Annulation de baptême
Je dit, laisse parler les gens...
Si tu n'y croi pas, si tu pense que c'est du vent, meme pas besoin d'aller sur un site catho voir tout se qui peuve dir sur l'homosexualité.Tu es baptiser car tes parent l'on voulu, eux sa leur fait plaisir, si pour toi sa représente rien, ne t'enconbre pas de leur penser stupide (je parle des gen qui on fia le site pas de tes parent ^^).
Si tu n'y croi pas, si tu pense que c'est du vent, meme pas besoin d'aller sur un site catho voir tout se qui peuve dir sur l'homosexualité.Tu es baptiser car tes parent l'on voulu, eux sa leur fait plaisir, si pour toi sa représente rien, ne t'enconbre pas de leur penser stupide (je parle des gen qui on fia le site pas de tes parent ^^).
L'histoire que l'on reçoit est totalement indépendante du baptême ou non. On m'a foutu un peu d'eau sur la tête quand j'avais un an, ça ne crée ni n'oriente mon histoire d'aucun façon. Si je n'étais pas au courant du fait que je suis baptisée, ma vie ne serait absolument pas différente, ça n'a aucune influence sauf si on le souhaite.
Ce qui du coup, me pousse à dire que c'est relativement inutile de demander une annulation de baptême.
Mais, par contre, je suis tout à fait en désaccord avec ceux qui disent que ce serait renier quelque chose (ou le choix de ses parents, ou une histoire). Déjà parce qu'il y a mille raisons de baptiser un enfant, et d'autre part parce que chacune d'entre elles appartient aux parents et pas à l'enfant/adulte qu'il devient. En exprimant ma foi/mon absence de foi, je ne renie rien, j'exprime à mon tour ma volonté. Point.
C'est étrange, à l'heure actuelle, d'encore penser que l'histoire se transmet par la baptême. Nous sommes dans un pays de culture judéo-chrétienne et baptisé ou non, nous en faisons partie. Ce qui explique l'importance d'avoir une certaine connaissance religieuse mais celle-ci peut être théorique et non pas prosélyte (oui, non, le catéchisme ça n'a rien de neutre). Ce n'est pas lié au baptême. Je connais des gens qui sentent l'importance de ces racines et qui sont baptisés ou non. Je connais des gens qui n'en ont rien à foutre et qui sont baptisés ou non.
Évidemment, les croyants (pas forcément pratiquants hein, croyants) y apportent plus d'importance et les croyants sont baptisés. C'tout.
Ce qui du coup, me pousse à dire que c'est relativement inutile de demander une annulation de baptême.
Mais, par contre, je suis tout à fait en désaccord avec ceux qui disent que ce serait renier quelque chose (ou le choix de ses parents, ou une histoire). Déjà parce qu'il y a mille raisons de baptiser un enfant, et d'autre part parce que chacune d'entre elles appartient aux parents et pas à l'enfant/adulte qu'il devient. En exprimant ma foi/mon absence de foi, je ne renie rien, j'exprime à mon tour ma volonté. Point.
C'est étrange, à l'heure actuelle, d'encore penser que l'histoire se transmet par la baptême. Nous sommes dans un pays de culture judéo-chrétienne et baptisé ou non, nous en faisons partie. Ce qui explique l'importance d'avoir une certaine connaissance religieuse mais celle-ci peut être théorique et non pas prosélyte (oui, non, le catéchisme ça n'a rien de neutre). Ce n'est pas lié au baptême. Je connais des gens qui sentent l'importance de ces racines et qui sont baptisés ou non. Je connais des gens qui n'en ont rien à foutre et qui sont baptisés ou non.
Évidemment, les croyants (pas forcément pratiquants hein, croyants) y apportent plus d'importance et les croyants sont baptisés. C'tout.
Tout à fait d'accord avec Luka !Luka a écrit :Déjà parce qu'il y a mille raisons de baptiser un enfant, et d'autre part parce que chacune d'entre elles appartient aux parents et pas à l'enfant/adulte qu'il devient. En exprimant ma foi/mon absence de foi, je ne renie rien, j'exprime à mon tour ma volonté. Point.
Même si on peut être en rupture avec nos parents, avec ce qu'ils pensent, ce n'est pas une raison pour proférer des absurdités ! L'enfant ne peut pas décider tout seul de son prénom, n'apprend pas à parler ex-nihilo, ni à manger, etc. Il a besoin de parents, qui lui transmettent des choses, l'éduquent, etc. grâce à quoi il forge sa propre opinion, son envol. Que l'on désapprouve ce qui a été fait et les idées qui sous-tendent ces actions, ne doit pas laisser croire qu'on aurait mieux fait tout seul !
Et d'ailleurs, Nomade le dit très bien plus, il y a mille-et-unes raisons de baptiser ou non un enfant, c'est propre aux parents, à eux de transmettre ces raisons ou pas.
En ce qui me concerne, l'idée ne m'a même pas effleurée. Oui, je suis en désaccord avec l'Eglise, mais, comme Zal, il me suffit de l'ignorer ouvertement ou de faire savoir mon désaccord (argumenté), pas besoin d'un papier qui annulerait quelque chose qui fait partie de moi malgré tout (en dépit de toute culture/histoire judéo-chrétienne occidentale).
Au sujet du baptème, il ne faut pas oublier qu'à l'origine, on se faisait baptiser adulte : c'était un choix volontaire, une volonté d'intégrer la communauté des croyants.
Ensuite, le christianime est devenu dominant et il a commencé à utiliser une forme de "menace" pour inciter les gens au baptème : si tu n'es pas baptisé, tu ne vas pas au paradis. Les enfants qui meurent sans être baptisés vont dans les limbes.
Du coup, les gens ont pris l'habitude de faire baptiser d'office les nouveaux-né pour leur éviter d'aller dans les limbes en cas de mort prématuré (ce qui était plus que fréquent à l'époque).
Mais il existe encore aujourd'hui des non-baptisés qui se font volontairement baptiser à l'âge adulte, parce qu'ils ont "trouvé la foi".
Ensuite, le christianime est devenu dominant et il a commencé à utiliser une forme de "menace" pour inciter les gens au baptème : si tu n'es pas baptisé, tu ne vas pas au paradis. Les enfants qui meurent sans être baptisés vont dans les limbes.
Du coup, les gens ont pris l'habitude de faire baptiser d'office les nouveaux-né pour leur éviter d'aller dans les limbes en cas de mort prématuré (ce qui était plus que fréquent à l'époque).
Mais il existe encore aujourd'hui des non-baptisés qui se font volontairement baptiser à l'âge adulte, parce qu'ils ont "trouvé la foi".
Pour en rajouter une couche sur l'importance (révolue) du baptême, les registres paroissiaux étaient établis bien avant les registres municipaux : il y a de nombreux personnages célèbres dont on connaît la date de baptême mais pas la date de naissance. La mortalité infantile était effarante, les enfants avaient tout sauf la place centrale (et délirante) qu'ils ont aujourd'hui, on attendait que quelqu'un grandisse pour lui accorder une place, on n'allait pas s'amuser à lui demander son avis. Il est amusant de constater que dans les langues qui possèdent un genre neutre (en plus du masculin et du féminin, comme en grec ancien), les enfants sont neutres, comme les objets, comme s'ils n'avaient pas d'existence en tant qu'individu. Je suis un peu hors-topic, là, non ? Tout ça pour dire que les pleurnicheries des enfants post-Dolto, c'est risible.
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Depuis le temps que j'attendais ça...