http://www.geocities.com/----------lase ... tions.html
Malheureusement, la guérison est rarement totale, c'est ce qu'ils expliquent:
"(...) même avec les résultats les plus encourageants, j'estime que des fantasmes homosexuels résiduels vont inévitablement ressurgir de temps à autre dans la vie du patient. C'est pourquoi je pense qu'il est très important de ne pas se concentrer exagérément sur ces fantasmes pendant la thérapie, afin que l'évolution de l'identité du patient puisse se faire sans problèmes.
En attachant une trop grande importance à la présence ou la fréquence de ces fantasmes, le thérapeute pourrait involontairement faire tourner court le processus en communiquant au patient l'idée qu'il restera toujours homosexuel à l'intérieur de lui-même, quels que soient ses efforts pour soigner son comportement extérieur. Ainsi, un de mes patients m'a dit un jour : "J'ai fini par accepter qu'il y a en moi un côté homosexuel dont je ne pourrai peut-être jamais me débarrasser. Mais peut-être que je peux apprendre à vivre avec. L'autre jour, j'étais à la piscine avec ma femme et mes enfants. Un homme qui portait un maillot très moulant est passé, et je me suis surpris à fixer cet homme et à avoir des fantasmes. Mais tout aussi rapidement, je me suis repris, je me suis dit que ce n'était pas grave, et j'ai plongé dans la piscine. Et cet épisode n'a pas gâché ma journée."
L'expérience de cet homme illustre ce qui je pense est l'objectif le plus raisonnable et le plus réaliste de la psychothérapie dans le traitement de l'homosexualité : le développement d'une forte identité masculine qui permette une adaptation satisfaisante à l'hétérosexualité, et qui ne se trouve pas compromise par une intrusion intempestive de fantasmes homosexuels."
Et en lisant cela, je me suis dit: "Merde, c'est le résultat auquel j'étais arrivé par moi-même! Sans l’aide d’aucun psy! J’avais tellement honte de mes désirs homosexuels que je les ai caché tout au fond et me suis marié... Et puis, à 35 ans, on peut dire que j'avais fait le plus gros, et bien non, j'en ai eu marre d’avoir honte, marre de cette lutte incessante contre moi-même et j’ai cédé à mes penchants homos vicieux! Aujourd'hui, je n’ai pas honte d’être amoureux d’un homme... Cela signifie que je suis perdu, j'en ai peur... Alors, ne faites pas comme moi les jeunes, mariez-vous pour écarter le démon de l'homosexualité, comme expliqué dans la méthode ci-dessus, et tenez-vous à cette saine
résolution, sans en démordre!
Bon courage! On déprime, on veut se tuer, mais c'est pas grave, la prière aide beaucoup...
