Paulette elle est un gros boulet. Voilà ce que j'avais marqué à l'époque dessus (ptet que je radote, dans ce cas, c'est l'âge) :
"Il faut être honnête, c’est très chiant, voir soporifique. Je m’y suis remise à 3 fois, j'ai eu du mal à en venir à bout. Le dessin se contente d’illustrer sans aucune surprise les souvenirs d’Alan : sous "je conduisais un char", Mr Guibert dessine un char, sous "j’écoute de la musique", Alan est assis et écoute de la musique. Au final, on se demande si c’est bien neccessaire de lire et regarder les dessins. Cela ferait par contre un excellent outil pédagogique pour l’apprentissage du Français.".
Voilà, mais quand je vois qu'il continue à être cité de ci, de là, je me dis qu'il faut que je recommence (si je n'ai pas donné mes bds !).
(Paulette, band of nazebroke)
Topic BD
Wouhou ! Mais le topic BD reprend du poil de la bête. Le simple fait que Paulette passe dans le coin est gage d'une vigueur retrouvée. De jolies lectures d'été en perspective. 
Merci, les gens.
Pour apporter ma contribution : après avoir lu le premier tome de Kaboul Disco (T1 : Comment je ne me suis pas fait kidnapper en Afghanistan), je viens de m'offrir le tome 2 (T2 : Comment je ne suis pas devenu opiomane).
Okey, l'Afghanistan et tout ce qui ce passe dans le proche et moyen-orient est à la mode, on ne le niera pas. Okey, la BD surfe largement sur la "vague" mais pas plus que les autres formes d'art. Okey, les BD intellos qui se veulent le substitut de longs bouquins chiants qui finalement ne disent pas grand chose pullulent et font chier les vrais intellos qui lisent les bouquins chiants. Okey, la BD est devenue une sorte de produit dérivé de tout et n'importe quoi et ça énerve les sales gauchistes.
Mais là, je dis non, stop, un peu de sérieux. Ca se veut pas intello ou documentaire top ludique (même si je kiffe les documentaires top ludiques). C'est une BD sympa, sans prétention, terriblement drôle et légère (en tout cas le 1er tome).
Nicolas Wild, c'est le pote de Boulet ^^ il apparaît au début d'ailleurs. Pour le 1er tome, il raconte surtout la vie d'un expatrié mais il se trouve qu'il est en Afghanistan, ce qui nourrit les situations les plus absurdes. Le côté intéressant est que ce qu'on peut trouver de "critique" de la société passe à travers son boulot et non par une enquête. Les deux trois explications qu'il donne ne cherchent pas tant à nous "apprendre quelque chose" qu'à nous resituer un contexte. J'aime beaucoup le dessin en noir et blanc, très sobre, un peu cartoonesque, à la Guy Delisle (je vous ai dit que je l'adorais ? )
C'est une BD de bonne humeur qui se compose de situations loufoques et les bonus sont savoureux.
Vivement les vacances que je lise le second tome, il paraît un peu moins léger.
Merci, les gens.Pour apporter ma contribution : après avoir lu le premier tome de Kaboul Disco (T1 : Comment je ne me suis pas fait kidnapper en Afghanistan), je viens de m'offrir le tome 2 (T2 : Comment je ne suis pas devenu opiomane).
Okey, l'Afghanistan et tout ce qui ce passe dans le proche et moyen-orient est à la mode, on ne le niera pas. Okey, la BD surfe largement sur la "vague" mais pas plus que les autres formes d'art. Okey, les BD intellos qui se veulent le substitut de longs bouquins chiants qui finalement ne disent pas grand chose pullulent et font chier les vrais intellos qui lisent les bouquins chiants. Okey, la BD est devenue une sorte de produit dérivé de tout et n'importe quoi et ça énerve les sales gauchistes.
Mais là, je dis non, stop, un peu de sérieux. Ca se veut pas intello ou documentaire top ludique (même si je kiffe les documentaires top ludiques). C'est une BD sympa, sans prétention, terriblement drôle et légère (en tout cas le 1er tome).
Nicolas Wild, c'est le pote de Boulet ^^ il apparaît au début d'ailleurs. Pour le 1er tome, il raconte surtout la vie d'un expatrié mais il se trouve qu'il est en Afghanistan, ce qui nourrit les situations les plus absurdes. Le côté intéressant est que ce qu'on peut trouver de "critique" de la société passe à travers son boulot et non par une enquête. Les deux trois explications qu'il donne ne cherchent pas tant à nous "apprendre quelque chose" qu'à nous resituer un contexte. J'aime beaucoup le dessin en noir et blanc, très sobre, un peu cartoonesque, à la Guy Delisle (je vous ai dit que je l'adorais ? )
C'est une BD de bonne humeur qui se compose de situations loufoques et les bonus sont savoureux.
Vivement les vacances que je lise le second tome, il paraît un peu moins léger.
Paulette est supposée bosser toute la journée, donc, elle s'ennuie sec. De plus elle n'a plus de fric, donc elle évite de passer dans les rayons bds, même si elle craque des fois et se fait un peu engueuler mais pas trop.
Effectivement, sur le thème y'en a eu pas mal. On n'en avait acheté une,
qui était nulle, et hop là on a remplacé contre une autre, qui était mieux.
Pour la tienne, elle me disait quelque chose... et quelle conne !
Y'a une petite djeun qui a fait un stage dans leur boite d'édition et qui m'a filé les 2 tomes (jalouse, heing !),
mais comme j'étais en période de déménagement, ça m'est passé sous le nez.
Merci poupée, grâce à toi, je peux aller bouquiner dans les chiottes !
(journée prodictive, je sens...)
Effectivement, sur le thème y'en a eu pas mal. On n'en avait acheté une,
qui était nulle, et hop là on a remplacé contre une autre, qui était mieux.
Pour la tienne, elle me disait quelque chose... et quelle conne !
Y'a une petite djeun qui a fait un stage dans leur boite d'édition et qui m'a filé les 2 tomes (jalouse, heing !),
mais comme j'étais en période de déménagement, ça m'est passé sous le nez.
Merci poupée, grâce à toi, je peux aller bouquiner dans les chiottes !
(journée prodictive, je sens...)
Ah y est, j'ai lu le tome 1 cet aprem dans mon bain (ouais, une bourgeoise non écolo),
si on part du constat que j'ai chopé un rhume parce que l'eau a fini par être froide, on va donc en déduire que c'était cool.
C'est juste HYPER frustrant de ne pas avoir l'intégralité de la BD qu'il a fait pour les petits jeunes.
si on part du constat que j'ai chopé un rhume parce que l'eau a fini par être froide, on va donc en déduire que c'était cool.
C'est juste HYPER frustrant de ne pas avoir l'intégralité de la BD qu'il a fait pour les petits jeunes.
Je l'ai trouvé par hasard cet après-midi à V*irgin. J'ai hésité longuement avant de le prendre, et finalement je l'ai acheté! Je le lirai demain dans l'avion, j'ai un peu commencé là, et c'est vraiment super, donc hâte de le lire en complet!Zünisch a écrit :Et je m'auto-quote parce que je l'ai lu. Et que je ne saurais pas vous dire autre chose que:Zünisch a écrit :Youhou, un double post pour faire ma groupie !
Certains connaissent peut être Djou's Blog (nouvelle version). Son auteur sort sa BD aujourd'hui:
L'histoire de la découverte de l'homosexualité par une jeune fille. Et tout ce qui s'en suit. Je vais aller l'acheter et après je vous dirais si j'avais raison de faire ma groupie.
Voilà. Il mériterait presque un topic rien que pour lui. Mais bon, lisez-le.
Je ne regrette pas de l'avoir pris, surtout qu'on risque pas d'amener ça chez moi xD
EDIT : Cette BD est magnifique. J'ai été très émue par l'histoire. J'ai même pleuré en lisant les dernières pages
.Très beau récit.
Re: Topic BD
Dernier achat : "Peter et Miriam" de Rich Tommaso.
En clair : une bonne surprise.
Un espèce de bric à brac de tranches de vies, qui ne sont pas dans l'ordre chronologique, ce qui rend la lecture plus ludique (ah oui ?), et pour plus de fun, il change son trait selon les périodes. Ce n'est par contre que le premier épisode d'une série.. on reste un peu sur sa faim, et on attend, surtout, de revoir mon idole qu'est Russ Meyer !Miriam Capaldi et Peter Martinelli sont amis depuis le début de l'école primaire et plus précisément depuis le 26 juillet 1977, quand Miriam, sept ans, a rencontré pour la première fois Peter, huit ans. C'est le début d'une amitié sans faille, qui connaîtra néanmoins des hauts et des bas, ainsi que quelques non-dits de taille. De la primaire au collège, puis au lycée et à la fac, Peter et Miriam retrace sur une vingtaine d'années la relation parfois compliquée de ces deux jeunes américains du New Jersey. Rich Tommaso imbrique subtilement des histoires se déroulant à différentes périodes, de l'enfance jusqu'à l'entrée dans l'âge adulte. Il décrit aussi des personnages secondaires hauts en couleurs comme Roy Franco, ex photographe militaire, ancien cameraman de Russ Meyer, et sujet d'un documentaire réalisé par Peter pour son école de cinéma. Ce premier volume sera suivi d'autres qui auront pour protagonistes les deux même personnages, et également leur entourage familial.
Véritable étude de caractère, Peter et Miriam brosse par petites touches le portrait sensible de deux ados et des années 1980.
En clair : une bonne surprise.
Re: Topic BD
Le nouveau Tanxxx :
Critique facile et aussi rapide que la lecture du livre :
- dessins toujours aussi chouettes
- scénario sans grand intérêt.... dommage !
Critique facile et aussi rapide que la lecture du livre :
- dessins toujours aussi chouettes
- scénario sans grand intérêt.... dommage !
Re: Topic BD
Comme prévu, mon plus ou moins copié/collé de grosse feignasse de fée ^^ :
Prélude : Je suis une fille d'une triste banalité. Je lis les propositions des éditeurs des dernières pages de mes livres et bd. Des fois, je vais même voir les films des BA. C'est affligeant.
Eheh, regarde, elle a plein de boutons. Booouh, on se moque. Ahahah !!
Donc j'ai lu dans la secte, parce que j'ai lu Kaboul disco (pas dur à suivre, c'est juste en haut). Bien sympa mais je suis déçue, comme sur ma fin, un sentiment d'inachevé et je peux continuer les synonymes, c'est mon truc pour faire croire que j'ai pondu une méga analyse en béton armé. Ca parle d'une fille qui raconte son histoire, son "témoignage" dans une secte, celle de la scientologie. C'est labellisé 100% vécu du dedans de l'intérieur de desde las entrañas del monstruo. Je le sais parce que c'était écrit sur un super bandeau promotionnel... jaune. Tanananein !!!
Le dessin n'est pas repoussant, sans être transcendant. Il fait enfantin... Et finalement, je trouve que ça dessert (miam) un peu le propos de faire passer cette histoire pour "anodine" et kikoulolesque. Mais bon, ça reste une affaire de goût et temps que ça me dégoûte pas (du goût [/"du coup", non ?]), c'pas grave. L'histoire, bah c'est une paumée comme tout le monde qui entre dans la scientologie et en sort (comme tout copié/collé foireux, y'a de la redondance... en fait, ce post est un cours pour dissuader les jeunes de copier/coller comme des gogoles [ie, moi, dans un rôle de composition]).
Voilà, ça va pas bien plus loin, c'est un témoignage. La réflexion est quasi nulle, ce qui est frustrant. C'est un témoignage superficiel qui a l'avantage de pas trop faire réfléchir. Les dix dernières pages abordent un minimum les stratégies marketing des sectes, et particulier celles de la sciento, c'est un début de truc bidule intéressant. Le tout fait vraiment brochure de prévention contre les sectes à coup de témoignage émouvant qu'on pleure sur les jolis dessins qu'on a payé la peau du dos (je ne suis pas aigrie du tout). Autre chose qui a retenu mon attention, la post-face est sympa mais courte, c'est un petit texte écrit par une assoc luttant contre les sectes, assez scolaire et qui décrit les phases d'entrée et sortie.
Je me trouve un peu dure parce que ça a pas dû être cool à vivre pour la meuf mais bon, j'en ai un peu rien à faire des témoignages individuels. Je préfère les super-reportages d'Indiana Jones de ouf qui vont démêler tous les tours et les secrets du gros méchant monstruo tout vert.
C'est dommage, l'idée m'intéressait bien. Du coup, je vais lire Nathalie Luca, il paraît qu'elle s'y connait en sectes. Oooh, c'est grisant de passer pour une fille intelligente. Trop fort, google.
Bon, je suis déçue, ça fait bd dérivée. Je déteste les bd dérivées, ça shmoutte. Et y'en a tout plein méga partout, il faut être vigilent. Je suis trop jeune, belle, fragile et stupide pour survivre dans ce monde dérivé hostile qui m'en veut personnellement.
Prélude : Je suis une fille d'une triste banalité. Je lis les propositions des éditeurs des dernières pages de mes livres et bd. Des fois, je vais même voir les films des BA. C'est affligeant.
Eheh, regarde, elle a plein de boutons. Booouh, on se moque. Ahahah !!
Donc j'ai lu dans la secte, parce que j'ai lu Kaboul disco (pas dur à suivre, c'est juste en haut). Bien sympa mais je suis déçue, comme sur ma fin, un sentiment d'inachevé et je peux continuer les synonymes, c'est mon truc pour faire croire que j'ai pondu une méga analyse en béton armé. Ca parle d'une fille qui raconte son histoire, son "témoignage" dans une secte, celle de la scientologie. C'est labellisé 100% vécu du dedans de l'intérieur de desde las entrañas del monstruo. Je le sais parce que c'était écrit sur un super bandeau promotionnel... jaune. Tanananein !!!
Le dessin n'est pas repoussant, sans être transcendant. Il fait enfantin... Et finalement, je trouve que ça dessert (miam) un peu le propos de faire passer cette histoire pour "anodine" et kikoulolesque. Mais bon, ça reste une affaire de goût et temps que ça me dégoûte pas (du goût [/"du coup", non ?]), c'pas grave. L'histoire, bah c'est une paumée comme tout le monde qui entre dans la scientologie et en sort (comme tout copié/collé foireux, y'a de la redondance... en fait, ce post est un cours pour dissuader les jeunes de copier/coller comme des gogoles [ie, moi, dans un rôle de composition]).
Voilà, ça va pas bien plus loin, c'est un témoignage. La réflexion est quasi nulle, ce qui est frustrant. C'est un témoignage superficiel qui a l'avantage de pas trop faire réfléchir. Les dix dernières pages abordent un minimum les stratégies marketing des sectes, et particulier celles de la sciento, c'est un début de truc bidule intéressant. Le tout fait vraiment brochure de prévention contre les sectes à coup de témoignage émouvant qu'on pleure sur les jolis dessins qu'on a payé la peau du dos (je ne suis pas aigrie du tout). Autre chose qui a retenu mon attention, la post-face est sympa mais courte, c'est un petit texte écrit par une assoc luttant contre les sectes, assez scolaire et qui décrit les phases d'entrée et sortie.
Je me trouve un peu dure parce que ça a pas dû être cool à vivre pour la meuf mais bon, j'en ai un peu rien à faire des témoignages individuels. Je préfère les super-reportages d'Indiana Jones de ouf qui vont démêler tous les tours et les secrets du gros méchant monstruo tout vert.
C'est dommage, l'idée m'intéressait bien. Du coup, je vais lire Nathalie Luca, il paraît qu'elle s'y connait en sectes. Oooh, c'est grisant de passer pour une fille intelligente. Trop fort, google.
Bon, je suis déçue, ça fait bd dérivée. Je déteste les bd dérivées, ça shmoutte. Et y'en a tout plein méga partout, il faut être vigilent. Je suis trop jeune, belle, fragile et stupide pour survivre dans ce monde dérivé hostile qui m'en veut personnellement.
Dernière modification par Moilux le mar. mai 11, 2010 6:51 am, modifié 1 fois.
Re: Topic BD
HP de lisa mandel
Voilà plusieurs années que Lisa Mandel et L’Association ont ce grand projet en gestation. Voici enfin le premier volume d’une série qui en comportera trois : HP est une grande fresque ayant pour sujet le milieu de la psychiatrie en France depuis les années soixante à aujourd’hui. Lisa Mandel raconte cette évolution historique par le petit bout de la lorgnette, ayant interrogé sur leur parcours des parents et des amis qui travaillent depuis plusieurs décennies dans le secteur psychiatrique. Cet aspect anecdotique et le dessin léger et humoristique de Lisa Mandel auraient pu, en apparence, rendre abordable et supportable l’évocation d’un sujet aussi difficile. Mais seulement en apparence : la véracité des faits est parfois si atroce ou si absurde que ce livre ne laissera personne indifférent. On en apprendra long sur les humiliations, les jeux douteux des infirmiers vis-à-vis des malades, les abus... et la grande misère des internés. Ce premier volume (dont deux épisodes ont été pré-publiés dans Lapin) traite des années soixante, le deuxième abordera les années soixante-dix, et le troisième la situation actuelle. HP est un futur grand moment de L’Association.
J'aurais du mal à dire mieux que la 4ème de couverture, j'ai certes l'argument "je kiff Lisa Mandel", mais je ne suis pas sûre qu'il soit très efficace. C'est le sujet qui m'interessait. C'est à chaque fois des anecdotes de 1-2-3 pages, où l'ont voit bien la diversité (et la complexité) de la situation de part des témoignages de personnels différents. J'ai hâte de lire celui sur l'époque actuelle. Je n'ai pas le courage d'en lire plus. A lire pour ceux que le sujet interesse. Sinon, peut de chance que ça passe !
(sur les début de la psychiatrie en france, y'a aussi le bouquin de Marie Didier "Dans la nuit de Bicêtre", mais on remonte au 18ème)
Re: Topic BD
Et pendant ce temps, Paulette continue à lire des Bds parce que ça évite de faire penser à des choses qui font trop fliper sa race.
Je suis toujours fanne de Riad Sattouf, et je ne me soigne toujours pas.
J'ai donc acheté "la vie secrete des jeunes II" parce que je ne lis pas charlie hebdo.
Parfois inégal (mais quand j'en parle, on a chacun nos histoires préférées), mais souvent jouissif... surtout pour les habitués des transports en communs...
Dans ce tome, il rajoute en plus quelques histoires illustrées.. notemment la triste affaire du gang des barbares,
qui m'a laissée sans voix.
Allez, juste une planche, parce que c'est vrai que les patchs, ça gratte.
Je suis toujours fanne de Riad Sattouf, et je ne me soigne toujours pas.
J'ai donc acheté "la vie secrete des jeunes II" parce que je ne lis pas charlie hebdo.
Comme celui suit le meme concept que "la vie secrête des jeunes" (tome 1), je pourrais en dire la même chose.Depuis 2007, Riad Sattouf livre hebdomadairement ses Vies Secrètes des jeunes à Charlie-Hebdo, chroniques d'observation sociale redoutables et désespérément drôles. Sattouf y développe une taxinomie sans appel des tares de nos jeunes contemporains, en laissant traîner ses yeux et ses oreilles dans les endroits publics. Son regard perçant vaut déjà à certaines scènes urbaines d'être appelées des vies secrètes des jeunes...
Parfois inégal (mais quand j'en parle, on a chacun nos histoires préférées), mais souvent jouissif... surtout pour les habitués des transports en communs...
Dans ce tome, il rajoute en plus quelques histoires illustrées.. notemment la triste affaire du gang des barbares,
qui m'a laissée sans voix.
Allez, juste une planche, parce que c'est vrai que les patchs, ça gratte.
