Je me lance tête baissée, sûr que mes convictions sont les bonnes, et je me rends compte plus tard que j'aurais dû soupeser le pour et le contre, ou faire les choses différemment quand je conserve le même avis.
Pas diplomate : autre problème important. En plus de foncer dans le mur, je manque cruellement de tact, ce qui m'amène à quelques menus problèmes avec les gens qui m'entourent lorsque je leur annonce sans prendre de gants que ma relation avec eux me gonfle par leur faute et bien d'autres gentillesses (comme, à un pote musicien qui me disais que je jouais faux : "Je joue peut-être faux, mais moi au moins, je fais de la musique!").
En réalité, ce manque de tact, c'est aussi de la maladresse, qui est également physique. Je ne suis pas doué de mes mains, de mes pieds, je suis complètement perdu lorsqu'il s'agit de parler, de lire un texte, d'expliquer un truc, de taper dans une balle,... La peur du ridicule, sans doute.
colérique : (avec les proches seulement) je suis calme en société, sympatique, je n'aime pas froisser les gens. Mais lorsque je les connais beaucoup, ils souffrent. Quand ils m'énervent, ils le savent car je le montre, dans une attitude assez désagréable et pesante. Je me ferme, et j'éclate parfois quand ça ne peut pas durer. Les gens qui ont subi sont peu malgré tout : ma famille, mon copain et ma meillleure amie.
Froid : il me faut du temps avant de me "dégeler". Je suis sympathique mais pas bavard, distant, et adpete des réponses laconiques voire carrément inexistantes. Lorsqu'on fait une réflexion inutile ou qui ne m'intéresse guère, je réponds "mh" pour être poli, mais ça ne va pas plus loin. J'aime bien montrer que l'attitude de quelqu'un m'est égale, voire que je la méprise complètement. Cela se traduit par un regard ou un haussement de sourcils délicieusement dédaigneux. J'avoue, c'est un de mes défauts préférés, ça tient les gens à l'écart et ça me réhausse dans mon estime de moi-même.
Hypocrite : dans mon souci de ne froisser ni de ne me brouiller avec personne, je ne dis pas ce que je pense, quitte à l'exprimer à quelqu'un d'autre (ce qui fait commère), voire à la personne concernée, bien plus tard, et de façon peu diplomate, donc... (voir plus haut)
Mais ceci résulte en fait d'une certaine pleutrerie, et d'une manque cruel de confiance en soi.
Timide : je suis facilement mal à l'aise avec des gens que je ne connais pas. je n'ose pas aller parler, faire des blagues (moi qui suis si drôle !), entamer une conversation. J'aime qu'on ne m'expose pas, je déteste me retrouver au centre de la conversation ou de l'intérêt quand je suis là. J'apprécie qu'on m'oublie quelquefois. Et je ne sais donc pas dire les choses aux gens et pousser une gueulante dans un univers qui ne m'est pas familier. A vrai dire, j'ai pas de couilles.
Orgueilleux : c'est le paradoxe gigantesque de ma personne. Un manque de confiance en soi notoire doublé d'un amour-propore assez envahissant : j'aime être meilleur que les autres (mais sans me faire remarquer, juste de la satisfaction personnelle), connaître plus de choses qu'eux, avoir raison (sans jamais m'en vanter toutefois). J'ai une opinion de moi assez haute, et je vis comme une tragédie (j'exagère !) lorsqu'un proche me dépasse. Ce qui a donné lieu à de sévères moments de déprime ces derniers mois, car sur des tonnes de points, une certaine personne me dépassait tout le temps (c'est sans doute faux, mais je le percevais comme ça, et ça a été et c'est toujours dur).
Radin : je me soigne, mais j'ai un passé assez peu généreux sur le plan pécunier. J'aime pas partager, j'aime pas faire plein de cadeaux sans raison, j'aime pas dépenser quand c'est pas pour moi. Les seules personnes pour qui j'achète presque sans compter son mon copain et... moi. En même temps, j'appelle ça aussi être économe, et c'est pratique de se retrouver avec un excédent budgétaire à la fin du mois.
Provocant : je suis un adepte de l'humour noir, de l'humour qui déprécie, j'adore glisser des petites piques pernicieuses et forcément désagréables au bout d'un moment.
Impatient : comme Guillaume, je n'aime pas les gens mous. Je suis quelqu'un de nerveux, agité, pressé. Les gens qui marchent lentement, qui ne comprennent pas un argument limpidement exposé, j'ai envie de les pousser violemment par terre ou de leur gueuler dessus. Je ne suis pas vraiment capable de faire quelque chose qui nécessite un travail méticuleux. C'est toujours de l'à-peu-près qui passe souvent, mais ce n'est jamais parfait. La méticulosité me gonfle rapidement.
Vite démotivé : Quand je dois travailler, j'affiche parfois un enthousiasme certain, et une résolution indestructible. Las ! ils s'émoussent bien vite, et la motivation que j'affichais disparaît aussi fièrement qu'elle est apparue.
Et le pire pour la fin : je suis dogmatique. Je considère souvent que ma façon de penser est la meilleure, la seule valable, la seule digne d'être appliquée et existante, même. Je me sens hautement supérieur à ces pauvres gens qui prennent l'ecalator ou l'ascenseur alors que l'escalier est juste à côté. Lorsqu'une personne laisse de côté un peu d'une banane parce qu'elle a bruni, ou jette un morceau de fromage parce qu'il est un peu moisi ou pire, qu'une couche de sel s'est déposée (alors qu'on peut le gratter, voire le manger tel quel), je me sens incroyablement plus intelligent. Les gens qui trouve quelque chose dégueulasse par l'aspect et pas moi, ça me gonfle et je considère que ce sont des simagrées (forcément, puisque je suis capable de manger des fruits de mer, des champignons ou du roquefort et pas eux !).
Bref, comme je mange de tout, que je supporte beaucoup de choses, que je tolère pas mal de trucs, que je suis assez ouverts sur plein de sujets, que je tente d'être au maximum objectif, et par conséquent que je suis capable d'admettre l'existence de bonnes choses qui ne correspondent pas pour autant à ma façon de penser (ouf !), ceux qui ne mangent pas autant de choses que moi, qui ne sont pas aussi tolérants et objectifs ont tort à mes yeux, et j'ai du mal à admettre qu'ils aient simplement des goûts ou des avis différents des miens.
Et je suis désolé, mais quand on me dit qu'on aime pas le roquefort parce qu'il y a du moisi à l'intérieur, ce n'est pas un argument recevable. Point.

La vache, y'en a trop !