Mon problème d’alcool
Contrairement à ce que beaucoup de gens ont souvent pensé, je n'ai jamais été ivre. Je n'ai, d'ailleurs, jamais bu plus de deux verres d'alcool dans la même journée. Jusqu'à très récemment (juin dernier... un voyage en Grèce m'a fait découvrir l'instrument du démon, l'or pur liquéfié : le Muscat de Samos !) je n'avais même jamais bu un verre d'alcool entier, me contentant d'un fond de coupe de champagne pour le grandes occasions. Et je revendiquais âprement ce refus de boire.
Est-ce que cela m'a empêché de m'amuser ? Est-ce que cela a fait de moi quelqu'un de sinistre, de morne, de tristounet ? Point du tout ! Ça m'a peut-être freiné dans certaines activités hautement sociales, hautement indispensables et hautement obligatoires pour tout jeune qui se respecte et qui ne veut pas passer pour le coincé de service, comme la danse sur de la musique boumboum ou les jeux érotiques dans lesquels j'aurais été obligé d'embrasser des filles... sans plus. On peut s'amuser de tout et de rien, le tout est de savoir trouver les bonnes personnes.
Je rejoins par contre Fredouille : refuser de boire, oui. Mais refuser pour les autres et les stigmatiser... avec parcimonie et objectivité.
Est-ce que cela m'a empêché de m'amuser ? Est-ce que cela a fait de moi quelqu'un de sinistre, de morne, de tristounet ? Point du tout ! Ça m'a peut-être freiné dans certaines activités hautement sociales, hautement indispensables et hautement obligatoires pour tout jeune qui se respecte et qui ne veut pas passer pour le coincé de service, comme la danse sur de la musique boumboum ou les jeux érotiques dans lesquels j'aurais été obligé d'embrasser des filles... sans plus. On peut s'amuser de tout et de rien, le tout est de savoir trouver les bonnes personnes.
Je rejoins par contre Fredouille : refuser de boire, oui. Mais refuser pour les autres et les stigmatiser... avec parcimonie et objectivité.
je précise que je n'ai pas besoin de boire pour faire la fête et m'amuser, mais c'est plutot dans l'autre sens que ça marche : c'est la fête, on s'amuse ALORS je sais que je peux boire... ça me viendrait pas à l'idée de picoler comme un trou hors d'un contexte festif.
et puis dans une fête, y'a quand même une idée d'être déraisonnable : boire outre mesure, danser exagérément, raconter n'importe quoi...on se contrôle assez tout le reste du temps !!!
d'autre part, s'il m'arrive d'être passablement éméché je n'ai jamais franchi la barrière du blackout complet (genre amnésie totale du lendemain), comme quoi même aux tréfonds de la décadence, je garde un fond de lucidité.
maintenant, c'est sur qu'il ne faut pas que ça devienne une habitude.
et puis dans une fête, y'a quand même une idée d'être déraisonnable : boire outre mesure, danser exagérément, raconter n'importe quoi...on se contrôle assez tout le reste du temps !!!
d'autre part, s'il m'arrive d'être passablement éméché je n'ai jamais franchi la barrière du blackout complet (genre amnésie totale du lendemain), comme quoi même aux tréfonds de la décadence, je garde un fond de lucidité.
maintenant, c'est sur qu'il ne faut pas que ça devienne une habitude.
Est-ce que quelqu'un m'a vu boire une goutte d'alcool pendant le meating? Pourtant je ne me suis pas ennuyé.
L'acool bien sûr a un effet déshinibant. C'est ça qui fait "se lâcher un peu plus", nottemment quand on est timide.
Mais l'expérience me montre que bien souvent, ce n'est pas l'alcool en tant que substance psycho-active qui déshinibe mais tout l'environnement autour ainsi que tout l'imaginaire collectif centré sur le fait de boire.
Ce que je veux dire c'est que le fait de boire et le fait de le faire entre amis, d'être réunnis pour une occasion, et surtout le fait de se dire "moi je bois donc je vais me lâcher" va faire qu'on va se lâcher, et ce, sans pour autant avoir déjà assez bu d'alcool pour ça.
J'irais même jusqu'à dire que le fait de boire peut être une excuse pour faire la fofolle...
Bon c'est sûr qu'avec 3g dans le sang, la part psychologique que je viens de décrire devient toute petite devant la part biologique.
Je vais encore paraître un peu extrémiste là mais je pense que boire jusqu'à l'ivresse totale ne relève plus du simple fait de vouloir faire la fête mais peut être de quelque(s) problème(s) personnel(s).
Si j'ai choisi de ne pas boire (ou peu
) c'est parce que je déteste perdre le contrôle de moi-même... mais on peut arriver à se lâcher sans perdre ce contrôle, j'en suis sûr.
Bon, OK, j'ai du chemin à faire en ce qui me concerne mais je m'améliore c'est déjà ça
Et je préfère garder l'alcool pour les dégustations où l'on en profite mieux.
petite réponse à la con pour finir
).
Bon, je crois qu'on a pas la même définition de délire.
Enfin tout ça pour te dire que chacun a sa façon de s'amuser, et tu n'as pas à avoir honte de la tienne...
L'acool bien sûr a un effet déshinibant. C'est ça qui fait "se lâcher un peu plus", nottemment quand on est timide.
Mais l'expérience me montre que bien souvent, ce n'est pas l'alcool en tant que substance psycho-active qui déshinibe mais tout l'environnement autour ainsi que tout l'imaginaire collectif centré sur le fait de boire.
Ce que je veux dire c'est que le fait de boire et le fait de le faire entre amis, d'être réunnis pour une occasion, et surtout le fait de se dire "moi je bois donc je vais me lâcher" va faire qu'on va se lâcher, et ce, sans pour autant avoir déjà assez bu d'alcool pour ça.
J'irais même jusqu'à dire que le fait de boire peut être une excuse pour faire la fofolle...
Bon c'est sûr qu'avec 3g dans le sang, la part psychologique que je viens de décrire devient toute petite devant la part biologique.
Je vais encore paraître un peu extrémiste là mais je pense que boire jusqu'à l'ivresse totale ne relève plus du simple fait de vouloir faire la fête mais peut être de quelque(s) problème(s) personnel(s).
Si j'ai choisi de ne pas boire (ou peu
Bon, OK, j'ai du chemin à faire en ce qui me concerne mais je m'améliore c'est déjà ça
Et je préfère garder l'alcool pour les dégustations où l'on en profite mieux.
petite réponse à la con pour finir
Oui tu peux délirer de pleins d'autres façons : le shit, le lsd, une crise de schizophrénie (en plus tu as le bon âge pour la commencerjim a écrit :Peut-on passer une soirée délirante sans alcool ?
Bon, je crois qu'on a pas la même définition de délire.
Enfin tout ça pour te dire que chacun a sa façon de s'amuser, et tu n'as pas à avoir honte de la tienne...
Je ne crois pas Jimbo que le problème soit que tu n'aimes pas l'alcool car le gout est très différent selon la boisson et il y a forcement un boisson alcoolisé que tu aimes.
Les réactions que tu as eu envers ton ex petit ami montre que tu as peur des conséquences de l'alcool : toutefois pour en arriver au coma éthylique ou à la perte de connaissance il faut quand même boire beaucoup!
En tout cas ne boit pas pour faire comme tout le monde! Boit si tu as envie, ca ne semble pas être le cas pour le moment mais je suis sur que ca viendra...
Les réactions que tu as eu envers ton ex petit ami montre que tu as peur des conséquences de l'alcool : toutefois pour en arriver au coma éthylique ou à la perte de connaissance il faut quand même boire beaucoup!
En tout cas ne boit pas pour faire comme tout le monde! Boit si tu as envie, ca ne semble pas être le cas pour le moment mais je suis sur que ca viendra...
Chapitre "buvez bande de nazes parce que c'est bien pour la santé mentale"
CPLC powa !
Et si t'es d'un naturel coincé, tu fais jamais rien (= s'emmerder = soirées ennuyeuses). Donc boire c'est pas plus mal. Et puis ça décoince au long terme puisqu'à force de faire des grosses conneries, t'es moins coincé en temps normal (cf captain en temps "normal"
).
Par contre tu restes relativement conscient de ce que tu fais (avantage ou inconvénient ?) donc tu peux qd même rester un peu coincé quant au fait de te lacher complètement (si c'est vraiment ce dont t'as peur). En général les gens ont peur de faire n'importe quoi. Moi je m'en fous parce que je fais déjà n'importe quoi dans mon état normal donc ça change pas des masses, c'est juste pire que d'habitude (y'a des mEAtingiens qui pourront confirmer
) mais le but c'est de s'amuser soi quand même.
Si tu bois juste dans le but de te donner une bonne image il va te falloir bcp de verres avt de te décoincer (puisque la seule chose que tu voudra c'est ne pas avoir l'air alcoolique
).
- celui qui conduit c'est celui qui ne boit PAS
- il faut connaitre ses propres limites (en général quand on tient mal l'alcool le coma éthiolique il est pas prêt d'arriver: tu finira au WC avant...)
- on ne boit pas tout seul, sinon ça n'a aucun intérêt et c'est de l'alcoolisme
- enfin, tu ne fais pas des soirées tout le temps non plus, donc tu peux très bien contrôler ta consommation

Je ne supporte pas les trois quart des alcools !
je te conseille de boire des alcools de pédé-qu'on-dirait-pas-que-c'est-de-l'alcool, à des faibles pourcentages:
- smirnoff ice (bière qui a totalement le goût de la limonade)
- manzana diluée avec qqchose genre jus de pomme (alcool de pomme, du coup c'est sucré et ça passe très bien)
- get 27 (sirop de menthe)
- monaco (bière + grenadine = sucré). parait que c'est un alcool de pédé mais vu que y'a de la vraie bière dedans ça reste assez butch je trouve
Et puis y'a les cracks (menthe + absinthe) qui passe très bien même si l'absinthe ça fait du 80%... sauf que labsinthe c'est interdit en France, faut connaitre des gens qui en ont achetés à l'étranger pour ça
Il faut pas assimiler l'alcool au fait de s'amuser et ne pas boire à celui de s'emmerder non plus. Boire ça ne fait que désinhiber, si t'es coincé tu le sera moins, c'est totu. Donc sauf si t'es coincé 100% du temps, tu peux très bien t'amuser sans.
Je dis ça parce que c'est ce qui ets arrivée à ma cousine qui avait jamais bu: à la fin elle finissait tous les verres de tlm... mais bon c'est pas plus mal de comprendre c'est quoi une cuite et ses limites. Puis ça reste marrant à raconter après, et c'esta rrivé à plein de monde.
Vaut mieux qqun pour dire d'arrêter, ou en tt cas dépasse pas 3 à 5 verres si tu sais pas encore comment tu réagis (y'a de la marge, il en faut plutôt le double pour être torché)
Bon je dis tout ça (non pas à cause du Commité des Posts Longs et Chiants.. quoi que...) (mais) parce que j'étais un mec super coincé et l'alcool ça a pas mal aidé au cours des (rares) soirées beaufs. J'étais torché complet la 1re fois à l'annif des 18ans d'un pote... marrant
Sinon je suppose que je serai resté casanier et à m'emmerder toute ma vie... je pense que c'est nécessaire de se lacher, et si y'a besoin d'alcool pour faire ce qu'on veut vraiment c'est pas vraiment un souci.
Il faut juste rester responsable (ne pas conduire, tout le reste c'est pas important, plus c'est con plus c'est bon), connaitre et ne pas dépasser ses limites (mais pour ça il faut bien commencer), que ça reste vraiment occasionnel (d'ailleurs il faudrait limiter le nombre de meating par semaine là ...
).
Je déteste toujours autant les 3/4 des alcools et c'est tant mieux, du coup je ne bois qu'en soirée.
CPLC powa !
L'alcool ça désinhibe, donc tu peux faire plein de conneries que tu ne ferai pas en temps normal en plus de rigoler pour rien. Ca rend joyeux (enfin ça dépend y'en a qui ont l'alcool triste...).Et vous avez l'air de vous être vraiment lâchés pour votre plus grand bonheur.
Et si t'es d'un naturel coincé, tu fais jamais rien (= s'emmerder = soirées ennuyeuses). Donc boire c'est pas plus mal. Et puis ça décoince au long terme puisqu'à force de faire des grosses conneries, t'es moins coincé en temps normal (cf captain en temps "normal"
Par contre tu restes relativement conscient de ce que tu fais (avantage ou inconvénient ?) donc tu peux qd même rester un peu coincé quant au fait de te lacher complètement (si c'est vraiment ce dont t'as peur). En général les gens ont peur de faire n'importe quoi. Moi je m'en fous parce que je fais déjà n'importe quoi dans mon état normal donc ça change pas des masses, c'est juste pire que d'habitude (y'a des mEAtingiens qui pourront confirmer
Si tu bois juste dans le but de te donner une bonne image il va te falloir bcp de verres avt de te décoincer (puisque la seule chose que tu voudra c'est ne pas avoir l'air alcoolique
Bon là faut arrêter quoi... le sexe peut provoquer le sida. Est-ce qu'il fauit proner l'abstinence pour autant ?qui provoque tant d’accidents mortels chez les jeunes : accidents de la route (conducteur ou piéton d’ailleurs), comas éthyliques, perte de connaissance dans des lieux publics et pas forcément fréquentés par des gens honnêtes et intègres, etc.
- celui qui conduit c'est celui qui ne boit PAS
- il faut connaitre ses propres limites (en général quand on tient mal l'alcool le coma éthiolique il est pas prêt d'arriver: tu finira au WC avant...)
- on ne boit pas tout seul, sinon ça n'a aucun intérêt et c'est de l'alcoolisme
- enfin, tu ne fais pas des soirées tout le temps non plus, donc tu peux très bien contrôler ta consommation
Bienvenue au clubsurtout en soirée djeuns où on ne sert que des alcools trop forts ou imbuvables à mon goût.
Je ne supporte pas les trois quart des alcools !
je te conseille de boire des alcools de pédé-qu'on-dirait-pas-que-c'est-de-l'alcool, à des faibles pourcentages:
- smirnoff ice (bière qui a totalement le goût de la limonade)
- manzana diluée avec qqchose genre jus de pomme (alcool de pomme, du coup c'est sucré et ça passe très bien)
- get 27 (sirop de menthe)
- monaco (bière + grenadine = sucré). parait que c'est un alcool de pédé mais vu que y'a de la vraie bière dedans ça reste assez butch je trouve
Et puis y'a les cracks (menthe + absinthe) qui passe très bien même si l'absinthe ça fait du 80%... sauf que labsinthe c'est interdit en France, faut connaitre des gens qui en ont achetés à l'étranger pour ça
Ca risque pas.Est-ce que je suis seul dans ce cas ?
Bien sûr que oui, sauf que c'est moisn drôle et t'as des chances de rester coincé qd tout le monde s'amuse.Peut-on me dire qu’on peut s’amuser sans alcool ?
Ouep.Peut-on passer une soirée délirante sans alcool ?
Bah oui, y'en a qui n'ont pas bu au meating.Peut-on être assimilé à un groupe de jeunes tel que les et-aloriens sans être obligé de boire ? Ne passe-t-on pas pour un rabat-joie de service lorsque l’on se retrouve le seul d’une soirée boîte à ne pas boire ?
Il faut pas assimiler l'alcool au fait de s'amuser et ne pas boire à celui de s'emmerder non plus. Boire ça ne fait que désinhiber, si t'es coincé tu le sera moins, c'est totu. Donc sauf si t'es coincé 100% du temps, tu peux très bien t'amuser sans.
Teste des alcools MODEREMENT et tu verra bien. Le risque c'est juste que si tu te laches trop la 1re fois tu va finir à trop boire et la fin de soirée voire le lendemain seront assez... durs ^_^'Ou mon inquiétude a-t-elle raison et faut-il que j’essaie de me débrider une fois jusqu’à l’ivresse pour comprendre ce que veut dire mon ex, et ce que ressentent les jeunes qui aiment s’éclater en buvant en boîte ?
Je dis ça parce que c'est ce qui ets arrivée à ma cousine qui avait jamais bu: à la fin elle finissait tous les verres de tlm... mais bon c'est pas plus mal de comprendre c'est quoi une cuite et ses limites. Puis ça reste marrant à raconter après, et c'esta rrivé à plein de monde.
Vaut mieux qqun pour dire d'arrêter, ou en tt cas dépasse pas 3 à 5 verres si tu sais pas encore comment tu réagis (y'a de la marge, il en faut plutôt le double pour être torché)
Bon je dis tout ça (non pas à cause du Commité des Posts Longs et Chiants.. quoi que...) (mais) parce que j'étais un mec super coincé et l'alcool ça a pas mal aidé au cours des (rares) soirées beaufs. J'étais torché complet la 1re fois à l'annif des 18ans d'un pote... marrant
Sinon je suppose que je serai resté casanier et à m'emmerder toute ma vie... je pense que c'est nécessaire de se lacher, et si y'a besoin d'alcool pour faire ce qu'on veut vraiment c'est pas vraiment un souci.
Il faut juste rester responsable (ne pas conduire, tout le reste c'est pas important, plus c'est con plus c'est bon), connaitre et ne pas dépasser ses limites (mais pour ça il faut bien commencer), que ça reste vraiment occasionnel (d'ailleurs il faudrait limiter le nombre de meating par semaine là ...
Je déteste toujours autant les 3/4 des alcools et c'est tant mieux, du coup je ne bois qu'en soirée.
Dernière modification par Nox le dim. nov. 06, 2005 3:23 pm, modifié 1 fois.
Je ne dirai pas que je ne piccole pas parce que c'est pas le cas, mais par contre je suis tres ihibé sans alcool et quand je bois on m'apelle black mika parce que je fais tout ce que j'ose pas faire en temps normal... ca m'a aidé a faire mes coming out les plus difficiles... mais bon ca m'a permis aussi de m predre des rateaux lol alors moi je dis reste comme tu es ... il suffit juste de trouver le moyen de vaincre ta timidité...
Allez bisous mon jimbo
Allez bisous mon jimbo
-
Comte de Talmont
- Messages : 367
- Inscription : lun. juil. 11, 2005 10:47 pm
Ah, nous y revoilà... Deux topics n'étaient pas suffisants 
Bon, je pourrais dire pour faire court que je suis assez d'accord avec Nox, mais je crois que je suis un peu CPLC dans l'âme donc je réponds...
Quant au reste, personne n'a été dans cet état au mEAting... Comme quoi, il existe des gens qui savent boire. Du moment que tu sais gérer ta conso...


Bref, j'aurais plein de choses à dire mais j'avoue que je ne comprends toujours pas tout ça. Je suis sans doute un peu borné moi aussi, mais ceux qui veulent boire, ben ils boivent (intelligemment bien sûr, c'est quand même mieux) et assument les conséquences genre être un peu ridicules des fois, des conneries et parfois un mal de tête le lendemain (et encore, si on sait boire, y en a même pas! ^^ ). Ceux qui ne veulent pas boire ne boivent pas. Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué à comprendre la dedans...
Bon, je pourrais dire pour faire court que je suis assez d'accord avec Nox, mais je crois que je suis un peu CPLC dans l'âme donc je réponds...
Non tu ne pourras pas. Et alors? Chacun son délire hein... En plus on parle de différences, on ne compare pas. Je pense que ceux qui diront que les délires d'ivresse sont mieux ou moins bien que ceux de sobriété n'auront pas d'arguments valables à nous sortir. C'est juste différent. Quand on a compris, on peut déjà accepter alors qu'un gars qui peut délirer sous l'alcool sait aussi très bien délirer sans... Mais ça, certains ont un peu du mal à l'assimiler, ce qui est très genant.Et là je me dis que je ne pourrais jamais m’amuser comme vous à de telles soirées
Attends, le problème c'est le goût de la bière là non? Ca n'a donc rien à voir... et oui on peut aussi AIMER les boissons alcoolisées pour leur goût, et non pas pour leur degré d'alcool.Essayez de me faire boire de la bière et vous m’entendrez la comparer à de l’urine fraîchement recueillie…
Beaucoup de gens savent qu'il ne faut pas prendre la voiture avec l'alcool, et ils s'y appliquent. Il y a toujours des morts, mais il y aura toujours des abrutis hein... Combien d'autres conduisent alors qu'ils se gavent d'anxiolytiques? Et eux aussi font ça pour disparaitre un mal-être. Enfin bref, je vais pas glisser sur ce débat mais j'en pense pas moins.accidents de la route (conducteur ou piéton d’ailleurs), comas éthyliques, perte de connaissance dans des lieux publics et pas forcément fréquentés par des gens honnêtes et intègres, etc.
Quant au reste, personne n'a été dans cet état au mEAting... Comme quoi, il existe des gens qui savent boire. Du moment que tu sais gérer ta conso...
Il n'y a aucune necessité, personne n'a dit ça. Si vous vous sentez frustrés de ne pas boire, c'est votre problème, pas le nôtreje me pose des questions sur la nécessité de boire de l’alcool
Je pense qu'il ne t'a jamais dit ça, et plutôt qu'il t'a dit que tu le laissais pas faire ce qu'il voulait, tout simplement. M'enfin j'en sais rien moiMon ex semble me dire que je ne sais pas m’amuser et que je ne le laissais pas s’amuser
Bref, j'aurais plein de choses à dire mais j'avoue que je ne comprends toujours pas tout ça. Je suis sans doute un peu borné moi aussi, mais ceux qui veulent boire, ben ils boivent (intelligemment bien sûr, c'est quand même mieux) et assument les conséquences genre être un peu ridicules des fois, des conneries et parfois un mal de tête le lendemain (et encore, si on sait boire, y en a même pas! ^^ ). Ceux qui ne veulent pas boire ne boivent pas. Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué à comprendre la dedans...
Ce qu'il veut dire par là à mon avis c'est qu'en soirée tu as toujours des gens pour te dire "Mais pourquoi tu bois pas ? Allez essaie vraiment tu verras c'est super et après tu t'amuseras encore plus !", donc que c'est vu par certains comme une nécessité pour s'amuser.Comte de Talmont a écrit :Il n'y a aucune necessité, personne n'a dit ça. Si vous vous sentez frustrés de ne pas boire, c'est votre problème, pas le nôtreje me pose des questions sur la nécessité de boire de l’alcool
Et perso je ne suis pas frustré de ne pas boire.
En tous cas, je crois être quelqu'un de plutôt expansif avec les autres, sans avoir besoin de boire. Donc je ne cherche pas du tout à boire pour rompre une timidité, mais plus pour ne pas paraître vieux jeu et hors coup.
Ce soir je suis allé à un dîné arrosé chez des amis et pour une fois j'ai bu un peu plus que d'habitude, je suis allé jusqu'à 6 verres de vin. En fait ça n'a pas changé grand chose, je me suis bien amusé, même si j'avais juste la tête un peu plus lourde que d'habitude, ce qui m'a obligé à m'écarter du groupe pdt 15 minutes pour reposer ma tête au fond d'un canapé. Quelques verres de plus et j'étais bon pour l'écoeurement, le double de verres et j'étais bon pour les toilettes...
Je déduis de ce que vous me dites et de ce test, que je n'ai pas besoin d'alcool pour être à l'aise avec des convives à une soirée, et que je peux l'apprécier que pour son goût (j'ai ce soir plus dégusté qu'avalé, car il s'agissait de très bons vins, ce que j'adore).
Sinon, je sais tout à fait que tu sais délirer sans alcool, et d'ailleurs je préfère cette façon d'être chez toi.
Et toi tu bois pour vaincre ta timidité ? Ou pour le goût ? Ou pour les deux ?

Ensuite, il ne m'a jamais dit sur le moment qu'il me trouvait trop privatif, il s'excusait pour son ivresse le lendemain et réalisait parfaitement que c'était une attitude pas raisonnable et inquiétante envers moi. Je n'apprends qu'aujourd'hui qu'il l'a vécu comme un affront, ou qu'il le voit aujourd'hui comme tel.
Enfin, on a consommé de l'alcool ensemble, plusieurs verres de vin, jusqu'à 3 il me semble. Je l'ai même vu descendre toute une grande bouteille de bière, puisque moi je n'ai pas pu l'aider, vu mon mauvais goût pour cette substance. Et je ne l'ai pas à un seul moment réprimandé, demandé de freiner, j'ai eu plaisir à le voir heureux avec moi et à partager quelques verres avec lui. Je pense que ça me gênait beaucoup plus qu'il boive sans moi et en grande quantité et que je ne puisse que constater ensuite son ivresse. Je n'étais pas là pour le protéger de quoi que soit, et c'est ça qui devait me faire peur.
Finalement ce qui m'attirait dans la boisson, c'est le côté échange (et ça c autant valable avec un bon repas ou une boisson non alcoolisée) qui favorise la bonne entente entre les gens. L'ivresse, en fin de compte ne me sert pas à grand chose et serait même une crainte d'aller trop loin et une gêne possible (maux de tête, écoeurement, etc). Boire pour partager oui, mais pas boire pour perdre le contrôle de soi et devenir quelqu'un d'autre, je pense. J'ai compris ça grâce à vos réactions, alors merci.
Ce soir je suis allé à un dîné arrosé chez des amis et pour une fois j'ai bu un peu plus que d'habitude, je suis allé jusqu'à 6 verres de vin. En fait ça n'a pas changé grand chose, je me suis bien amusé, même si j'avais juste la tête un peu plus lourde que d'habitude, ce qui m'a obligé à m'écarter du groupe pdt 15 minutes pour reposer ma tête au fond d'un canapé. Quelques verres de plus et j'étais bon pour l'écoeurement, le double de verres et j'étais bon pour les toilettes...
Je déduis de ce que vous me dites et de ce test, que je n'ai pas besoin d'alcool pour être à l'aise avec des convives à une soirée, et que je peux l'apprécier que pour son goût (j'ai ce soir plus dégusté qu'avalé, car il s'agissait de très bons vins, ce que j'adore).
Donc tu veux dire que nos deux mondes se séparent là où l'alcool agit ? Pour que je comprenne comment tu t'amuses, me proposerais tu de boire avec toi ? Tu penses que c'est la seule solution pour pouvoir m'amuser exactement comme toi lors d'une soirée ?Citation:
Et là je me dis que je ne pourrais jamais m’amuser comme vous à de telles soirées
Non tu ne pourras pas. Et alors? Chacun son délire hein... En plus on parle de différences, on ne compare pas. Je pense que ceux qui diront que les délires d'ivresse sont mieux ou moins bien que ceux de sobriété n'auront pas d'arguments valables à nous sortir. C'est juste différent. Quand on a compris, on peut déjà accepter alors qu'un gars qui peut délirer sous l'alcool sait aussi très bien délirer sans... Mais ça, certains ont un peu du mal à l'assimiler, ce qui est très genant.
Sinon, je sais tout à fait que tu sais délirer sans alcool, et d'ailleurs je préfère cette façon d'être chez toi.
Oui bien sûr que le goût joue une part importante. Les alcools que Nox a cités me tentent bien s'ils ont un goût doux et agréable, et comme je l'ai dit plus haut, j'aime actuellement des boissons alcoolisées (même si elles sont rares) uniquement pour le goût, comme le bon vin.Citation:
Essayez de me faire boire de la bière et vous m’entendrez la comparer à de l’urine fraîchement recueillie…
Attends, le problème c'est le goût de la bière là non? Ca n'a donc rien à voir... et oui on peut aussi AIMER les boissons alcoolisées pour leur goût, et non pas pour leur degré d'alcool.
Et toi tu bois pour vaincre ta timidité ? Ou pour le goût ? Ou pour les deux ?
En ce qui concerne mon inquiétude face aux "dangers" réels ou non de l'alcool chez les jeunes en soirées, je pense que beaucoup de gens savent être raisonnables et s'arrêter à temps. Mais imaginer quelqu'un qui m'est très cher dans les toilettes, ou même avec des maux de tête, ou même juste assez émèché pour simplement dire des bêtises, ça me rend anxieux pour lui. Je ne le condamne pas pour son ivresse. C'est juste que j'ai peur pour lui, j'aimerais qu'il ne lui arrive rien de même simplement facheux, sans forcément penser au pire.Quant au reste, personne n'a été dans cet état au mEAting... Comme quoi, il existe des gens qui savent boire. Du moment que tu sais gérer ta conso...
Comme l'a dit Guillaume, c'est souvent les paroles des autres qui me font un peu douter. Je suis aussi frustré de ne pas aimer la bière par exemple, parce que je ne peux pas simplement partager ça avec des amis, autour d'une discussion etc. On ne me fait pas systématiquement la remarque que je suis has been heureusement, mais je sens que ts les consommateurs de bière la pense dans ces cas là. Mais je comprends bien que pour toi, le non buveur n'a pas la malaria, et merci de me rassurer...Il n'y a aucune necessité, personne n'a dit ça. Si vous vous sentez frustrés de ne pas boire, c'est votre problème, pas le nôtre
En même temps je ne lui ai pas INTERDIT de boire, mais je lui ai expliqué que son ivresse m'inquiétait et que ce serait mieux qu'il se surveille. Je ne l'ai pas non plus attaché à un poteau, on était assez libres l'un de l'autres avec la distance, et il était totalement libre de ne pas m'écouter et de se murger quand il voulait, et mes propos ne l'en ont d'ailleurs pas empêché qq fois (en tous cas les fois où je m'en suis rendu compte, il a pu m'en cacher d'autres)...Je pense qu'il ne t'a jamais dit ça, et plutôt qu'il t'a dit que tu le laissais pas faire ce qu'il voulait, tout simplement.
Ensuite, il ne m'a jamais dit sur le moment qu'il me trouvait trop privatif, il s'excusait pour son ivresse le lendemain et réalisait parfaitement que c'était une attitude pas raisonnable et inquiétante envers moi. Je n'apprends qu'aujourd'hui qu'il l'a vécu comme un affront, ou qu'il le voit aujourd'hui comme tel.
Enfin, on a consommé de l'alcool ensemble, plusieurs verres de vin, jusqu'à 3 il me semble. Je l'ai même vu descendre toute une grande bouteille de bière, puisque moi je n'ai pas pu l'aider, vu mon mauvais goût pour cette substance. Et je ne l'ai pas à un seul moment réprimandé, demandé de freiner, j'ai eu plaisir à le voir heureux avec moi et à partager quelques verres avec lui. Je pense que ça me gênait beaucoup plus qu'il boive sans moi et en grande quantité et que je ne puisse que constater ensuite son ivresse. Je n'étais pas là pour le protéger de quoi que soit, et c'est ça qui devait me faire peur.
Finalement ce qui m'attirait dans la boisson, c'est le côté échange (et ça c autant valable avec un bon repas ou une boisson non alcoolisée) qui favorise la bonne entente entre les gens. L'ivresse, en fin de compte ne me sert pas à grand chose et serait même une crainte d'aller trop loin et une gêne possible (maux de tête, écoeurement, etc). Boire pour partager oui, mais pas boire pour perdre le contrôle de soi et devenir quelqu'un d'autre, je pense. J'ai compris ça grâce à vos réactions, alors merci.